Caractéristiques :

Genre : Jeunesse / Fantastique

Grand format : 320 pages / 13,90 €

Résumé :

Grover a disparu ! Grâce à son lien d’empathie avec Percy Jackson, il parvient à mettre au courant son ami et à lui demander de l’aide. Mais au camp des sang-mêlés, c’est la pagaille : quelqu’un a empoisonné le grand pin, protecteur de la vallée. Quant à Chiron, il a été remplacé par un être démoniaque (ou presque). Percy et Annabeth, en compagnie de leur nouvel allié le cyclope Tyson partent sur la mer des monstres, à la recherche de la toison d’or, seul artefact susceptible de guérir le camp du mal qui le ronge. Une puissance telle qu’elle a attiré Grover jusqu’à elle… Mais sur leur route, il leur faudra affronter une nouvelle fois Luke, désormais sous les ordres de Chronos

Avis :

Ce deuxième tome de la saga de Percy Jackson est un peu plus court que le précédent, mais tout aussi bien… Voire même plus ! J’ai personnellement adoré les aventures de nos amis sur la mer des monstres, car comme son nom l’indique, elle est peuplée de créatures aussi effroyables que marrantes (il faut bien le dire !). En effet, on est de nouveau plongé dans la mythologie avec Scylla et Charybde : les deux monstres géants qui gardent les portes de la mer. Mais c’est également un lien plus fort entre Percy et Annabeth qui est exploitée : les deux personnages se rapprochent énormément, et c’est pour la fille d’Athéna l’occasion de raconter à son ami son passé difficile. J’ai trouvé le passage avec les sirènes particulièrement touchant, car Annabeth est mise à nues à travers la vision qu’elle expérimente… Le personnage de Tyson est hilarant : on retiendra de sa rencontre avec Chiron le centaure « Dada ? ». Il donne aussi lieu à des moments très beaux avec Percy, son demi-frère qui a du mal à vivre leur lien biologique en premier lieu. J’ai aussi trouvé le personnage d’Hermès (le père de Luke) très intéressant, il démontre que la relation entre les Dieux et leurs enfants n’est pas si simple… Le conflit avec Chronos se rapproche et gagne en intensité. Quant au final, il est simplement parfait : comment ne pas ouvrir illico le troisième tome ?

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