Résumé :

Hana est une lycéenne connue spécialement pour ses gaffes ! Elle ne peut s’empêcher de renverser, trébucher, casser… et faire toutes les bourdes possibles. Son grand rêve est de se faire embaucher dans un zoo, dans lequel elle pourra s’occuper des animaux qu’elle aime tant ! Quelle est sa surprise lorsqu’elle est immédiatement embauchée au zoo Oumagadoki ! Mais elle n’est pas au bout de ses surprises : très rapidement, elle se rend compte que les animaux du zoo sont capables de se métamorphoser en humanoïdes parlants, alors que le directeur du zoo n’est autre qu’un lapin géant psychopathe égoïste qui ne pense qu’à s’amuser ! Pourtant, afin que la malédiction soit levée, il faut que le zoo Oumagadoki deviennent le plus connu du monde entier… Quand on sait que le total de visites par jour s’élève à zéro, on comprend vite la tache énorme qui incombe à Hana !

Avis par Jake :

Crazy zoo est un nouveau shonen complètement barré qui présente en 5 volumes son histoire complète. Aucun risque de s’ennuyer avec une trame comme celle-ci ! J’apprécie pour ma part le personnage d’Hana qui n’est pas la caricaturale fille chochotte qui refuse de se salir les mains. Au contraire, elle ne recule devant rien pour atteindre ses objectifs. La majorité des animaux est drôle et sympathique, et c’est d’ailleurs l’ambiance générale qui émane de ce manga. Le directeur en revanche est assez effrayant, cela est en partie du à la façon dont il est dessiné (on dirait un lapin psychopathe), mais l’on sent qu’il a bon fond malgré son mauvais caractère. Personnellement j’accroche moins avec ce personnage… Côté dessin, c’est très réussi : les humanoïdes permettent au mangaka de créer des « monstres » assez bien conçus et des histoires à profusion. Ce qui fait la différence est sans aucun doute les visages hilarants des personnages lorsqu’il arrive une catastrophe ou que le directeur se met à attaquer la pauvre Hana à coups de carottes-fusées ! Un plus pour l’aspect humoristique de ce shonen !

Lien direct : Editions Delcourt (OUMAGADOKI DOBUTSUEN © 2010 Kohei Horikoshi / Shueisha)