Caractéristiques :

Genre : Roman

Grand format : 416 pages / 21,50 €

Résumé :

L’histoire se passe dans une petite station balnéaire hors saison, de la Côted’Azur. Le club amateur de football est en quart de finale et Antoine, sa gloire locale s’est fait tellement tabassé, qu’il ne sera pas de la partie. Dans le même temps, une tempête subite va provoquer noyades et disparitions. Nous allons alors partager une tranche de la vie de 22 personnes qui auront trait de près ou de loin à ces événements dramatiques.

Avis par Lolo :

Il est bon de comprendre qu’il s’agit de fragments de vie de 22 personnes pour être précis, et à nous d’imaginer la fin pour certaines. Malgré tout, ce sont ces morceaux, qui mis bouts à bouts, forment l’histoire en sa totalité. Cela rend le roman vraiment original. Attention, Olivier Adam ne fait pas dans la gaîté, ni l’euphorie. Ses personnages reflètent la vie dans ce qu’elle a de plus tragique et désespérée. Les thèmes abordés ici sont malheureusement souvent d’actualité. Il y a le chômage bien sûr, le divorce, la vieillesse, la misère. Mais surtout, les mauvaises fréquentations, ceux qui auraient pu s’en sortir, « si seulement ils avaient pris le bon chemin !!! ». Il nous dépeint toutes ces vies de manière juste, avec des mots simples mais tellement percutants. On va de désillusions en désenchantements, c’est très sombre. D’ailleurs tout est dit dans le titre : « Peine perdue ». Petit conseil toutefois, à ne pas lire si on est déprimé ou suicidaire.

Caractéristiques :

Genre : Science-fiction

Grand format : 506 pages / 25,00 €

Résumé :

Le conflit s’intensifie dans la guerre face aux Hydrogues, et les Humains se décident à utiliser la seule véritable arme efficace contre ces extraterrestres : le flambeau Klikiss qui transforme les mondes gazeux des Hydrogues en étoiles. De leur côté, les Vagabonds se rendent compte des attaques vicieuses des forces de la Grosse Dinde et la guerre devient officielle. Côté Empire Ildiran, une rébellion remet en question la royauté… Les Faeros poursuivent leurs batailles contre les Hydrogues alors que grâce à Jess, les Wentals continuent de coloniser les mondes aquatiques pour gagner davantage de pouvoirs…

Avis par Jake :

Ce tome traite énormément de politique, et cette partie là est assez ennuyeuse notamment celle concernant l’empire Ildiran. Les conflits Hydrogues / Faeros passionnent en revanche, et on attend d’en savoir davantage sur la guerre qui a eu lieu bien avant l’arrivée de l’Humanité… L’histoire des Vagabonds est pas mal non plus, et les personnages que l’on affectionne le plus continuent de nous épater. Cependant, la trame qui m’a le plus plu est sans conteste l’expansion des Wentals ! On a l’impression de participer à un jeu vidéo dans lequel on doit faire progresser son propre peuple. Les Wentals paraissent comme une force tranquille, et leur union avec Jess fait de lui un personnage très puissant et original… Il me tarde de découvrir la suite !

Caractéristiques :

Genre : Roman

Grand format : 509 pages / 27,60 €

Résumé :

Nous sommes en l’an de grâce 1400. Partout en Europe des problèmes surgissent dans les cathédrales. Des clés de voûte s’écroulent, des escaliers s’effondrent… Bref, l’hystérie étant vite gagnée à l’époque, que beaucoup y voient plus l’œuvre du Diable que celle de Dieu. Afra, une jeune servante détient sans le savoir la cause de ces événements mystérieux. Avant de mourir, son père lui a légué un parchemin en lui recommandant de ne l’utiliser que si elle n’avait vraiment aucun autre moyen de survie. Que contient le document ? Afra, et le plus célèbre architecte de l’époque vont essayer de dénoncer cette incroyable machination instrumentée par le Vatican. Une course effrénée va commencer qui les mèneront d’une cathédrale à une autre à travers l’Europe moyenâgeuse.

Avis par Lolo :

Magnifique fresque historique dans la lignée des Piliers de la terre de Ken Follett. On est immédiatement plongé dans l’histoire, et on baigne littéralement dans l’ambiance du Moyen-Age. Nous sommes dans l’univers très spécial des grands bâtisseurs de cathédrales. Ces visionnaires qui n’étaient jamais sûr de voir leurs œuvres achevées, tant cela s’étalait sur des générations. L’intrigue est parfaite. Encore une fois on constate l’immense pouvoir de l’Eglise à l’époque, ainsi que toutes les confréries secrètes qui gravitaient autour. Le roman est surprenant et plein de rebondissements. Les personnages excellents. On ne sait jamais vraiment qui est de quel côté. L’époque était tellement sombre, pleine de folies, de dénonciations et du « tout pouvoir du clergé », qu’il était facile de faire avouer n’importe quoi. On tremble pour Afra, l’héroïne du roman qui se bat comme elle peut pour survivre, et vivre aussi une belle passion amoureuse… Rien ne manque à ce superbe polar historique qui bien qu’il soit romancé, contient une grande part de faits réels. Impossible de lâcher le roman !

Caractéristiques :

Genre : Jeunesse / Fantastique

Grand format : 332 pages / 16,50 €

Résumé :

Eliott vit avec ses deux demi-sœurs, son père et sa belle mère depuis que sa propre mère est morte dans son sommeil. Heureusement, le jeune garçon peut compter sur sa Mamilou, qui lui a appris à tenir ses cauchemars à distance. Mais lorsque son père tombe dans un profond sommeil dont les médecins ignorent la cause, mais dont ils assurent l’aspect permanent, Mamilou révèle à Eliott la vérité sur Oniria… Le monde des rêves est la seule chance de salut pour le père d’Eliott, et le talisman de sa grand-mère en forme de sablier confère à Eliott le pouvoir des Créateurs : il peut désormais intégrer Oniria et être conscient de tout ce qu’il y fait. Malheureusement, les Créateurs sont rares et la reine des rêves lui ordonne de créer une armée grâce à ses pouvoirs, afin de se débarrasser des cauchemars…

Avis par Jake :

Oniria est une saga pour enfants et ados dès 10 ans. Très abordable, entre le scénario et l’imagination débordante de son auteur, on arrive à un mélange de L’histoire sans fin et de Peggy Sue. Eliott est un peu le sauveur venu du monde réel dont tout le monde souhaite utiliser les pouvoirs. Les personnages d’Oniria sont loufoques, et Eliott (malgré une pointe d’arrogance) a les pieds sur terre, ce qui contrebalance bien. La trame est sympathique, sans être trop compliquée, bien que l’univers d’Oniria soit pour le moins foisonnant ! L’histoire se lit très vite, et cela est principalement dû à la narration très fluide et simple de l’auteur. Plusieurs énigmes restent en suspend et on regrette un peu de ne pas avoir davantage de réponses à la fin de cet opus, mais j’imagine que c’est pour mieux convaincre les lecteurs de suivre les aventures d’Eliott dans le second tome : Le disparu d’Oza-gora.

Lien direct : Editions Hachette

Caractéristiques :

Genre : Science-fiction

Grand format : 549 pages / 25,00 €

Résumé :

Voilà 5 ans que les Hydrogues se sont attaqués aux humains qui avaient par accident fait exploser l'un de leur monde, situé au coeur des planètes géantes gazeuses. La guerre a pris de l'importance et ces aliens cherchent désormais à éliminer la forêt monde ainsi que les autres créatures sans distinctions. Leurs conflits remontent à des millénaires et refont surfae en révélant les aliens qui les affrontaient voilà si longtemps... Les mystérieux et démoniaques robots Klikiss prennent de l'importance et manipulent les Humains pour mieux les piéger. Heureusement, de nouveaux alliés feront leur apparition.

Avis par Jake :

Un deuxième tome un peu moins prenant que le premier, forcément puisqu'il n'y a plus là découverte de ce fantastique univers. Les chapitres sont un peu plus court, ce qui n'est pas si mal ! Heureusement, les manques sont comblés par des révélations superbement dosées qui donnent très envie de poursuivre la lecture et de découvrir le fin mot de l'histoire. Les personnages nous sont maintenant familiers et c'est beaucoup plus simple de suivre le fil. Des liaisons se créent, des tensions également... Encore un opus qui donne tout ce que la SF a de meilleur ! Vivement que je me lance dans le troisième tome !

Résumé :

Majin Buu a réussi à trouver le sanctuaire depuis qu'il a absorbé son homonyme. Sa force est démesurée et oblige les deux petits à s'entraîner encore davantage. Le combat fait bientôt rage entre Gotenks et Buu... Heureusement, le guerrier issu de la fusion a une dernière transformation extraordinaire à utiliser contre le Djinn ! Mais c'est le temps qui lui manque, et le sort du monde retombe bientôt sur les épaules de Gohan, qui a réussi à libérer tout son potentiel grâce au vieux Kaïo... Malheureusement, l'absorption de Majin Buu lui permet de devenir encore plus puissant, et le jeune Gohan s'apprête à perdre. Le vieux Kaïo propose alors l'utilisation des Potalas... Une technique encore plus puissante que la fusion !

Avis par Jake :

Comment ne pas tomber amoureux de ce tome ? Véritablement bourré d'humour grâce aux délires de Goten et Trunks, il nous fait rire (ou lever les yeux au ciel !). C'est également un numéro qui nous en met plein la vue en terme de techniques (les plus folles appartenant bien sûr à Gotenks) et de transformations : les nouveaux stades de Gohan et de la fusion. Grosse surprise que les fans adorent sur la dernière page, avec certainement le personnage le plus puissant de tout l'univers ! Côté dessin, c'est la perfection à l'état pur, et cette "perfect édition" permet de l'apprécier pleinement avec ses pages géantes et ses quelques pages en couleurs... Un must ! Dommage qu'il ne reste qu'un tome...

Lien direct : Edition Glénat

Résumé :

Le combat de Haru et de Catherine n'a laissé aucune des deux jeunes femmes intactes... La première en a assez d'être responsable d'autant de déconvenues envers Ito et sa famille. Elle décide donc de quitter son nid douillet pour trouver refuge dans la ville, où elle fera la plus incroyable rencontre : un autre Minimum ! D'autant qu'il connait Catherine et s'étonne de la nature étrange de Haru... Catherine, elle, a des visions et est très perturbée en assurant que la fille à la faux va l'avoir... Ito ne se rend compte que tard du départ de Haru, car il est très occupé par sa nouvelle petite amie : l'actrice Maaya.
 

Avis par Jake :

On se rapproche de la vérité, mais on n'y est pas encore et c'est un peu frustrant ! En fait, ce sont plutôt les énigmes qui s'amoncellent quant aux véritables natures de Catherine, de Haru et du nouveau Minimum. Il semblerait qu'ils soient tous différents. Heureusement, l'histoire avance tout de même et on nous promet des révélations dans le prochain tome ! J'étais un peu surpris de voir qu'Ito n'en a strictement rien à faire que son père ait disparu (on pourrait dire "mort" si on en était certain...). En revanche la réaction de sa soeur est très réaliste. On a relâché le côté purement sexuel pour poursuivre activement l'arc narratif, et ça c'est une très bonne chose. J'ai largement préféré cet épisode au précédent pour cette raison. On regrette simplement que Haru et Ito soient séparés dans ce tome, car c'est surtout leur synergie qui est amusante... A suivre donc.

Lien direct : Edition Glénat

Caractéristiques :

Genre : Roman

Grand format : 441 pages / 21,50 €

Résumé :

Bridget Jones est dans sa cinquantaine. Elle a deux enfants en bas âge. Et Marc Darcy est mort (oui, nous aussi on a eu le coup de poignard dans le ventre à l'annonce...). Ce n'était pas facile dans la trentaine de trouver un petit-ami, mais c'est encore plus difficile lorsque l'on a conservé ses habitudes alimentaires et que l'on a deux enfants à gérer. Pourtant, Bridget se trouve un boy toy, un jeunot de 30 ans qui la fait énormément rire... Bridget parviendra-t-elle à tout concilier et à trouver l'amour ?

Avis par Jake :

La critique dit "J'ai ris, j'ai pleuré, j'ai adoré". C'est tout à fait ça, mais on va étayer un petit peu, sans quoi vous ne nous croirez peut-être pas sur parole ! Le personnage de Bridget est extrêmement touchant, et c'est le cas depuis toujours. Tout simplement car elle est pleine d'humour, d'auto-dérision et d'une grande sensibilité (cachée). Elle est humaine, elle a ses défauts et ses limites, mais elle fait de son mieux pour les dépasser pour le bien de ses enfants. Coup dur de la part de l'auteur de nous priver de Marc, mais en vérité, il fait partie intégrante du roman. Sa présence rode comme une âme qui surveillerait sa famille. C'est vraiment émouvant. On passe du rire aux larmes. Mais c'est tellement bien conté que cela est très agréable. On vit réellement avec Bridget. C'est un coup de coeur. J'avais bien sûr vu les deux films, mais la qualité de cet ouvrage me pousse à lire les deux premiers romans. C'est Bridget, c'est superbe !

Lien direct : Editions Albin Michel

Résumé :

Kenshin tente de protéger le dojo de Kaoru, mais il doit également prendre soin de ses pensionnaires. Des mercenaires se préparent pour les attaquer.  Pour autant, Kenshin ne veut pas retrouver ses habitudes d'assassin... Le petit Yahiko rencontre une ancienne amie au restaurant, et fait son possible pour la sauver d'un destin cruel. C'est ainsi qu'il hésite à trahir l'école de Kaoru pour l'argent... De son côté, Sanosuké donne un coup de main pour sauvegarder le dojo, tout en vivant aux frais de Kaoru ! D'autres personnages issus du manga original ne manqueront pas de croiser la route de nos amis...

Avis par Jake :

Et voilà la deuxième et dernière partie du coup de jeune de Kenshin le vagabond, à l'occasion de la sortie de son film (qui à priori ne sera pas le dernier !). Que dire de plus que : "c'était génial !" ? Si tous les éléments ne peuvent être retranscrits à travers seulement deux tomes, cela n'empêche pas le mangaka de reprendre le plus important, ce qui fait l'essence de Kenshin, à savoir l'humour, les combats et la bonne ambiance du dojo. Il réjouit également les fans de la première heure en faisant faire des petits coucous par les personnages appréciés du public comme Mégumi, la femme médecin... Le dessin a été mis au goût du jour, les traits sont un peu moins grossiers, les visages un poil plus ronds qu'à l'origine. C'est de très bonne qualité, et cela permet aux anciens fans de passer un bon moment, et à ceux qui ne connaissaient pas Kenshin, de découvrir cette oeuvre géniale !

Lien direct : Edition Glénat

Caractéristiques :

Genre : Roman

Grand format : 539 pages / 22,00 €

Résumé :

Joffrey de Peyrac a été exécuté en place de Grève. Le titre de Comtesse dont jouissait alors Angélique avant ce drame, n’est plus qu’un lointain souvenir. Désormais elle ne pourra compter que sur elle-même pour survivre. Pour cela, elle doit d’abord regagner une place au sein de la société qui a condamné son époux, si ce n’est pour elle, au moins pour les enfants qu’elle a eu avec Joffrey et dont elle est, aujourd’hui, séparée. Bien décidée à venger son aimé, elle doit avant tout se faire un nom à la Cour du Roi de France et faire oublier celui de « Comtesse de Peyrac ». Mais alors que tout semble parfaitement calculer, un fantôme de son passé, le Marquis de Plessis-Bellière, refait surface et risque de bouleverser tous ses plans…

Avis par Audrey :

Avec ce livre, j’ai une nouvelle fois pu me plonger dans l’univers romanesque et trépident de l’indomptable Angélique. En plus de sa beauté et du caractère, cette femme nous charme par son esprit : elle élabore ici toutes sortes de stratégies pour regagner une place à la cour du Roi et réussit à déjouer les tours de ses adversaires. Son dessein est noble : sauver l’honneur de son époux et assurer l’avenir de ses fils. On évolue ainsi au rythme des intrigues d’Angélique ; on s’étonne de sa témérité ; on applaudit son courage ; on vibre de ses passions… Bref, c’est tout un ensemble d’émotions que je ressens en lisant les aventures de la marquise des Anges, un peu comme quand j’étais adolescente et que je regardais les téléfilms en boucle… Douce nostalgie…

Lien direct : Editions L’archipel