Résumé :

Pour accéder au carré final du tournoi international junior de Paris, le Japon doit battre l’Argentine ! Mais leurs concurrents ne manquent pas de talent et parviennent très rapidement à mettre trois buts aux Japonnais qui se retrouvent démoralisés… La cause de ce coup du chapeau ? Juan Diaz, pressenti comme le prochain « meilleur joueur » du monde. Tsubasa se poste immédiatement comme son adversaire principal, mais une information lui fait perdre ses moyens lors du début de la première période… Heureusement, il revient rapidement à lui et parvient à remotiver son équipe de sorte de rattraper le retard qui se creuse de plus en plus avec les Argentins. Rien n’est gagné dans ce match pourtant décisif qui met en évidence la différence de jeu entre celui des Japonais et celui de l’Amérique du sud…

Avis par Jake :

J’ai vraiment essayé de me replonger dans Captain Tsubasa, en l’honneur des heures que j’ai passé devant l’anime alors que j’étais enfant, mais rien à faire : je ne parviens pas à accrocher. Non seulement, les dessins sont de piètre qualité lorsqu’il s’agit des personnages plus particulièrement des visages (on pense immédiatement à Saint Seiya dont les graphismes étaient parfois également déplorables) ; mais l’histoire en elle-même est souvent peu crédibles. En effet, cela fait peut-être rêver alors qu’on est enfant, de voir des retournés acrobatiques à tout va, ou des joueurs qui sautent sur les crampons de leurs camarades pour sauter plus haut et rattraper le ballon ; mais à l’âge adulte, cela fait juste improbable ! Le volume entier ne couvre pas l’intégralité du match… On avance tout doucement alors que la majorité des personnages se regardent en chien de faïence et en répétant leurs prénoms dès que quoi que ce soit se produit… C’est à se demander comment l’anime a pu devenir aussi connu…

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