• Dragon Ball Z - Film 08 Broly le super guerrier - Akira Toriyama

     

    Résumé :

    Paragus est un saiyan qui débarque un jour sur Terre pour demander à Vegeta de venir gouverner la nouvelle planète Vegeta, et s’opposer au guerrier qui semble imbattable. Incapable de refuser un challenge, le prince des saiyans se précipite, avec pour l’épauler Trunks et Gohan. Mais en parallèle, maître Kaio requiert l’aide de Son Goku, car une terrible menace pèse sur l’univers : un fantastique guerrier a déjà détruit une partie de la galaxie et projette de s’en prendre à la Terre. Broly est le fils de Paragus, et depuis sa naissance, qui eut lieu à quelques heures d’intervalle de celle de Goku, il vous à ce dernier une haine sans pareille ! Sauvé bébé par son incommensurable puissance, Broly est un être dont la rage et le pouvoir font perdre la tête… Il est le guerrier millénaire ! Nos amis seront-ils capables d’en venir à bout ?

     

    Avis par Jake :

    Bien que d’une extrême noirceur (la planète sur le point de se faire détruire par une comète, le sort funeste de Paragus et celui des habitants de la nouvelle planète Vegeta), cet OAV est certainement celui qui aura obtenu avec les années le plus de gloire. Et ce pour une raison très précise : il met en avant l’un des combattant et méchant les plus populaires de Dragon Ball Z : Broly. Un guerrier qui individuellement parvient à terrasser chacun des combattants super saiyans, même lorsqu’ils s’unissent. « Le guerrier millénaire » parvient à un stade intermédiaire avec le SSJ 2 qui aura conduit à de nombreux débats. Reste que son imposante masse et sa rage en font un adversaire incroyable. Sans cela, la trame est assez noire, comme l’ambiance d’ailleurs. On trouve un Vegeta inédit qui baisse les bras, ce qui parait assez inconcevable (voire même peu crédible) ! L’histoire se place normalement en plein milieu de la saga Cell (bien que cela soit impossible, comme c’est souvent le cas avec les OAV). Malgré ces travers, l’épisode Broly reste incontestablement culte…

    Lien direct : Editions Glénat


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  • Moi, empereur du Sahara - Jean-Jacques Bedu

    Caractéristiques :

    Genre : Roman

    Grand format : 296 pages / 19,00 €

     

    Résumé :

    Jacques Lebaudy est le digne héritier des Sucres du même nom. Après avoir passé sa jeunesse à sortir et à traîner dans les casinos et cabarets, il décide de conquérir l’Afrique et s’autoproclame en 1903 : Jacques 1er Empereur du Sahara. Il affrète un bateau et part à la conquête de cette terre inconnue. Il a juste quelques marins dévoués avec lui et s’imagine qu’il va régner en maître sur les peuplades qu’il va rencontrer dans le désert. Cette épopée ridicule en fera le personnage le plus moqué du début du siècle, mais grâce à sa fortune colossale, il effraiera quand même de nombreux gouvernements.

     

    Avis par Lolo :

    Bien que romancé, ce récit est inspiré d’une histoire vraie ! Celle de Jacques Lebaudy, personnage haut en couleurs, complètement loufoque et mégalomane à l’extrême. Nous avons un aperçu de son père Jules, qui était un financier hors pair et qui a enseigné à son fils les techniques de la réussite dans ce domaine. C’est toute une époque qui est décrite ici, mais du côté des plus riches bien sûr ! Les Lebaudy forment une famille très bizarre et sont plus dingues les uns que les autres. La palme revenant quand même à Jacques qui est d’emblée antipathique. Non seulement il prend tout le monde de haut, mais en plus il est horrible avec sa femme et sa fille. De plus, il est difficile de croire qu’un tel génie de la finance soit aussi stupide. Il était la risée de tous. On alterne entre le rire et le pathétique au fil des pages. Pour moi, la dernière partie du livre est « too much ». Cependant, à travers cette « folie douce », l’auteur soulève ici le grave problème du pouvoir que donne la vraie fortune. Jacques se croyait élu de Dieu et ça lui est monté à la tête. C’est dramatique ! Mention spéciale pour la couverture qui illustre parfaitement le contenu du livre.

    Lien direct : Editions Albin Michel


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  • Minimum - Tome 02 - Maya Miyazaki

    Résumé :

    Haru et Saito arrivent très rapidement au conflit, et Ito se retrouve à choisir entre son meilleur ami et la jeune femme qui a besoin de lui comme sauveur. Le côté chevaleresque d’Ito l’emporte, et cela pousse son ami à tenter d’en découvrir davantage sur la fille minuscule. Saito tombe bientôt sur un site internet étrange dont semble issus des personnes réelles. Ainsi, une jeune femme apparaît dans une décharge et traque sa nourriture : « des données ». La nouvelle venue représente une menace pour Haru, puisqu’en embrassant certaines personnes, elle les fait carrément disparaître… De leur côté, Haru et Ito se rapprochent, ils vont même jusqu’à s’embrasser, même si Haru ne cesse de le nier, en criant sans vergogne sur son protecteur. Pourtant, la jeune femme ne peut qu’être touchée lorsqu’Ito se range de son côté… Mais parviendra-t-elle à la grande menace qui pèse sur sa personne ?

     

    Avis par Jake :

    Minimum prend de suite la direction de la science-fiction. Difficile de comprendre immédiatement ce qu’il se passe. La nouvelle venue semble être issue du monde numérique, et traquer des êtres comme elle pour s’en nourrir. Des personnes qui se seraient immiscées dans le monde réel… Mais là encore, il est trop tôt pour en être sûr. Ce qui est certain, c’est que cela pimente l’histoire, puisque cette femme peut se révéler très dangereuse pour Haru. La construction du tome est un peu « fouillie » : les passages de connivences entre Ito et Haru, ceux de la jeune femme cannibale, et ceux qui suivent les recherches de Saito se mélangent sans véritable sens. Pourtant, j’accroche : le côté un peu érotique de certaines images se mêlent bien avec l’atmosphère humoristique, principalement due au caractère explosif d’Haru, et celui passif d’Ito. Côté dessin, c’est toujours très sympa. Il y a un bon mix entre le shojo et le shonen, même si parfois ça fait très girly (notamment lorsqu’Ito et Haru se regardent en chien de faïence !). C’est un seinen très sympa, qui flâne avec l’érotique et s’il parvient à se créer une bonne trame (ce qui semble être le cas), Minimum peut gagner un fort potentiel… A suivre !

    Lien direct : Editions Glénat


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  • L'or du bout du monde - Tamara McKinley

    Caractéristiques :

    Genre : Roman

    Grand format : 450 pages / 23,95 €

     

    Résumé :

    A la fin du XIXème siècle, ils ont été nombreux à tenter leur chance sur le nouveau territoire : l’Australie, en rêvant de conquêtes, de richesses et de réussites. Parmi eux, Jessie, une institutrice pleine de passion et de détermination ; un jeune couple descendant des premiers pionniers qui tâchera de construire sa nouvelle vie sur des terres riches et fertiles mais également une famille d’aristocrates au lourd passé et enfin un pêcheur de baleine tahitien parti à la conquête de l’or pour seulement avoir le droit de monnayer la main de celle qu’il aime. Tous vivent une vie très différente mais un seul but les unit : la réussite. Cependant, ils sont loin de se douter qu’ils sont aussi liés par un passé commun…

     

    Avis par Audrey :

    Des destins croisés, des histoires extraordinaires sur des personnalités ordinaires mais riches de l’espoir qu’ils nourrissent pour cette terre qu’ils ont su faire leur : l’Australie. J’aime ces récits de conquêtes et de voyages avec tous les ingrédients qui constituent un vrai bon roman : intrigue, amour, passion, amitié, drames et histoires de famille. J’ai particulièrement apprécié l’histoire de Ruby, la femme du couple descendante des pionniers. Son amitié avec une aborigène m’a touché. Cela dépasse les conventions de l’époque. J’ai aussi beaucoup aimé l’institutrice, cette femme de caractère, authentique que l’amour fait vivre. L’écriture est très fluide, on a de bonnes descriptions, notamment les paysages qui deviennent enchanteurs ! Ca donne envie ! Ce livre est le troisième opus d’une trilogie exaltante à lire absolument par tous les amoureux de romans historiques.

    Lien direct : Editions l’Archipel


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  • Les gouttes de Dieu - Tome 33 - Tadashi Agi & Shu Okimoto

    Résumé :

    Shizuku est à la recherche du 10ème apôtre en Bourgogne. Il est accompagné de Nakada et de Renée, fille d’un célèbre styliste qui doit prendre la succession de son père malade, en dessinant une robe inspirée des vins Vosnes-Romanée. Les trois compères tombent bientôt sur Alain Clair, styliste et adversaire de Renée… Un homme méprisant qui détestait le père de Shizuku, et prend immédiatement en grippe le jeune homme. Pourtant, même lui devra reconnaître le talent du garçon, ainsi que de la jeune Renée… De son côté, Issei a réussi à convaincre Elsa de le laisser plonger en apnée jusqu’aux fameux 100 mètres de profondeur, où il espère atteindre un état second entre la vie et la mort, qui lui permettrait de prendre conscience de nombreuses choses… Un atout non négligeable dans son duel face à Shizuku…

     

    Avis par Jake :

    C’est la première fois que je me plongeais dans ce seinen très original qui suit le rare sujet de l’œnologie. Ce manga ne manque certainement pas de succès, étant donné qu’il fait désormais preuve d’une certaine longévité en dépassant les trente tomes. Côté dessin, les visages sont assez réussis, ainsi que les paysages. En revanche, lorsque les deux se superposent, il y a un effet assez minimaliste qui vise à laisser les décors complètement de côté… C’est un peu dommage. Côté scénario, la ligne conductrice m’a bien plu : l’idée d’un duel sur les vins, un héritage, deux frères qui s’affrontent… C’est pas mal du tout ! On sent également que le manga parvient à créer de nombreuses trames secondaires (ici, avec Renée la styliste, ou la relation qui s’est créée entre Elsa et Issei). Il y a un côté très lyrique et poétique, avec lequel j’ai moins accroché, en revanche, qui est très développé lorsque les protagonistes se mettent à décrire les vins. C’était probablement obligatoire, puisqu’il faut bien transmettre au lecteur le goût à travers la description, ce qui n’est pas chose aisée. Néanmoins, peut-être est-ce le fait que je ne boive pas d’alcool, ou que je n’aime pas le vin qui m’a fait décroché à certains de ces passages… Mais je peux comprendre que ce manga plaise, il lui suffit de trouver son public.  

    Lien direct : Editions Glénat


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  • Etoiles, garde à vous (Starship troopers) - Robert Heinlein

    Caractéristiques :

    Genre : Science-fiction

    Format poche : 314 pages / 6,30 €

     

    Résumé :

    Dans le futur, une nouvelle recrue, tout juste majeure, s’engage dans le plus grand et difficile camp d’entraînement Humain qu’il soit. Il ne tarde pas à faire partie de l’élite, dans sa catégorie : l’infanterie terrestre mobile. Partout dans l’univers, ces hommes sont envoyés pour protéger et détruire, sans poser d’autres questions que « où » et « quand ». Le combat s’avère difficile lorsque l’armée est confrontée à une espèce extraterrestre d’arachnides géants qui défend ses positions avec hargne…

     

    Avis par Jake :

    Derrière ce titre se cache en réalité le grand Starship troopers, pilier de la SF américaine et rapidement adapté en une saga de plusieurs films. J’ai mis un peu de temps avant de démarrer complètement et de me laisser prendre… Très certainement car le lecteur entre dans un monde extrêmement militarisé, qui n’est pas vraiment ma tasse de thé. Mais on est très vite happé par cette dynamique étrange, par les liens et la vie singulière des officiers de ce monde. J’ai beaucoup plus apprécié le roman lorsqu’il a présenté l’espèce extraterrestre hostile, sa façon de vivre et ses conflits avec l’espèce humaine. Je regrette en revanche que la fin ne précise pas le dénouement de la guerre. C’est un peu un ovni littéraire en matière de SF, et j’imagine que c’est ce qui en a fait son succès. Même si pour moi, le livre ne se classera pas (du tout) dans mes préférés…


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  • Dragon Ball Perfect edition - Tome 31 - Akira Toriyama

    Résumé :

    Gohan, Goku et Vegeta continue leur descente dans le vaisseau de Babidi en compagnie de Kaio Shin, afin d’éliminer la menace Majin Boo avant que ce dernier ne soit ressuscité. Mais les choses se corsent lorsque Dabra sent le vice en Vegeta, et que le sorcier Babidi l’utilise pour faire passer le prince des saiyan de son côté. Dès lors, Vegeta n’a de cesse de provoquer Son Goku en duel… Gohan et Kaio Shin décident alors de poursuivre la route pour tenter de stopper à temps la naissance de Boo, mais n’est-il pas déjà trop tard ? En parallèle, le tournoi de Budokai se poursuit avec une finale pour le moins étrange : Satan est opposé à C18 et Trunks / Goten…

     

    Avis par Jake :

    Evidemment que je connaissais Dragon Ball, et on apprécie énormément la saga Boo, qui donne lieu à de fantastiques transformations, autant du côté des gentils (Goku en SSJ 3, la fusion de Trunks et Goten, Mystic Gohan) que du côté des méchants (les nombreuses absorption de Boo, qui en font un adversaire redoutable)… Mais c’était la toute première fois que j’avais l’occasion de découvrir la « perfect édition » de Glénat, un format qui devient de plus en plus courant pour les mangas célèbres (On pense notamment à City hunter). Et je dois avouer que je suis resté scotché ! Les pages sont plus clairs, les dessins plus grands, sans pour autant perdre de leur qualité ou de leur détail. Les textes et polices ont été affinés… C’est vraiment du très bon boulot ! La couverture donne de suite envie ! Côté scénario, ce sont les prémices de l’affaire Boo, dont on n’imagine jamais (à la première lecture) l’étendue des pouvoirs. L’utilisation de Vegeta est très intelligente, c’est le retour du prince guerrier sans peur et sans pitié. Le tournoi fait un joli contraste quant au sérieux des combats contre Babidi. Les dessins sont parfaits, mais c’est toujours le cas avec le grand Akira Toriyama ! On trépigne de lire la suite, même lorsqu’on la connaît déjà ! C’est génial, c’est Dragon Ball en modèle de luxe ! ^^

    Lien direct : Editions Glénat


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  • Le dernier déluge - David Emton

    Caractéristiques :

    Genre : Policier

    Grand format : 341 pages / 20,90

     

    Résumé :

    Le jour de Noël, alors qu’un déluge dantesque s’abat sur Paris, Christine reçoit un étrange colis. Sa surprise quand elle l’ouvre et se retrouve face à un nouveau né dans une bulle protectrice, dépasse l’entendement. Elle est alors confrontée à des tueurs impitoyables venus des quatre coins du monde pour récupérer le bébé. Celui-ci serait porteur d’une souche mutante du virus du Sida transmissible par l’air. Que doit-elle faire, et surtout à qui doit-elle faire confiance ? La survie de l’Humanité tout entière est entre ses mains.

     

    Avis par Lolo :

    Excellent polar scientifique mêlant la réalité et la fiction de manière à ce que l’ensemble reste toujours crédible. J’ai dévoré le livre en quelques heures sans pouvoir le lâcher ! Clair, bien écrit, doté de chapitres qui alternent entre les différents personnages et lieux. L’histoire se passe sur une trentaine d’heures environ et c’est une incroyable course contre la montre. Christine, la « mère » désignée d’office et d’emblée attachante ainsi que Damien le sympathique voisin qui va l’aider dans cette aventure. Tous les ingrédients sont réunis pour en faire un polar qui démarre à cent à l’heure. On a des scientifiques, plusieurs services secrets, même la mafia tant les enjeux sont vitaux. Bref, toute une galerie d’horribles personnes prêtes à tout et impitoyables, face à des novices. De plus, l’action se passe dans un Paris apocalyptique noyé sous des pluies diluviennes à se demander si la nature nous veut du bien, ou pas. C’est génial ! A lire absolument !

    Lien direct : Editions Albin Michel


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  • J’ai perdu 200 kilos - Maïko Resseguie

     

    Caractéristiques :

    Genre : Témoignage

    Grand format : 175 pages / 18,00

     

    Résumé :

    C’est l’histoire de la descente aux enfers de Maïko qui, au fil des années, a atteint le poids monstrueux de 300 kg ! Elle va à ce moment là avoir enfin l’électrochoc et accepter de se faire hospitaliser et aider afin d’essayer d’en finir avec cette obésité morbide. Mal aimée dans sa famille, puis femme battue, elle a trouvé refuge dans la nourriture. Mais son courage et sa volonté, associés à un encadrement médical exceptionnel vont lui faire perdre 200 kg en 18 ans.

     

    Avis par Lolo :

    Voici un récit autobiographique vraiment terrible tant il est poignant. Maïko nous fait le récit de sa vie comme d’un constat avec une analyse très juste de son état. C’est porteur d’espoir pour les gens qui souffrent de cette terrible maladie qui est la boulimie sans l’anorexie, c'est-à-dire celles qui « gardent tout ». J’appelle cela le suicide à la nourriture, qui est un appel au secours. Après pareille lecture, on relativise beaucoup de choses. Nous sommes, le temps du livre, dans la peau de Maïko et cela nous aide à comprendre comment tout peut déraper. Il y a quelques photos qui nous permettent de voir Maïko avant et après son régime. Du coup, on imagine mieux ce qu’elle a enduré. Le récit est court, mais raconté de manière objective. Il faut reconnaître le courage et la volonté de cette femme, pour sortir de cette spirale infernale d’autodestruction. Encore une fois, la célèbre maxime : « quand on veut, on peut » prend ici toute son ampleur. Bouleversant !

    Lien direct : Editions Judena


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  • Dieu me déteste - Hollis Seamon

     

    Caractéristiques :

    Genre : Roman

    Grand format : 277 pages / 19,00

     

    Résumé :

    Richard est un adolescent de 17 ans en soins palliatifs. Cela signifie qu'il n'a plus très longtemps à vivre... Pourtant, il se pose les mêmes interrogations que n'importe quel garçon de son âge. Il a également les mêmes désirs : à savoir fricoter avec les filles... Si possible avec Sylvie, son amie qui côtoie le même service. Pas simple d'ailleurs, étant donné que son père cherche pratiquement à le tuer depuis qu'il a osé approcher Sylvie. Heureusement que Richard a sa mère, des infirmiers sur lesquels il peut compter, un oncle complètement barré et une grand mère tout aussi folle... N'empêche, c'est pas toujours facile de garder le moral dans un tel endroit...

     

    Avis par Jake :

    Un roman absolument magnifique qui traite d'un sujet très difficile avec un humour incroyable ! En effet, la narration par Richard, qui demeure un ado aux problèmes traditionnels, est exceptionnelle. C'est intimiste, on n'a qu'une envie : devenir l'ami de ce garçon aux imperfections usuelles et qui a un très bon fond, généreux et altruiste. Les pages défilent, et on s'en rend à peine compte : on aimerait que le roman ne s'achève pas, surtout que la grosse crainte du lecteur dès le début, c'est justement la "fin" de Richard... Les personnages sont très beaux, malgré leurs maladresses et leurs difficultés à partager leurs émotions. L'atmosphère n'est jamais oppressante, ce qui semble incroyable étant donné que l'action se déroule en soins palliatifs. Les personnages géniaux sont trop nombreux pour en choisir un en particulier. L'écriture est géniale et la trame super. Le tout est plein d'humour, c'est vraiment un roman à découvrir. Vous l'apprécierez, c'est garanti !

    Lien direct : Editions La belle colère


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