• Bleach - Tome 58 - Tite Kubo

    Résumé :

    Les capitaines de la Soul Society se font écraser par le Vandenreich. Le capitaine général se retrouve bientôt confronté au leader ennemi : Yhwach qui fait preuve d’une force jusqu’alors inégalée. Le combat fait rage et Genryûsai ne tarde pas à tomber… Tous les membres de la Soul Society sont troublés et Ichigo prend place de son ancien chef face à l’ennemi. Son adversaire ne peut rester plus longtemps sur place, mais l’un de ses hommes parvient avec une facilité affligeante à briser l’arme d’Ichigo avant de disparaître ! La division zéro qui protège habituellement le palais royal est appelée en urgence. Ses cinq membres, dont la puissance combinée dépasse celle de tout le reste de la Soul Society emportent avec eux tous les blessés graves, ainsi qu’Ichigo, afin que celui-ci découvre de nouvelles techniques qui lui permettraient de tenir tête au Vandenreich…

     

    Avis par Jake :

    Un tome qui redore le blason de Bleach ! Si les derniers opus ont été un peu répétitifs à force de combats successifs, le rythme de ce numéro est bien différent ! Evidemment, (et heureusement !) nous assistons à de beaux duels, mais de nombreux sentiments côtoient ces scènes. Tout d’abord, la peine qu’implique la mort de Genryûsai au sein de la Soul Society, ainsi que l’étendue des blessures de Rukia. Mais l’humour est également très présent à travers les différents états interloqués, d’Ichigo notamment. Ces véritables « tronches » dessinées sont un coup de maître du mangaka qui nous fait mourir de rire ! D’un point de vue scénaristique, on accède à un nouveau mystère énorme avec la pique lancée sur la mère d’Ichigo… De quoi intéresser les lecteurs ! Pareil pour la division zéro et ses membres qui semblent très puissants et à même de hisser Ichigo à un nouveau niveau. Le palais royal est un nouvel « univers » qui en jette… Bref : un nouveau niveau pour Bleach

    Lien direct : Editions Glénat


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  • Tokyo ghoul - Tome 05 - Sui Ishida

    Résumé :

    Ken a réussi à échapper aux griffes de Shu Tsukiyama, dit Le gourmet. Mais la goule gastronome n'a pas pour autant tiré un trait sur cet être unique qu'est Ken... Shu tient toujours à mettre le jeune homme dans son assiette, et c'est ainsi qu'il lui tend un nouveau piège ! Le gourmet capture Kimi, une humaine qui connait la vraie nature de goule de son ami Nishiki. Alors que les deux garçons se battent en vain contre Shu, dont la force est bien plus élevée que les leurs, Toka arrive et utilise son "aile" magnifique pour combattre Le gourmet. Mais son régime alimentaire fait qu'elle est moins puissante... C'est ainsi que Ken lui propose de se nourrir de lui pour recouvrer sa force ! Le passé de Lize est révélé dans le district 2 qu'elle occupait avant... Les colombes, elles, se rassemblent pour contrer la vague de goules qui semble se déverser sur certains districts...

     

    Avis par Jake :

    Un tome génial et très mouvementé qui voit s'effectuer le retour (en force !) de Toka. C'est d'ailleurs le point fort de cet opus, d'après moi. La goule déchaîne pour la première fois son véritable pouvoir. Son "aile" est superbe, et l'effet rendu aussi (on peut voir dans le rabat de la couverture, la version couleur !). La partie sur Le gourmet était sympathique : un bon chapitre de transition. On attaque de nouveau un arc plus importe, je pense, avec le retour des colombes. La densité de personnages augmente au fur et à mesure que l'univers de Tokyo ghoul se construit. J'aimerais beaucoup un rapprochement de Toka et Ken, et on peut voir à l'attitude de la jeune femme qu'elle tient tout de même à lui. Le passage sur le passé de Lize était très intéressant, et le mangaka semble développer un mystère autour de ce personnage ! Avec ses excellents dessins sombres, ce shonen assez hard devient simplement de mieux en mieux à chaque tome !

    Lien direct : Editions Glénat


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  • & (9)

    Caractéristiques :

    Genre : Roman

    Grand format : 162 pages / 15,00 €

     

    Résumé :

    Louise et Adam, anciens amants, à présent séparés par des milliers de kilomètres, décident d’entamer une correspondance dont le sujet n’est rien d’autre que : l’amour. Ce sentiment fort et charnel qui unit deux êtres peut-il être provoqué ? Existe-t-il un « élixir d’amour »? Les deux protagonistes iront de théories en constats dans le but d’éluder la fameuse question… sans même se douter que c’est une toute autre révélation, bien plus personnelle, qui leur sera livrée.

     

    Avis par Audrey :

    Le charme de cette histoire tient beaucoup de sa forme épistolaire. Genre classique mais, à mon sens de circonstances, dans une époque où tout se dit et se transmet via des médias et toutes sortes de nouvelles technologies. Alors, en effet, pourquoi ne pas parler de sentiments ou même de sujets plus sérieux ou philosophiques par messages écrits ? Ici, Schmitt nous rappelle que l’écriture n’est pas simplement le fait de banalités (comme nous avons tendance à l’utiliser au quotidien) mais qu’elle peut aussi servir à l’expression des pensées et des sentiments. J’ai beaucoup aimé la profondeur d’esprit des « dialogues » et la richesse du vocabulaire employé dans le texte qui reste fluide et agréable à lire. Les personnages sont intéressants même si on ne connaît finalement que très peu d’eux. La forme épistolaire permet d’en saisir l’essence mais pas de nous y attacher. Un livre court (lu en une soirée) mais qui soumet des idées fortes et qui nous livre une certaine poésie de par son texte. A l’image des autres oeuvres de Schmitt, un bon moment de lecture est au rendez-vous !

     

    Avis par Lolo :

    Il s’agit là, d’une correspondance entre 2 personnages Adam et Louise qui sont d’anciens amants. Ce qui est intéressant, c’est la lente  transformation de cet échange. Ils nous racontent tour à tour le désir, la passion bref tout ce qui a trait à l’amour. Cette joute verbale est bien menée et la fin surprenante… Peut-on provoquer l’amour ? Comment faire pour qu’un couple ne connaisse pas l’usure ? Bien entendu le fait qu’Adam soit psychanalyste rajoute du piment à cet échange de lettres. On en apprend un peu plus sur l’amour et ses mystères mais existe-il une recette pour qu’il dure ? Chacun tirera les leçons en fonction de son vécu, de ce roman à caractère plus psychologique que physique.

    Lien direct : Editions Albin Michel


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  • Captain Tsubasa - Tome 24 - Yoichi Takahashi

    Résumé :

    L’équipe de Nankatsu est dans sa finale du tournoi des collèges. Le jeu est très serré contre le Centre Toho, mais Tsubasa, alors même qu’il est très blessé, parvient à égaliser. Malheureusement, aucun autre but n’est marqué avant la fin de la deuxième mi-temps, et les prolongations sont sur le point de commencer… Etant donné l’état de Tsubasa, le médecin sur le terrain déconseille son retour au jeu. Mais Tsubasa refuse de laisser ses coéquipiers, même s’il doit partir pour le Brésil, il estime que cette défaite lui coûterait très cher d’un point de vue personnel. Avec l’accord de ses amis, et leur soutien, Tsubasa se jette à corps perdu dans les prolongations, quitte à jouer en défense pour palier sa fatigue. Bien sûr, l’équipe adverse fait son possible pour gagner…

     

    Avis par Jake :

    Etant né dans les années 80 (suspense sur l’année précise ! ^^), j’ai évidemment vu plusieurs épisodes d’Olive et Tom, l’anime adapté du grand Captain Tsubasa, renommé à cette époque. Glénat ressort ce shonen en ayant beaucoup retravaillé les dessins (nettement plus clairs) ainsi que les traductions. Ne serait-ce que pour l’aspect nostalgique, il me fallait plonger la tête dans un des tomes de ce manga ! Les dessins reflètent clairement l’âge (avancé) de ce shonen, on y retrouve un coup de crayon similaire à celui des Chevaliers du zodiaque, donc assez imprécis. Côté scénario, c’est un peu dur à dire avec un seul tome, mais l’on ne peut qu’admirer la ténacité du personnage principal (et la longueur du match de foot qui n’est toujours pas terminé en deux tomes ^^). Captain Tsubasa prône la passion pour le football, et l’unité que cela doit avoir comme conséquence sur une équipe. Comme la grande majorité des œuvres sportives, cela reste à conseiller aux fans du genre ! Et pour le football, Captain Tsubasa est sans conteste LA référence…

    Lien direct : Editions Glénat


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  • & (8)

    Caractéristiques :

    Genre : Roman

    Grand format : 324 pages / 21,90 €

     

    Résumé :

    Dev est un jeune homme de 21 ans qui a besoin de travailler pendant l’été afin de se payer ses études. Pour se faire, il doit laisser sa petite amie et se faire engager par Joyland, un parc d’attraction qui « vend du bonheur ». Le travail n’est pas facile, pourtant, Dev va bientôt se rendre compte qu’il vit probablement la plus belle année de sa vie. Il deviendra très proche de deux autres jeunes qui travaillent avec lui, et se fera rapidement apprécier de la majorité des forains, grâce à sa bonne humeur et à son affinité avec les enfants. Pourtant, lors de son arrivée, la voyante du parc le prévient qu’il doit faire attention à une petite fille portant une casquette rouge, et à un petit garçon accompagné d’un chien… L’un des deux a un pouvoir de vision. Les deux ont besoin de son aide…

     

    Avis par Jake :

    Un nouveau Stephen King ajouté à ma modeste collection de livres de cet auteur de génie ! Difficile (comme c’est souvent le cas avec King) de classer véritablement l’ouvrage, car il pourrait tout aussi bien entrer dans la section « policier » ou « fantastique ». Pour ma part, j’ai préféré le mettre en « roman », car ce qui m’a le plus plu ici, c’était l’ambiance si singulière et agréable qui se dégageait de chacune des scènes, et l’évolution d’un personnage en or : Dev. La trame ne paie pas de mine, bien que très acceptable, mais c’est la force de ses personnages et surtout de son écriture, qui fait de Joyland un roman que l’on ne peut pas lâcher tant il est addictif ! Sur la 4ème de couverture, vous pouvez lire « dans la lignée de Stand by me », et bien il me faudra rapidement m’attaquer à ce livre s’il est dans la même veine que Joyland ! King semble avoir un don pour vous immiscer dans la vie de ses personnages, on a l’impression de grandir avec eux et de partager leurs expériences. De plus, le fait d’avoir une trame courante mêlée à un simple élément fantastique donne quelque chose de très réaliste. Que dire véritablement de plus, sinon que l’on souhaiterait que ce roman n’ait pas de fin ! C’est beau, touchant, drôle par moment et incroyablement vrai. C’est un livre sur une étape transitoire de nos vies, que nous traversons tous à notre manière. Cela parle d’amour, d’amitié et d’épreuves… Superbe !

    Lien direct : Editions Albin Michel


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  • Wolf girl & black prince - Tome 01 - Hatta Ayuko

    Résumé :

    Erika est une élève de seconde. Mais pour entrer dans le groupe des filles branchées, elle doit prétendre avoir une folle relation amoureuse… Elle s’invente donc un petit ami. Mais elle ne peut tenir le mythe qu’un temps ! Elle prend finalement un inconnu en photo dans la rue, et le présente comme son petit ami auprès de sa clique féminine… Erika pense s’en être sortie admirablement, jusqu’à ce que ses amies le reconnaissent comme Sata, un autre élève de seconde de leur lycée ! Impossible de prétendre seule plus longtemps, Erika se voit contrainte de rencontrer le fameux jeune homme et de lui demander s’il veut bien se faire passer pour son amoureux… Sata lui offre un compromis des plus étranges : il jouera les petits amis, si elle accepte de lui obéir au doigt et à l’œil comme un bon chien-chien… Celui qu’elle avait pris pour un prince, se révèle bien sombre ! Pourtant, elle accepte le marché de Sata… Le couple insolite n’a pas fini de se disputer… et de se découvrir.

     

    Avis par Jake :

    Un shojo qui sort un peu de l’ordinaire ! On a l’habitude de trouver dans ce genre des jeunes gens follement épris l’un pour l’autre, et bien tout commence par la colère et le chantage dans cette œuvre-ci ! Etant plutôt un lecteur shonen, je n’ai pas trouvé que ce manga était captivant, pourtant je dois tout de même avouer avoir bien rigoler à certains moments, notamment les premières pages durant lesquelles les filles débattent de sexe et de pratiques bizarres ! Beaucoup d’humour donc, très sarcastique pour la majorité, avec un Sata très blasé sur les relations amoureuses. Erika est l’héroïne typique de shojo, qui se met dans des situations impossibles. Les deux révèlent cependant un bon fond, comme nous le montrent les chapitres au fur et à mesure. L’évolution de leur relation reste assez claire, évidemment. Côté dessin, c’est assez réussi. Très féminin, également. Cela colle parfaitement avec le genre ! En somme : un nouveau shojo assez original et drôle qui ravira les amatrices du genre ou celles qui rêvent de se replonger dans l’univers (compliqué !) du lycée et de ses péripéties amoureuses…

    Lien direct : Editions Kurokawa


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  • Le livre sans nom - Anonyme

    Caractéristiques :

    Genre : Policier

    Grand format : 460 pages / 21,00 €

     

    Résumé :

    L’histoire se déroule dans une ville perdue d’Amérique du Sud nommée Santa Mondega. Une éclipse totale qui a lieu tous les 5 ans attire les personnages les plus dingues et déjantés. Tous ou presque sont à la recherche d’une pierre précieuse d’une valeur inestimable. En tête, se trouve le Bourbon Kid qui flingue à tout va, puis le sosie d’Elvis, puis Jefe un chasseur de prime, mais également un baron du crime et de la pègre locale, et pour couronner le tout,  2 moines qui ressemblent plus à Karaté Kid qu’à des « padres ».Tout ce petit monde est poursuivi par deux flics très spéciaux, à un rythme plus qu’effréné !

     

    Avis par Lolo :

    Il faut dire d’emblée que ce livre est dans la même veine que « psycho killer » et qu’il convient donc de le prendre au 2° degré (ou plus si c’est possible !!!). C’est un délire total pour notre plus grand plaisir. Ce n’est pas un livre qui se lit mais qui se visionne. On se croirait vraiment dans un road movie à la Tarantino. Le livre est conçu comme ses films : On n’est tantôt dans « Pulp fiction », tantôt sur « Le boulevard de la mort ». Mais j’ai noté pas mal d’autres clins d’œil à certains films du même genre qui font ici office de parodies bien sûr ! L’histoire se déroule à toute vitesse et on n’a ni le temps de s’ennuyer, ni celui de s’attacher aux personnages car l’espérance de vie à Santa Mondega est très courte !!! Malgré quelques faits assez surréalistes, il y a une vraie logique dans l’histoire. Même s’il y a des morts à la pelle, c’est écrit avec un tel humour que franchement on n’arrête pas de rire. Les personnages principaux sont tous plus incroyables les uns que les autres et il y a même une belle histoire d’amour digne d’un conte de fée. Un livre qui « file la pêche », un pur régal !


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