• One piece - Tome 76 - Eiichiro Oda

    Résumé :

    Suite à la colère de Doflamingo, l’île est parfaitement isolée par sa « cage aux oiseaux » et les combats se multiplient ! Luffy et Law sont d’ailleurs à la recherche de leur ennemi, mais ils se retrouvent bientôt confrontés à Bellamy, contrôlé par le pouvoir de Doflamingo… C’est ainsi que commence le flashback racontant la jeunesse de Doflamingo et de Law, comment ils se sont rencontrés. Comment l’un a mal vécu sa chute du statut de « dragon céleste »,et comment l’autre a vu sa famille mourir alors qu’il se savait condamné par une intoxication progressive des siens depuis plusieurs générations…

     

    Avis par Jake :

    La première partie de cet opus était vraiment « brouillon » : il se passe beaucoup trop de choses en même temps, les personnages se multiplient, les combats également et on n’y voit franchement plus rien. Ce n’est pas très agréable à lire, car on ne suit plus grand-chose et on s’y perd… Heureusement, la seconde moitié rattrape le tout ! Ce n’est pas tant le combat entre Doflamingo et Luffy, parce qu’on en est vraiment aux prémices, et il n’y a pas de grands coups portés, mais c’est véritablement la jeunesse des deux personnages assez iconiques et leur rencontre qui est au cœur des enjeux. C’en est même touchant, en fait, c’est la grande force du mangaka de parvenir à faire naître des émotions à travers les flashbacks qui nous permettent de connaître bien plus en profondeur certains persos… Et pour le coup, le lectorat aimait déjà beaucoup Law (qui se place second dans la popularité après Luffy), il est d’autant plus appréciable après avoir découvert son enfance. La suite nous sera d’ailleurs (normalement) contée au prochain volume !

    Lien direct : Editions Glénat


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  • Je fais le loir, le cobra et la rainette - Jean-Pierre Clémenceau

    Caractéristiques :

    Genre : Autre

    Grand Format : 112 pages / 15,00 €

     

    Résumé :

    De nos jours, même les enfants sont stressés. L’auteur a mis en place spécialement pour eux des exercices de gym associés au yoga, à leur portée. Cela va permettre à nos enfants de se relaxer, et de trouver un bon équilibre entre le physique et le psychique. Ainsi, plus calme et serein, l’enfant sera plus à même d’être non seulement attentif, mais aura les bases pour devenir plus tard, un adulte épanouit.

     

    Avis par Lolo :

    Le livre est très beau. Qu’il s’agisse de la première de couverture, ou des photos qui l’illustrent, cela donne vraiment envie. Les bienfaits du yoga ne sont plus à démontrer, mais ce qui est révolutionnaire ici c’est qu’il peut se pratiquer avec les enfants et ce dès l’âge de 2 ans. Les postures (asanas) sont expliquées simplement et toujours avec photos à l’appui. Il y a d’abord l’explication de la posture, puis sa photo sur la page d’en face. C’est ludique, agréable, et cela donne une image différente du corps à l’enfant. Il y a en bonus, tout un chapitre d’exercices de « gym avec maman », plus spécifiquement adapté aux tout-petits. On trouve en fin de livre chaque posture correspondant aux bienfaits recherchés, ce qui est extrêmement pratique. Mais le plus important, c’est que votre enfant va découvrir en s’amusant, la relaxation, la méditation et la concentration. Ce sera primordial pour l’aider à surmonter les caps difficiles auxquels il sera confronté, car le yoga lui apportera l’équilibre et la confiance en soi. Une référence en la matière !

    Lien direct : Editions Albin Michel


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  • Library wars - Love & war - Tome 12 - Kiiro Yumi

    Résumé :

    Iku a finalement son rendez-vous avec Dojo qui se concrétise… Elle ne sait pas trop comment l’appréhender, car leur relation professionnelle est toujours omniprésente. Néanmoins, elle sent rapidement que leurs sentiments sont réciproques, même si elle ne veut pas y croire… Cette fameuse camomille est un moment magique, jusqu’à ce qu’il soit interrompu par une urgence du Corps des Bibliothécaires. En effet, un auteur connu est pris pour cible d’un attentat terroriste, et là encore, Iku et Dojo doivent se faire passer pour un couple afin tromper les gens qui les surveillent… Enfin, un rapprochement se crée entre Bibli Avenir et le corps des Bibliothécaires… Une réunion familiale en vue ?

     

    Avis par Jake :

    Je n’avais vraiment pas accroché avec le dernier tome (qui était à vrai dire également le premier que je découvrais de ce shojo) et j’avoue avoir passé un moment plus agréable ici. La tension était beaucoup moins présente, et le style était plus tranché (alors que le volume mélangeait du shojo et du shonen de manière un peu brutal, cela m’avait désarçonné). Les premières scènes, autrement dit le rendez-vous entre Iku et Dojo sont du pur shojo avec la fille parfaitement timide et timorée et le garçon qui partage clairement ses sentiments et tente de la rassurer. Puis la trame rattrape la romance et vient s’y mêler de manière plutôt adroite. Au niveau des dessins, c’est assez réussi : là aussi, on est à la frontière entre le shojo et les shonen. Cela me fait penser à Arata : des dessins très précis, mais des plans rapprochés qui font penser à un shojo. Bref, je ne suis pas complètement fan, mais c’est vrai qu’arrivé à ce volume 12, la trame est bien avancée et la mythologie m’échappe un peu…

    Lien direct : Editions Glénat


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  • Le crime du comte Neville - Amélie Nothomb

    Caractéristiques :

    Genre : Roman

    Grand Format : 144 pages / 15,00 €

     

    Résumé :

    Sérieuse, dernière enfant du comte Neville est tellement mal dans sa peau d’adolescente qu’elle veut mourir. Elle part se cacher dans la forêt jouxtant le château et est secourue par une voyante qui passait par là. Cette dernière croyant à une fugue appelle le comte afin qu’il vienne récupérer sa fille. C’est alors qu’elle lui fait une terrible prédiction… Lors de la Garden Party annuelle, il va tuer un des invités…

     

    Avis par Lolo :

    Quand on est une inconditionnelle d’Amélie Nothomb, on attend toujours avec impatience la sortie de son roman annuel. Ce dernier est un excellent cru et j’ai bien retrouvé là, l’Amélie Nothomb des débuts avec ses histoires si farfelues et originales qui en font le charme. On retrouve toujours les thèmes qui lui sont chers, à savoir le champagne, la nourriture, la difficulté de vivre notamment à l’adolescence. Ce que j’adore par-dessus tout, ce sont les noms et prénoms (souvent tirés de la mythologie), qu’elle donne à ses personnages. On est dans l’histoire dès le début et on se demande vraiment qu’elle en sera l’issue. J’ai d’ailleurs été complètement bluffée par la fin que j’ai trouvé tout simplement géniale ! Merci encore pour ce moment de lecture à nul autre pareil !

    Lien direct : Editions Albin Michel


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  • Vertical - Tome 10 - Shinichi Ishizuka

    Résumé :

    En cours de sculture, Naoto fait deux cadeaux. Il les envoie à Madame Tanimura au relais, et c’est l’occasion pour cette dernière de rejoindre les sommets pour trouver Sanpo et lui remettre son cadeau ! Toshi est un sauveteur, et il a du mal à concilier son travail et sa vie de couple : on lui demande même s’il est certain de vouloir continuer à travailler en montagne… Naomi, une amie de Kumi n’en peut plus de sa vie, et ne parvient plus à trouver de satisfaction dans ce qu’elle fait… C’est ainsi que toutes deux partent en montagne pour se changer les idées. Deux vieux amis se rappellent la facilité avec laquelle ils grimpaient autrefois, et décident de remettre l’aventure ! En chemin, ils vont croiser Sanpo… Enfin, Sanpo rejoint Naoto pour le remercier de son présent et lui donne une belle leçon de vie.

     

    Avis par Jake :

    Vertical atteint les 10 tomes… On s’est habitué aux personnages, et on aime toujours l’ambiance paisible qui se dégage de ce seinen sur la montagne. Mais le tout est assez linéaire et répétitif. C’est toujours agréable à lire, attention ! Mais tout de même, on s’interroge sur la longévité de cette saga (18 tomes en tout). Cet opus n’est pas particulièrement palpitant, il a l’avantage de nous montrer les différents personnages secondaires du manga comme Naoto et Kumi, qui sont très attachants. Mais arrivé à ce niveau, j’aimerais voir Sanpo se planter, ou quelqu’un être frustré de la montagne. Il y a bien des décès, mais tout est toujours ficelé jusqu’au bout, et ça devient un peu frustrant… Heureusement, on ne se lasse pas des dessins qui restent si spéciaux. C’est un style qui se marie parfaitement avec le genre montagnard de l’œuvre… Avec 8 volumes avant la fin, on se demande tout de même si l’œuvre parviendra à se renouveler…

    Lien direct : Editions Glénat


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  • Ajin - Tome 02 - Tsuina Miura & Gamon Sakurai

    Résumé :

    Ken a été séparé de son ami, et seul allié. Toujours traqué par les hommes du gouvernement car il est un Ajin, un humain que l’on ne peut tuer, il commence à réaliser que même au sein des Ajin, il y a des distinctions… En effet, il semblerait que certains soient accompagnés de fantômes noirs : une personnalité qui s’incarne pour les aider, ou au moins supprimer leurs adversaires… D’autres Ajins viennent bientôt lui prêter assistance, mais c’est pour mieux le manipuler et le monter contre les Humains. C’est ainsi que Ken se retrouve entre les griffes de Tosaki, un homme du gouvernement qui s’empresse de tester les capacités de régénération de Ken. Soumis aux tortures, le fantôme noir de Ken commence à se dévoiler…

     

    Avis par Jake :

    Avec ce second volume, Ajin confirme sa qualité ! Alors que le manga n’est encore qu’au sixième tome au Japon, on croise les doigts pour que les parutions s’accélèrent (ainsi que les traductions chez nous !) car le fond autant que la forme sont des qualités indéniables pour cette saga de science-fiction. On se croirait un peu dans X-men, en plus noir, évidemment ! Le thème est génial et continue à distiller quelques petites révélations, mais il est vrai que les bases sont lancées, et que c’est surtout l’évolution des personnages, et des flashbacks bien menés qui permettent de garder l’attention du lecteur. Ken est très attachant, mais ce sont surtout les souvenirs des premiers fantômes noirs découverts qui font la force de ce numéro. On regrette en revanche l’absence de l’ami de Ken, qui apportait une petite touche de normalité, qui permet d’ancrer l’histoire… Espérons qu’il revienne prochainement. Le côté politique est très important, cela se sent dès le départ, et cela rapproche l’œuvre de Tokyo ghoul (un de mes mangas préférés du moment !) car il y a de nombreux camps, et chacun défend son bout de gras. Côté dessin, il n’y a rien à redire : les différentes notes de gris permettent d’obtenir un fini particulièrement beau. C’est très proche de la perfection tout ça…

    Lien direct : Editions Glénat


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  • La nuit de feu - Eric-Emmanuel Schmitt

    Caractéristiques :

    Genre : Roman

    Grand Format : 183 pages / 16,00 €

     

    Résumé :

    Agé de vingt huit ans, l’auteur participe à une expédition d’une dizaine de jours dans le Sahara. Loin de tous ses repères, il découvre une vie proche et à l’écoute de la nature, aussi hostile que belle dans cette partie désertique du monde. Alors que quelques-uns de ses compagnons et lui-même décident de gravir le mont Tahat, (plus haut sommet du Hoggar), le jeune Eric-Emmanuel va faire une expérience qui va le transformer à tout jamais. Que s’est-il passé au cours de cette mystérieuse nuit ? Seul, perdu, sans rien pour subsister et surtout sans eau, va-t-il survivre ?

     

    Avis par Lolo :

    Ce roman autobiographique de l’auteur est un pur bijou. Comme d’habitude, l’écriture est sublime. C’est à la fois un magnifique roman d’aventures avec une incroyable expédition dans le désert Saharien où les paysages sont décrits de telle manière, qu’il est facile de se les imaginer. Nous faisons partie du voyage, et c’est somptueux. Nous découvrons aussi les Touaregs, ce peuple qui vit en harmonie totale avec cette nature grandiose. Mais, c’est aussi et surtout un voyage intérieur complètement inattendu que nous fait partager l’auteur. Une expérience mystique pour quelqu’un d’athée à l’époque, racontée de manière touchante et humble. Ce qui est extraordinaire, c’est que ne cherchant nullement à nous convaincre, l’auteur va bel et bien nous amener à réfléchir. N’avons-nous pas à un moment ou un autre de notre vie vécu quelque chose de rationnellement inexplicable ? Une « aventure » spirituelle ? L’auteur n’hésite pas à se révéler de manière vraiment intime, et nous prouve une fois encore à quel point son humanité est forte. Tout simplement prodigieux !

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  • Kokkoku - Tome 03 - Seita Horio

    Résumé :

    Le régent s’est effondré pour ne laisser la dépouille desséché que de ce qui a été un jour un humain. Majima, qui travaille avec Amour Véritable révèle qu’elle espère tomber sur sa défunte famille disparue dans le monde statique, avec pour espoir que la jeune Juri puisse utiliser son pouvoir d’expulsion du sereno afin de leur apporter la paix. D’ailleurs, Juri commence à provoquer la panique chez Amour Véritable en réduisant le nombre de leur effectif grâce à son pouvoir, couplé à celui de disparition de son grand-père, qui leur permet d’agir en attaques surprises… Alors que Sagawa, le président d’Amour Véritable fait son possible pour récupérer la pierre, le père de Juri, Takafumi, se rebelle contre son propre géniteur en lui reprochant d’avoir gardé ce secret si longtemps…

     

    Avis par Jake :

    On se passionne toujours plus pour ce seinen incroyable ! Il n’y a qu’un regret à avoir : ne pas pouvoir se délecter de la saga complète en une seule fois (chose que je ferai sans aucun doute dès que tous les tomes seront sortis !). La qualité ne faiblit pas, au contraire : cela se complexifie et on ne sait plus vraiment s’il y a un méchant et un gentil… Evidemment, on ne porte pas la secte dans notre cœur, en revanche Majima est un personnage intriguant, elle cherche à retrouver sa famille et c’est une intention noble et compréhensible… A contrario, on a envie de donner des baffes à Takafumi ! Il est détestable et égoïste, il met en danger toute sa famille et semble ne se préoccuper que de sa personne. Quant au but véritable de Sagawa, il reste pour l’instant inconnu… Quoi qu’il en soit, on ne décroche pas ! Quant aux dessins, ils sont sobres, souvent minimalistes et c’est un moyen sûr de mettre en avant la trame plutôt que les fioritures autour. Je me demande vraiment comment va se dérouler la suite : le mystère reste entier !

    Lien direct : Editions Glénat


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