Caractéristiques :

Genre : Roman

Grand format : 454 pages / 19,90 €

Résumé :

Dix ans ont passé depuis l’année horrible d’assistanat d’Andy pour le magazine de mode Runway, et plus particulièrement pour son célèbre tyran au style impeccable : Miranda (Alias le Diable). Andy a profité de ces années pour devenir amie avec son ancienne rivale, Emily. Les deux jeunes femmes ont même lancé un magazine à succès sur le mariage nommé The Plunge. Andy a même rencontré le grand amour : Max, un jeune héritier d’une grande entreprise sur le déclin. Entre une vie de famille épanouie, et le magazine qu’elle doit gérer, Andy n’a pas le temps de se reposer… Mais ce n’est rien, comparé à la peur qui la gagne, lorsque Miranda en personne demande un entretien avec elle et Emily… Le diable is back !

Avis par Jake :

Je dois admettre n’avoir encore jamais lu « Le diable s’habille en Prada », même si j’ai pourtant été conquis par son adaptation cinématographique. A noter qu’il y a cependant quelques différences notoires entre le roman et le film ! (notamment la façon dont les choses se terminent entre Andy et Miranda !). L’écriture du roman est bonne, et l’intrigue pas mauvaise, même si le livre s’affiche clairement « girly » et fashion ! (deux choses que je ne suis pas ! ^^). Un grand point tout de même qui m’a choqué à la lecture… La première pensée qui nous vient en effet est « Le Diable… Mais quel Diable ? » car Miranda ne fait que quelques apparitions purement anecdotiques ! Le roman se base en fait sur la vie personnelle d’Andy : son amitié avec Emily, sa relation de couple avec Max et de tous les problèmes qui en découlent… Je ne sais donc pas s’il comblera véritablement les fans de la première heure ! Pour ma part, j’ai passé un bon moment car l’œuvre traite principalement des premières années de mariage, et même des bébés et des difficultés du couple durant cette période (j’ai personnellement un petit garçon de 11 mois, donc forcément…). Cependant, le dénouement est très abrupt : le gros élément perturbateur arrive à quarante pages de la fin, et une ellipse temporelle d’un an permet de tout clore… Un avis donc partagé sur ce roman qui ne m’a pourtant pas laissé indifférent !

Lien direct : Fleuve noir

Caractéristiques :

Genre : Policier

Grand format : 485 pages / 17,00 €

Résumé :

Jazz a réussi à faire arrêter l’Impressionniste, le serial killer qui prenait exemple sur le père de Jazz : Billy… Mais pour se faire, il a involontairement permis à Billy de s’évader de prison. Jazz est bientôt contacté par un policier du NYPD car un nouveau serial killer fait d’étranges victimes à New York, et la violence escalade à chaque meurtre… Le FBI s’intéresse bientôt à l’affaire, pensant que le tueur a un lien avec Billy. D’un point de vue personnel, Jazz a toujours du mal à se retrouver intime avec sa petite amie, Connie, de peur que cela fasse ressortir une prédisposition génétique au meurtre. Cette dernière fait également une découverte bouleversante sur le passé de Jazz, et elle est jointe par un tueur qui lui propose un petit jeu, qui pourra apporter des réponses que Jazz attend depuis des années…

Avis par Jake :

Enfin la suite de « I hunt killers » ! Et nous avons ici droit à un tome plus noir, mais également plus abouti, plus long, et plus mystérieux ! Quelle frustration d’ailleurs, d’arriver à autant de questions en fin de roman (multiples cliffhangers) qui ne connaîtront de réponses que dans le prochain opus (qui, on l’espère, sortira bientôt !). L’écriture est divine et accroche forcément le lecteur ! On cherche à en savoir plus en tournant chaque page, le suspense est bien conservé. Mais c’est l’ambiance même du livre qui est délectable ! Les personnages sont très attachants, et ce malgré des personnalités très différentes… J’ai pour ma part une préférence pour le meilleur ami hémophile « Howie » qui est simplement hilarant (on retiendra un SMS à son amie black : « profil bas, ma sœur, les poulets sont lâchés, je répète : les poulets sont lâchés »). La trame est géniale, et ressemble à un Dexter junior emprunt d’humour, ce qui ne signifie pas que des horreurs n’aient pas lieu ! Les adeptes des thrillers se régaleront également à tenter de trouver les coupables ! Bref, ce nouveau roman de Barry Lyga a vraiment tout pour plaire, et il devrait en pousser beaucoup à découvrir cette saga addictive !

Lien direct : MSK

Caractéristiques :

Genre : Théâtre

Grand format : 171 pages / 13,20 €

Résumé :

Cette pièce de théâtre est tout d’abord je cite : « un clin d’œil à l’épisode de Mme de la Pommeraye dans Jacques le Fataliste de Diderot ». Ici, Diane s’imagine que Richard ne l’aime plus et va en fait lui faire croire que c’est elle qui se lasse et que ses sentiments à son égard ont changé. Tous les personnages vont subir ce revirement de situation et va entraîner de nombreuses répercussions aussi fortes que celles de la tectonique des plaques.

Avis par Lolo :

Qu’il écrive des romans ou des pièces de théâtre, les récits d’Eric-Emmanuel Schmitt sont tout simplement magnifiques, on ne s’en lasse pas ! Tout y est tellement vrai ! Il a tout compris des rapports amoureux. Comme dans la vraie vie, en amour, on cherche à se rassurer à tout prix même si pour cela on dit l’inverse de ce que l’on pense. Cà commence par une méprise volontairement provoquée par Diane afin de connaître les véritables sentiments de son amant. Cependant est-ce vraiment la bonne manière de procéder ? Ce récit nous décrit de façon terrible mais juste l’incompréhension qu’il y a entre les hommes et les femmes. Pour une femme, dire quelque chose tout en pensant le contraire fait partie de sa logique. Pas pour un homme. Si une femme se sent trahie, elle va automatiquement chercher à se venger et transformer en un rien de temps son amour et sa passion en une haine incommensurable. Aucun stratagème ne sera alors assez tordu pour qu’elle arrive à ses fins. Je n’en dirai pas plus mais à travers ces personnages chacun retrouvera peut-être un peu de son histoire personnelle ou réfléchira sûrement avant de poser certaines questions à l’être aimé.

Caractéristiques :

Genre : Science-fiction

Format poche : 864 pages / 12,80 €

Résumé :

En 2300, Verity Auger est une archéologue qui fait des fouilles sur Terre, une planète désormais désolée dans le conflit entre les Threshers et les Slashers. Lorsqu’à cause d’un faux pas, elle se retrouve dans le mauvais camp d’un procès qui pourrait lui coûter bien plus que sa carrière, on lui fait une proposition alternative… Aux quatre coins de l’univers ont été disposées par des créatures inconnues, des bulles qui auraient la capacité de contenir des systèmes planétaires entiers… On sait d’ailleurs de source sûre que l’une d’entre elle renferme une version de la planète Terre en 1959, dans laquelle la seconde guerre mondiale n’a jamais eu lieu ! Mais les Slashers ont pénétré cette bulle et se sont immiscés dans la population de 1959… La seule solution pour déjouer leur plan, est d’envoyer Verity Auger rechercher de précieux documents. Dans ce monde là, un jeune détective du nom de Floyd enquête sur un meurtre lié à cet univers dont il ignore tout…

Avis par Jake :

Qu’est-ce que je peux adorer découvrir de nouvelles perles de science-fiction ! Et cet auteur a tout d’un grand ! (Ok, je n’ai pas beaucoup de mérité, c’est déjà établi alors que j’ai découvert ce roman ^^). Pourquoi ? C’est simple : on a affaire à de la bonne SF, avec l’imagination superbe de Reynolds. Il invente donc le principe de la « photographie quantique » d’un monde, intégrant tout son univers à une date précise. Mais il présente également (et c’est la toute la beauté de l’œuvre !) une écriture fluide et incroyablement abordable pour de la SF ! C’est, dès lors, un plaisir de s’attaquer à ces presque 900 pages d’aventures à travers les étoiles… Un autre point positif (et pour le moins original !) est que cette trame se passe également en 1959 dans un Paris pittoresque aux allures de Jazz et de ripoux… C’est un peu comme avoir un livre dans un livre ! Quant aux personnages, ils m’ont particulièrement plu, autant Floyd qui est vraiment le bon détective au grand cœur, qu’Auger qui est sarcastique et a tendance à avoir un peu trop confiance en elle. Mais les deux se complètent bien, malgré leurs différences ! Bref, une grande découverte pour moi qui me pousse à lire toutes les autres œuvres d’Alastair Reynolds, que j’espère aussi bonnes !

Lien direct : Editions Pocket

Caractéristiques :

Genre : Roman

Format poche : 261 pages / 7,20 €

Résumé :

C’est l’histoire de Bastos, le chat qui parle et dont le maître Raymond veut « l’allumer » car quand celui-ci le regarde il a l’impression « qu’il se fout de sa gueule ». C’est aussi l’histoire de Rémi un enfant génial, et celle de Paul qui à 10 ans est déjà alcoolique. C’est l’histoire de tout un tas de personnes plus différentes les une que les autres mais qui ont toutes quelque chose en commun.

Avis par Lolo :

Deuxième livre de cet auteur et j’en redemande encore. C’est magique ! D’abord, il faut dire que le livre est très aéré du fait de ses nombreux petits chapitres. L’écriture est fluide, agréable et les vies des protagonistes incroyables. On pourrait penser qu’avec tous ces personnages il serait difficile de les mémoriser, mais non ! Et c’est ça qui est génial car on a l’impression d’une grande famille, et on les visualise tous. D’une part parce qu’ils sont atypiques et d’autre part parce qu’ils ont un lien entre eux. Encore une fois nous avons des adultes, des jeunes, des vieux, des enfants mais aussi des animaux (capable de s’exprimer), bref tout un monde haut en couleurs et cocasse. Chaque personnage est unique et nous fait tantôt rire ou pleurer. Barbara Constantine nous offre ici une grande fresque des sentiments humains et nous prouve que c’est la diversité qui fait la richesse des relations entre les gens. Une belle leçon d’humanité.

Caractéristiques :

Genre : Science-fiction

Format poche : 453 pages / 9,10 €

Résumé :

Lenie Clarke et Ken Lubin sont les deux seuls survivants de la station des abysses. En effet, les autres rifteurs ont succombé à l’explosion nucléaire qui a soulevé les océans et provoqué le Big One, responsable de tant de morts sur les continents… Mais si Lenie Clarke arpente la planète pour se venger, propageant sans le savoir Béhémoth, un virus mortel potentiellement destructeur de toute vie sur Terre ; Ken Lubin a, lui, croisé la route de Desjardins, un corpo responsable de limiter la propagation des virus. Dès cet instant, Lubin est retourné et lancé à la poursuite de Lenie Clarke dans le but de la tuer, et d’assouvir par la même ses pulsions meurtrières… La rifteuse, confrontée à des souvenirs qui ne sont pas les siens, trouvera sur sa route, plusieurs personnages volontaires pour aimer sa cause.

Avis par Jake :

La suite de « Starfish » nous pousse à sortir des océans pour rejoindre la surface de ce monde au seuil de la destruction, et où les inégalités sociales sont flagrantes. Comme toujours avec l’écriture de Peter Watts, les événements sont inattendus ! Bien sûr, je regrette d’avoir perdu le charme du premier tome dans lequel les (anti)héros arpentaient les fonds des océans. Cependant, cet opus nous offre de nouvelles surprises. J’ai particulièrement apprécié le personnage de Desjardins et sa complexité. Sa relation avec Alice semble particulièrement prometteuse. (Bien sûr, en ayant déjà lu le dernier volet de la trilogie : « Béhémoth », je sais que j’aurais déchanté en les lisant dans le bon ordre !) On adore également la description de cette société clairement instable, et le petit côté « hypertechnologique » du suivi du virus qui devient le « Lenie Clarke » informatique ! Le rythme est également plus soutenu que dans le précédent roman, ce qui est logique puisque la trame ressemble beaucoup à une course poursuite : cette pauvre Lenie Clarke n’est pas au bout de ses peines !

Lien direct : Editions Pocket

Caractéristiques :

Genre : Roman

Grand format : 258 pages / 20,00 €

Résumé :

Le milliardaire français Francis Reboul se rend à Los Angeles pour demander à son ami Sam Levitt de servir de prête-nom dans une affaire d’immobilier à Marseille. D’abord réticent il accepte car sa petite amie ravie à l’idée de prendre des vacances dans le Sud de la France est également conviée. Sam va devoir faire face à 2 autres candidats en lice dans ce projet, dont une parisienne qui ne cherche qu’à rentabiliser le littoral en construisant une immense tour de béton et un lord Anglais acoquiné avec le président de sélection, un mafieux corse…

Avis par Lolo :

Ayant lu avec joie, tous les autres romans de Peter Mayle je dois dire que celui-ci m’a vraiment déçu. Je n’ai même pas trouvé l’histoire drôle tellement tout est « couru d’avance ». Il n’y a pas l’humour habituel mais plutôt une monstrueuse caricature de Marseille et des Marseillais décrits bien sûr comme magouilleurs et corrompus. C’est à la limite du guide Michelin pour les restaurants du coin et du guide touristique pour y accéder ! De plus, concernant l’histoire, il y a des faits complètement abracadabrants et irréalistes. Aucun intérêt donc pour ce livre, sitôt lu sitôt oublié !

Caractéristiques :

Genre : Roman

Grand format : 455 pages / 22,50 €

Résumé :

Elvira de Poulain, jeune artiste peintre mariée à un riche homme d'affaire apprend un jour que ce dernier qui résidait en Chine vient de mourir. Elle décide alors de partir vers ces contrées lointaines afin de régler les dernières affaires concernant son époux. Cependant, elle était loin de se douter que ce qu’elle recevrait en héritage ne serait qu’un énorme lot de dettes et une menace d’atteinte à sa propre vie et à celle de sa nièce Fernanda, qu’elle a amenée avec elle. En effet, un groupe d’extrémistes est à la recherche d’un bien précieux qui appartenait à son mari. Et ce trésor est effectivement un objet antique d’une grande valeur qui amènera l’héroïne à faire un parcours à travers toute la Chine sur les traces du premier empereur… Pour cela, elle sera accompagnée d’un antiquaire, d’un journaliste Irlandais, d’un petit serviteur Chinois et de sa nièce Fernanda… Ensemble, ils iront d’aventures en périples dans le but d’élucider un mystère historique.

Avis par Audrey :

Un roman historique avec pour ingrédients : une femme de caractère,  un périple à travers une contrée mystérieuse, des aventures et des péripéties riches en rebondissements ! Ce livre qui avait donc tout pour me plaire promettait de grands moments de lecture, cependant, au commencement, j’ai eu (je dois bien l’avouer) beaucoup de mal à accrocher. Le récit de l’héritage, de son arrivée en Chine, traînait un petit peu en longueur. Toutefois, une fois entrée dans le vif du sujet et plus exactement dans le récit des aventures et des différentes étapes de leur voyage, l’histoire devient nettement plus palpitante ! On s’attache aux personnages, on s’imprègne de l’ambiance Chinoise Taoïste… On retient son souffle lorsque les héros sont prêts d’atteindre le but, ou lorsqu’ils sont attaqués par les membres de la Bande Verte. En conclusion : j’ai pris du plaisir à lire cette œuvre qui a mon sens n’est pas la meilleure publiée chez Charleston mais qui reste d’une grande qualité !

Lien direct : Editions Charleston

Caractéristiques :

Genre : Policier

Grand format : 384 pages / 17,95 €

Résumé :

Six ans déjà que Jake a assisté au mariage de Nathalie la femme de sa vie avec un autre. Six ans qu’il n’a jamais essayé de savoir ce qu’elle est devenue car c’était son souhait. Cependant quand il apprend la mort de son mari sa promesse devient caduque et il veut la revoir à tout prix. Seulement à l’enterrement, la veuve éplorée est une parfaite inconnue. Comment est-ce possible ? Où est Nathalie ? Pourquoi lui avoir menti ? Toutes ces questions amènent Jake à partir à sa recherche mais il va vite se rendre compte qu’il n’est pas le seul dans ce cas.

Avis par Lolo :

Voilà un excellent Coben. Il m’a d’ailleurs rappelé son premier roman « Ne le dis à personne » pour sa façon bien particulière d’écrire et son originalité. Une histoire simple et banale au début qui va ensuite démarrer plein pot dès que Jake va se mettre à rechercher Nathalie. Sa petite vie de professeur de Faculté va basculer du tout au tout. Et c’est en grande partie ce qui en fait l’originalité car Jake n’est ni détective, ni policier et il va devoir affronter des gens très dangereux sans y être préparé.  Il n’y a pas de temps mort, et c’est terriblement bien ficelé. Les personnages sont crédibles tant les « gentils » que les « méchants ». On partage les péripéties de Jake et on croise les doigts pour que ça finisse bien. L’intrigue est géniale et c’est un roman qu’on a envie de lire d’une traite tant le suspense est parfois insoutenable. Du très bon polar !

Caractéristiques :

Genre : Jeunesse / Fantastique

Grand format : 400 pages / 18,50 €

Résumé :

Orthon est parvenu à devenir le second de la toute puissance américaine, contrôlant dans l’ombre chacune des décisions du président. Il a également réussi à obtenir le soutien de divers pays du monde entier, et fait payer chèrement à ceux qui ont refusé d’obéir… Les Sauve-qui-peut sont les seuls à pouvoir défier Orthon et ses hommes. Ils cherchent alors la base de l’immonde tyran qui a décidé de se créer un Nouveau monde afin d’épurer l’ancien… Mais ce n’est pas le seul danger pesant sur nos amis, car ce qu’Orthon désire plus que tout est de se venger des personnes qui l’ont rejeté… C’est ainsi qu’il lance une fusée destinée à détruire l’étoile qui protège Edéfia ! Une étoile dont le destin est inextricablement lié à celui d’Oksa…

Avis par Jake :

Le dernier tome des aventures d’Oksa répond à toutes nos attentes. Je l’ai dévoré en 24 heures, car comme on peut le lire sur la quatrième de couverture : « le temps s’accélère ». Il n’y a pas de temps mort, ce qui le rend très agréable à lire ! La trame est bonne : Orthon arrive à l’apogée de ses plans, et seuls Oksa et ses amis peuvent l’en empêcher. On sent Oksa plus mature, elle a grandi avec chaque tome pour arriver à ce dénouement… Sa relation avec Gus s’est épanouie également. C’est d’ailleurs le cas de tous les personnages… Seul petit regret dans ce tome : la fin n’est pas tant une conclusion pour Oksa, que le premier chapitre des nouvelles aventures de Tugdual (qui sortent au Printemps 2014)… A la fin d’une telle saga, on méritait tout de même un épilogue un peu plus dense sur la situation d’Oksa, au lieu d’une fin qui se ressent beaucoup plus dramatique… Même si je suis très heureux que le monde d’Oksa puisse perdurer !

Lien direct (Extrait disponible) : XO Editions