• Les mannequins ne sont pas des filles modèles - Olicier Gay

    Caractéristiques :

    Genre : Roman

    Grand format : 349 pages / 15,00 €

     

    Résumé :

    Trois amis : Deborah, Moussah et Fritz ce dernier « dealer à la petite semaine » se retrouvent impliquer dans une sombre histoire d’enlèvement. Moussah est tombé amoureux tout récemment d’une superbe métisse prénommée Cerise mais celle–ci disparaît, à l’aube d’un concours de mannequinât qui aurait pu changer sa vie. Cette dernière était la grande favorite et nos 3 amis se demandent alors si une des concurrentes n’aurait pas eu intérêt à éliminer Cerise du tableau. Ils vont mener leur propre enquête…

     

    Avis par Lolo :

    Un livre que je classerais entre le roman un peu déjanté et le policier. L’histoire à du mal à se mettre en place. Le début est un peu « plan-plan » puis une fois les personnages campés ça part à toute vitesse. Nous en apprenons un peu plus sur ce milieu très particulier des « modèles ou mannequins » avec quelques clichés bien envoyés du genre : « qu’allons nous faire si ces filles là en plus d’être belles ont aussi un cerveau ? » et le fait que le directeur de l’agence soit bien sûr homosexuel. C’est un milieu sans pitié où chaque fille va se battre et littéralement piétiner sa concurrente pour être la première. Que dire des personnages ? Fritz deale de la coke à ses 2 amis surtout mais aussi lorsqu’il traîne à ce propos dans les milieux parisiens branchés. Malgré cela il est attachant. Assez « beau gosse », mais qui se retrouve à priori souvent dans des situations difficiles. Il a d’ailleurs du mal à se sortir seul de ses embrouilles et n’hésite pas à demander de l’aide à son ex qui est une femme flic. Quand aux 2 autres entre Déborah enseignante, accro à la coke et Moussah qui n’est pas assez présent bien que ce soit lui le principal intéressé  ils ont un rôle de figurant. Un peu de violence mais pas trop ce qui est bien dosé et une bonne dose d’humour avec une scène des plus cocasses à la fin du livre. De nombreux rebondissements viennent s’ajouter dans la dernière partie, donc tout ce qu’il faut pour passer un agréable moment.


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  • D. Gray-man - Tome 23 - Katsura Hoshino

    Résumé :

    Allen a fui le quartier général de la Congrégation pour tenter d’en apprendre plus le 14ème qui commence à prendre le dessus sur lui, le transformant pratiquement en Noé. Johnny Gill, quant à lui, fait son possible pour que la Congrégation accepte sa démission, dans le but de partir à la recherche d’Allen pour l’aider. En parallèle, Kanda a choisi de revenir à la Congrégation, échappant par la même à sa liberté, il décide de récupérer une part d’innocence. Il se joint alors à Johnny dans sa recherche d’Allen. Et dans le premier chapitre, il nous est conté la façon dont Cross Marian a recueilli Allen, dans le but initial de mettre la main sur Néah mort 30 ans plus tôt… Enfin, le combat entre Allen et le 14ème fait rage à l’intérieur de son corps, qui attire les Akumas autour de lui.

     

    Avis :

    Nous l’avions attendu un an à cause de l’état de santé de la mangaka, et bien ce tome valait le coup ! Tout d’abord, il signe le retour de Kanda et de son innocence ce qui implique forcément de grandes crises de fous rires avec les scènes qui le présentent de façon hilarante. J’ai également adoré le premier chapitre bonus, qui se concentre sur l’arrivée d’Allen sous la tutelle de Cross. On en apprend plus sur la façon dont leur relation à démarrer. Peu de nouvelles informations sur le 14ème, pourtant on voit mal comment Allen pourrait empêcher sa transformation en Noé (ce qui d’un point de vue scénaristique m’intéresse beaucoup : que se passerait-il à partir de ce moment là ?). Krory et Lavi sont malheureusement presque absent de ce tome (idem pour Lenalee, mais ce n’est pas ma préférée, elle ^^). Pas de combats impressionnants non plus, mais cela ne manque pas : la trame se développe et le suspense est bien conservé. Johnny et sa fidélité envers Allen est très touchante. Quant à Allen déguisé en clown… Il faut le voir pour le croire : au moins une mangaka qui n’a pas peur de tourner en dérision ses personnages principaux. En conclusion : un tome léger et plaisant qui me satisfait complètement !

    Lien direct : Editions Glénat


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  • Dragon Ball Z - Film 02 - Akira Toriyama

    Résumé :

    Le Dr. Cochin a réuni les sept Dragon Ball afin de demander au dragon sacré de libérer la demeure de son maître, emprisonnée dans les glaces. Lorsque le Dr. Uiro – un savant dont seul le cerveau est prisonnier d’une machine – est finalement, libéré, il envoie ses guerriers robots à la recherche de l’homme le plus puissant de la Terre afin de prendre possession de son corps. Tortue Géniale et Bulma sont rapidement capturés. Alors que Gohan est sur les traces de celui qui a appelé Shenron, il se fait attaquer. Piccolo vient le sauver, mais se fait capturer à son tour. Lorsqu’il apprend la disparition de ses amis, Son Goku va à son tour trouver le royaume dans les glaces. Dr. Uiro voit là l’homme le plus fort du monde, et commence à lui envoyer ses combattants robot pour le tester… Mais les objectifs du Docteur sont bien plus sombres : c’est au monde entier qu’il souhaite faire payer son état. Goku en appellera aux forces de la planète pour tenter de se débarrasser du savant fou.

     

    Avis :

    Nostalgie quand tu nous tiens ! « Le robot des glaces » était le tout premier OAV que j’ai eu en cassette, et c’était également l’un de mes préférés ! La raison est simple : c’est le film de Dragon Ball Z qui s’apparente le plus à Dragon Ball. L’humour est omniprésent, et on le doit en grande partie à l’implication de Bulma dans l’histoire (sans oublier Krilin, Oolong et Tortue Géniale). Il n’est pour une fois pas question d’aliens qui débarquent sur Terre pour se asservir l’humanité. C’est plutôt une prémisse à l’histoire des cyborgs, comme à l’époque où Goku affrontait l’armée du Ruban Rouge. Je pense que toutes ces raisons font que le film, et donc le manga sont un succès ! Et la complicité qui unit Gohan à Piccolo est très touchante. D’un point de vue chronologique, la problématique des OAV se posent : ils n’appartiennent pas réellement à la saga traditionnelle. En effet : ici Goku connaît le Kaioken (donc il a été tué avec Radditz) mais il n’est pas mort (donc il devrait avoir affronté Végéta) or Piccolo est vivant (ce qui n’est pas le cas après l’arrivée de Nappa et Végéta). Bref : ce manga s’immisce à peu près à ce moment. Les images couleurs sont une réussite, en particulier lorsque Goku utilise le genkidama destructeur. Un plaisir, donc, de suivre la suite des films Dragon Ball Z sous la forme de mangas… Un must.

    Lien direct : Editions Glénat


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  • Un gorille - Anthony Browne (1)
    Tonton, il a lu "La planète des singes", alors moi aussi (sauf que le mien il est mieux !)
     
    Un gorille - Anthony Browne

    Résumé :

    Un livre à compter où l’on découvre à chaque page une nouvelle espèce de singe. Avec une belle leçon de tolérance. Derrière l’aspect « mathématique » de cet album, vous découvrirez la théorie de l’évolution à expliquer à vos touts petits.

     

    Avis:

    Un livre à compter d’une grande beauté qui ravira nos chérubins ! Les couleurs et le coup de pinceau sont magnifiques : un grand bravo à l’auteur pour le réalisme et la minutie qu’il a su apporter à ses illustrations. Les traits des visages et les expressions des singes semblent tellement réels qu’on a presque l’impression qu’ils s’adressent à nous. En plus, l’album délivre une surprise en fin d’histoire : un grand message auquel on ne s’attend pas en lisant un « simple » livre à compter. A vous de le découvrir avec cet album éducatif qui permettra à vos enfants d’énumérer avec plaisir !

    Lien direct : Editions Kaléidoscope

     

    Un gorille - Anthony Browne (2)
    Houla... J'arrive à 3, je suis perdu !

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  • Des pêches pour monsieur le curé - Joanne Harris

    Caractéristiques :

    Genre : Roman

    Grand format : 400 pages / 22,50 €

     

    Résumé :

    Vianne Rocher vit désormais avec Roux, et ses filles : Anouk et Rosette sur une péniche amarrée sur Paris. Mais lorsqu’elle reçoit une lettre de sa défunte et tendre amie Armande, lui demandant de venir une nouvelle fois apporter son aide à Lansquenet, elle n’hésite pas longtemps… Une fois sur place, elle retrouve ses amis Guillaume, et Joséphine qui a depuis un jeune garçon du même âge que Rosette et dont le père est mystérieusement absent… Mais Vianne retrouvera également le curé, qui a beaucoup changé en huit ans, évoluant vers une tolérance, sans pour autant perde de sa crainte de l’étranger. D’ailleurs, les Marauds ont de nouveaux habitants : une population musulmane s’y est installée, et les relations avec le village ne cessent d’empirer…

     

    Avis :

    « Des pêches pour monsieur le curé » est le troisième roman suivant les aventures de Vianne Rocher après le célèbre « Chocolat » (paru chez Charleston) et « Le rocher de Montmartre » (chez Bakerstreet). Pour cet opus, Vianne retrouve le génial village de Lansquenet ! Mais attention, ce roman n’est pas vraiment dans le même genre que « Chocolat »… En effet, il est bien plus sombre et sérieux. Il se concentre davantage sur la population musulmane qui s’est installée dans les Marauds et de ses relations conflictuelles avec les villageois. Vianne, également, est transformée (à priori par une rencontre dans le deuxième tome) : elle est moins sûre d’elle, plus en retrait... Les habitants que nous aimons tous (Guillaume, Joséphine) sont moins présents, malheureusement. L’ambiance légère de « Chocolat » s’est quand même bien assombrie. L’écriture est restée très fluide, mais ce qui selon moi fait le grand succès de ce roman tient à une chose : le curé Francis Reynaud. Un personnage que j’avais détesté pour son intolérance dans « Chocolat » et qui est devenu tellement complexe et contrasté, hilarant par moments ! Je n’ai qu’un regret : qu’il ne prenne pas davantage la parole ! Sa relation avec Vianne est devenue plus profonde. Il s’agit désormais de deux amis aux caractères différents mais qui se complètent si bien ! J’ai également apprécié l’indépendance qu’a acquis Joséphine : on la sent plus forte et sûre d’elle. Le livre, qui tombe dans la période de fin de Ramadan dévoile beaucoup de la communauté musulmane et nous fait découvrir les délices de cette culture ! Donc promis : la gourmandise est de nouveau au rendez-vous !

    Lien direct : Editions Charleston


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  • Lord Peter et l’inconnu - Dorothy Sayers

    Caractéristiques :

    Genre : Policier

    Format poche : 308 pages / 6,90 €

     

    Résumé :

    Alors qu’il s’apprête à partir à la recherche de livres anciens Lord Peter Wimsley est appelé par sa mère pour venir en aide à un ami M.Thipps. En effet, ce dernier  vient de trouver un cadavre dans sa baignoire avec comme seul vêtement… un lorgnon ! Pour la police nul doute qu’il est le coupable. En revanche Lord Wimsley n’est pas d’accord surtout qu’en parallèle on signale la disparition d’un riche banquier Sir Levy.

     

    Avis par Lolo :

    Ce roman policier a le charme des enquêtes policières menées à la façon des détectives du genre Sherlock Holmes. Ecrit de manière fluide il incite le lecteur à participer à l’enquête et l’on découvre avec bonheur la progression des déductions et des commentaires en même temps que Lord Wimsley. On avance avec lui et on devine l’identité du coupable en simultané. Les personnages sont d’époque si je puis dire. L’histoire se passe dans le Londres des années 1920 avec comme enquêteur principal Lord Wimsley aristocrate un peu pédant qui est également le fils cadet de la duchesse de Denver. Il est affublé de son fidèle et dévoué valet Bunter qui veille sur son maître et qui l’aide dans ses enquêtes. La duchesse est haute en couleurs et soutient son fils même s’il sort un peu des conventions. Bien sûr nous avons obligatoirement 2 policiers aussi différents l’un que l’autre. Parker raisonné et ami de Wimsley et Sugg, le flic stupide par excellence. La fin de l’histoire est pour le moins originale car c’est l’assassin en personne qui s’exprime, ce qui est une bénédiction pour le lecteur qui comprend certains faits restés dans l’ombre. En conclusion, ce livre écrit essentiellement sous forme de dialogues le rend très vivant. Il nous plonge avec joie dans ce milieu de la noblesse « so british » avec l’humour qui va avec et qui donne envie de partager à nouveau les enquêtes de Wimsley.


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  • Seuls au monde - Emmy laybourne

    Caractéristiques :

    Genre :  Jeunesse / Science-fiction

    Grand format : 343 pages / 15,90 €

     

    Résumé :

    Alors que Dean se trouve avec d’autres lycéens dans le bus le menant à son école, une terrible tempête de grêles s’abat sur sa ville, blessant certains de ses camarades. Grâce à une conductrice exemplaire, certains des jeunes arrivent à s’abriter au sein même d’un petit centre commercial. Là, ils apprennent qu’une catastrophe naturelle a eu de grandes conséquences. La première est un tsunami, la seconde : le déversement de produits hautement toxiques dans l’atmosphère. Avec le soleil partiellement caché, les jeunes sont obligés de se barricader dans le centre commercial. Sans adultes et sans secours, les lycéens doivent s’occuper des plus petits, commencer à faire des provisions et à s’organiser pour la survie. Car ils ne peuvent compter que sur eux même, et ne peuvent faire confiance à personne à l’extérieur du bâtiment…

     

    Avis:

    La façon dont l’histoire nous est contée par Dean implique forcément le lecteur dans les mésaventures des enfants. L’écriture est très bonne, quoi que à certains moments un peu trop « jeun’s dans le vent » avec des expressions qui ne parleront pas trop aux adultes. Les péripéties, elles en revanche, conviennent à tous les âges. J’ai beaucoup apprécié la relation entre Dean et son frère Alex, qui est un personnage très intéressant (et à priori, le deuxième tome l’a pour personnage principal) et ingénieux qui a besoin de faits et chiffres pour se rassurer. L’humour est très souvent au rendez-vous et le suspense omniprésent. Le bas des pages comptent également le nombre de jours depuis la grande catastrophe et permettent de se faire une meilleure idée de la chronologie de la trame. C’est une véritable civilisation qui se reconstruit à une plus petite échelle et j’ai bien aimé l’organisation des tâches. L’enfermement dans le centre commercial transforme l’histoire en une espèce de huit clos, quant à la fin, il s’agit clairement d’une ouverture sur le deuxième tome qui verra une partie des ados tenter de retrouver leurs familles. J’ai adoré ce roman de Science-fiction légère et agréable, qui a un petit côté sans adulte à la « Gone » (de Michael Grant) qui n’est pas désagréable !

    Lien direct : Editions Hachette

     

    BLOGUEO


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  • Chocolat - Joanne Harris

    Caractéristiques :

    Genre : Roman

    Grand format : 388 pages / 16,00 €

     

    Résumé :

    Lansquenet est un petit village reclus où les décisions d’un chacun dépendent de l’approbation de Reynaud, le curé du village. L’homme en noir dirige ses ouailles comme un maire, poussant ses croyances dans un extrémisme effrayant. Lorsque Vianne, jeune mère célibataire, décide de s’installer avec sa fille Anouk, dans l’ancienne boulangerie pour ouvrir une confiserie, le curé ne le voit pas d’un bon œil. « Pour qui se prend cette femme qui ne vient même pas à l’église écouter ses sermons ? » Reynaud ne tardera pas à faire son possible pour retourner les villageois contre elle, transformant la boutique sympathique en maison du diable qui pousse les gens au péché en pleine période de carême… Heureusement, l’esprit ouvert de Vianne, sa gentillesse et sa bonne humeur lui vaudront également de nombreux amis : comme Guillaume, dont le vieux chien est également son meilleur ami, Joséphine la femme battue du propriétaire du bar, ou Armande, seule véritable ennemie du curé…

     

    Avis :

    Il me tardait de lire ce roman à la couverture si appétissante ! Petite frayeur lors des premières pages qui étaient pratiquement que du récit… Heureusement, après une dizaine de minutes, je suis accroché ! La qualité du texte est telle que l’on ne peut que s’immiscer dans la trame, au sein des aventures des différents personnages. Le roman est alternativement conté par Vianne, notre héroïne, et par le curé Reynaud, de sorte que les deux parties sont ouvertement présentées au lecteur. L’histoire décrit très rapidement une ambiance chaleureuse : les descriptions des différentes confiseries conçues par Vianne ne peuvent que mettre l’eau à la bouche (un roman à ne pas lire en période de carême… ou de régime !!!). La boutique du personnage fait rêver : il est de ces lieux comme le Central Perk de « Friends » où l’on se sent immédiatement chez soi. Du coup, impossible de ne pas entrer dans l’histoire. Le livre prône évidemment la tolérance et décrit de nombreux problèmes de société, ce qui le rend encore davantage réaliste…. Effrayant également, lorsque l’on réalise l’étroitesse d’esprit et les abus auxquels peut conduire l’extrémisme religieux. Le prêtre Reynaud est en réalité un personnage très effrayant qui s’attribue une juridiction quasi divine. Il est d’autant plus terrifiant que l’on sait qu’il existe des gens comme lui dans la réalité… Heureusement, l’humour des autres personnages diminue la tension de Reynaud dans l’histoire et rend le roman très agréable. Pas étonnant que le livre ait été adapté en film ! Et même si la fin m’a un peu déplu, je dois dire que « Chocolat » est un roman enchanteur avec un petit côté fantastique et un grand côté gourmand !  

     

    Avis par Audrey :

    En me lançant dans la lecture, j’avais en tête le film du même nom avec Juliette Binoche et Johnny Depp en tête d’affiche : un classique que j’ai toujours voulu voir mais que je n’ai jamais eu l’occasion de visionner. C’est donc avec envie et curiosité que j’entame ce roman au nom ultra gourmant ! Tout de suite, je suis séduite par l’ambiance un peu mystique du livre, par ses personnages, tout particulièrement la petite Anouk, fraîche vive et innocente et Armande aussi, la vieille au caractère bien trempée. L’histoire est originale par son côté ésotérique, tout en traitant de sujets relativement communs : la tolérance, la différence, les croyances religieuses, le fanatisme… Ce que j’ai apprécié dans ce roman, ce sont les histoires d’amitié qui se nouent au-delà des conventions, la construction du récit avec double narrateur, mais surtout le sujet essentiel du livre : la gourmandise (avec les description des confiseries, pâtisseries… qui donnent l’eau à la bouche !). La lecture a donc confirmé mon envie de voir le film. Ce que je me suis empressée de faire, et autant vous dire que je n’ai pas été déçu… ni par l’un… ni par l’autre.

    Lien direct : Editions Charleston


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  • Et puis c’est le printemps - Julie Fogliano & Erin Stead (1)
    Ras le bol de la canicule ! Moi je veux changer de saison...
     
     
     
    Et puis c’est le printemps - Julie Fogliano & Erin Stead

    Résumé :

    Après un hiver long et rigoureux, un petit garçon décide de planter quelques graines dans son jardin pour que refleurisse le printemps. Il regarde ainsi défiler les saisons en observant l’évolution de la nature et du paysage ainsi que les différentes espèces d’animaux qui y paradent.

     

    Avis :

    Un bel album rempli de poésie. De jolis dessins au crayon avec un véritable souci du détail. Des textes courts (une à deux lignes par page) mais évocateurs. Autant d’éléments qui font de ce livre un album de qualité qui plaira sans conteste à nos petits jardiniers en herbe. J’ai vraiment adoré les illustrations très minutieuses et absolument adorables !

    Lien direct : Editions Kaléidoscope


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  • Soul eater - Tome 20 - Atsushi Ohkubo

    Résumé :

    Après avoir simulé sa mort, Tezca part à la recherche de Justin dans le but de lui faire entendre raison et de se rendre auprès du Shinigami. Kid, quant à lui, remet en question la responsabilité de son père dans la folie qui embrase le monde. Pour cela, il décide de trouver Eibon en personne… Crona, sous les ordres de Medusa, continue de s’entraîner avec le sang noir et se rend en Russie pour y affronter un death scythe, mais ce n’est que le premier pas vers une entreprise bien plus importante… Maka et Soul sont obligés de venir inspecter les lieux avec Stein, ce qui confronte Soul au sang noir. Enfin, Crona vient rendre des comptes à sa mère, qui pour la première fois, pourrait bien dire quelque chose que sa fille ne « comprendra » pas…

     

    Avis :

    Ce 20ème tome est un des meilleurs de la saga et certainement le plus riche en rebondissements, jusque là ! Les combats sont au premier plan, et Crona est le perosnnage au cœur de cette intrigue. En effet, on la voit combattre le death scythe russe et transformer une ville entière en bulle cristallisée de sang noir ! Mais le passage le plus important de tout le tome est la fin – attention spoiler ! – lorsque Medusa dit à sa fille qu’elle est fière d’elle. Ce monstre de sorcière agit enfin comme une mère, ce qui perturbe Crona qui tue Medusa ! Un retournement de situation incroyablement bien amené. La pauvre fille perd complètement ses esprits, seuls de vagues souvenirs de Maka subsistent… Mais il est certainement trop tard. De leur côté, Maka et Soul prouvent une nouvelle fois qu’ils forment une bonne équipe lorsque Soul est conquis par la folie du sang noir. Kid devient indépendant et remet en doute son père, tout en se rapprochant du statut de Dieu de la mort à son tour… Le combat entre Tezca et Justin est superbe, malheureusement, le duel tourne vraiment mal pour notre ami. Bref : un des meilleurs tomes de Soul eater !

    Lien direct : Editions Kurokawa


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