Résumé :

La rébellion des fées à commencer, et avec l’aide de Usopp et de Robin, ils infiltrent le château. Mais leur attaque est rapidement découverte et ils se retrouvent confrontés à la Don Qui Quijote family et en particulier à la petite Sugar, qui a le pouvoir de transformer les gens en jouets et les obliger à suivre ses directives… Elle est d’ailleurs responsable de la transformation du père de Rebecca. Cette dernière parvient à être la gagnante de sa poule, et le combat final opposant les meilleurs adversaires s’apprêtent à commencer, sauf qu’un étrange individu s’est substitué à Luffy aux yeux de tous…

Avis par Jake :

Un nouveau tome et l’intrigue avance, mais c’est trop lent ! Toujours aucune information sur l’identité du nouveau combattant qui prend la place de Luffy (même si mes rêves sont brisés car on est sûr que ce n’est pas la résurrection d’Ace… Oui, j’avais espéré ^^). Pas mal de flashback de nouveau du côté de Rebecca et de sa famille, et au final peu de scènes avec nos héros ce qui est un peu regrettable. C’est de très bonne qualité, mais je ne peux m’empêcher de ressentir que l’on se perd dans les histoires secondaires alors qu’Eiichiro Oda pourrait passer la seconde et se rapprocher du One piece… Les dessins sont très réussis et les combats également (heureusement que le tournoi se poursuit en parallèle, sinon ce serait un peu vide). Vivement que l’on passe au boss final pour embrayer sur une nouvelle quête qui, espérons le, traitera davantage de notre équipe favorite !

Lien direct : Editions Glénat

Résumé :

Le tournoi international junior s’apprête à débuter en Europe, et de nombreux changements secouent l’équipe nippone. Tout d’abord, Genzo ne cesse de malmener ses coéquipiers, dans le but de les pousser à se dépasser… mais c’est une technique qui le force à renoncer au premier match. Heureusement, Taro, ancien coéquipier et binôme de Tsubasa rejoint l’équipe ! Après trois ans sans avoir jouer ensemble, seront-ils capables de reformer leur invincible duo ? Le premier match contre l’Italie commence, et Tsubasa voit ses superbes tirs liftés contrés par un gardien hors pair, présenté comme étant le meilleur d’Europe. La pression monte rapidement pour l’équipe du Japon…

Avis par Jake :

J’avais fait un break avec ce shonen, mais force est de constater qu’il est aussi facile de la quitter que d’y revenir ! Les choses sont plutôt simples dans ce monde de football, et Tsubasa est toujours présent pour tirer son équipe vers le haut. Les obstacles se multiplient et l’Europe n’est pas un continent facile pour l’équipe Japonaise. Le match contre l’Italie prend une grande partie du tome, mais on ne s’ennuie pas du tout, car l’auteur trouve de nouveaux points à développer : les tacles sur Tsubasa, les arrêts du gardien adverse et enfin l’entrée en jeu de Taro (suite au prochain volume). Les scènes de jeux sont plutôt bien dessinés, mais quand on en vient aux visages… C’est un style qui a fait son temps dans les années 80 et qui ne doit être apprécié maintenant qu’à titre nostalgique j’imagine (comme avec Saint Seiya ^^). Sympa mais sans plus…

Lien direct : Editions Glénat

Résumé :

La relation de confiance qui s’est créé entre Leafa et Kirito ne cesse de s’accroître à mesure que les combats les forcent à s’entraider. Kirito fait d’ailleurs preuve d’un brio inégalable, et parvient à éviter certains conflits entre les différentes castes de fées. Dans le vrai monde, Kazuto ignore toujours que Leafa est Suguha… et réciproquement ! En revanche, le jeune homme n’a aucun autre objectif que de libérer Asuna qu’il sait être emprisonnée au sommet de l’arbre monde. Cette dernière parvient d’ailleurs à quitter sa prison, mais elle n’est pas encore tirée d’affaire…

Avis par Jake :

L’univers de Fairy dance donne de plus en plus envie ! Surtout lorsque l’on voit les prouesses de Kirito. J’ai beaucoup aimé la relation qui le lie à Leafa, mais c’est regrettable qu’elle n’ait pas davantage d’importance dans les combats (elle se limite surtout à remonter l’énergie de Kirito). On commence aussi à retrouver une Asuna active, et on est pressé de la voir réunie avec Kirito, même si cela risque de créer des tensions vis-à-vis de sa nouvelle compagne de bataille… Dommage que la quête de Fairy dance se finisse avec seulement un opus de plus, on aurait pu imaginer que la série allait perdurer davantage (il y avait quand même d’autres voies à explorer…). Côté dessin, c’est superbe. Que dire de plus à part que les monstres et les personnages sont particulièrement réussis… Il y a peut-être un léger excès de gros plan des personnages à mon goût, et on pourrait avoir droit à plus de scènes « vues de loin », mais c’est un détail. Le tout est rondement mené !

Lien direct : Editions Ototo

Résumé :

Dans la plus grande ville du désert, quatre chasseurs cherchent une légende… et se retrouvent face à face avec un des monstres les plus dangereux de la création : un Lagiacrus, créature aquatique à la taille incroyable qui compte bien s’opposer à eux ! Puis Fijika doit dépasser la peur pour faire preuve de courage et devenir un chasseur digne de ce nom, et un compagnon de confiance. « Le monstre a deux cornes » traite quant à lui d’un chasseur qui a perdu ses compagnons, et qui a du mal à s’attacher de nouveau. Cherche-t-il à protéger son village, où court-il après la délivrance de la mort ? Enfin, une équipe de chasseurs particulièrement malchanceux tentent les missions les plus faciles…

Avis par Jake :

Si j’avais apprécié Monster hunter orage, et adoré plus récemment Monster hunter epic, je dois dire que cette saga-là m’a assez déçu. Attention, on est tout de même sur un shonen de qualité ! Mais pour plusieurs raisons, il n’arrive pas à la cheville de ses aînés… Tout d’abord, si les dessins restent bons, il manque les plans larges qui permettent de mettre en évidence la beauté des graphismes, notamment au niveau des monstres. La prise de vue est trop dynamique, et on s’y perd par moments. Mais c’est surtout au niveau de l’histoire que le bas blesse, car par définition, episodes ne pouvait pas réellement accrocher son lecteur car ils présentent des chapitres complètement indépendants ! Dès lors, le fan ne peut pas s’attacher aux personnages qui changent toutes les 30 pages ! Les chapitres n’ont rien de très original à apporter, et c’est donc uniquement par son thème que le shonen peut convaincre les afficionados de Monster hunter (que ce soit en jeux vidéo, ou en mangas). Dommage, mais je n’ai pas accroché avec ces multiples petits one shot…

Lien direct : Editions Pika

Résumé :

Yamato est un jeune garçon dynamique qui souhaite plus que tout devenir chasseur de monstre depuis qu’il a assisté entre une créature infernale et Kuja, son mentor… Ayant promis à ce dernier de s’entraîner, il passera une année entière à faire de son mieux, avant de harceler Kuja et son camarade, Prof (un compagnon animal). Contre toute attente, Yamato doit bien admettre qu’il n’est toujours pas au niveau, mais Prof le prend sous son aile après la disparition de Kuja… Dix ans plus tard, Yamato est définitivement prêt à affronter les monstres ! C’est ainsi qu’avec Mui, une amie d’enfance dont les capacités de dessin et d’analyse sont incroyables, il quittera son village natal afin d’affronter les monstres de part le monde…

Avis par Jake :

J’avais découvert avec plaisir les quatre tomes de la saga Monster hunter orage, et je dois dire que sans l’ombre d’un doute, ce nouvel arc est bien meilleur ! Il doit ce succès principalement à la force de ses personnages, qui semblent authentiques (un peu comme dans Fairy tail). Ils sont tous attachants et le jeune héro à la folie des grandeurs avec de très hauts objectifs ! Le groupe fonctionne et donne un ensemble très uni. Le personnage de Prof est génial, il porte bien son nom et amène un aspect assez ludique et drôle. L’objectif des héros est également fixé… Côté dessin, rien à dire : dans le genre, on est à un croisement entre Fairy tail et Cagaster. C’est vraiment du beau boulot, les monstres sont magnifiques et on alterne entre les gros plans et les images à angles plus grands pour montrer les créatures et les scènes de combat. La question qui reste pour ce genre de shonen est simple : le scénario parviendra-t-il à se renouveler suffisamment pour conserver l’intérêt du lecteur ? A suivre donc, mais je croise les doigts pour que cela soit le cas…

Lien direct : Editions Pika

Résumé :

Le plan de Ryota pour quitter l’île maudite a échoué, et lorsque son plan dans l’hélicoptère tombe à l’eau, il se retrouver échoué sur une plage inconnue. Là, il est secouru par une jeune fille étrange qui semble être muette. Rapidement, on le ramène dans un sanctuaire abrité de la jungle, dans lequel les hommes ont trouvé un semblant d’équilibre. Mais l’arrivée de Ryota porte leur total à huit, soit le nombre de puces nécessaire pour quitter l’île… Et ainsi, le premier meurtre ne tarde pas ! Ryota est rapidement accusé, pourtant la jeune muette prend immédiatement sa défense… Ses pouvoirs étranges pourraient se révéler bien utiles afin de trouver le responsable…

Avis par Jake :

Wahou ! Je découvre à peine ce shonen à partir du 13ème tome et j’accroche déjà ! Il semblerait que cela ressemble à une battle royale avec le thème des survivants sur l’île qui doivent s’éliminer et retrouver un nombre suffisant de puces pour obtenir un pass de sortie. En plus, chacun possède un type de bombe différent pour tuer son ennemi… Les personnages sont énigmatiques, à l’exception de Ryota qui s’attire immédiatement la sympathie. L’histoire parvient à offrir une énigme cohérente et (bien que je n’ai pas lu les précédents opus) à se renouveler. En fait, ce volume pourrait bien être le tout premier et permet au lecteur de prendre le train en marche sans gros problème de compréhension (ce qui n’est pas donné dans le monde du manga !). Les dessins sont très beaux, on dirait qu’une partie est traitée à l’ordinateur (les étendues aquatiques, les décors), alors que l’autre est faite main (personnages). Le rendu est très crédible et on a cet aspect « jeux vidéo » de la couverture, avec une modernité très agréable ! J’adopte !

Lien direct : Editions Glénat

Résumé :

Ken et ses goules sont partis à la recherche du Docteur Kano… Mais il n’est pas le seul, car l’organisation Aoigiri fait également son maximum pour le retrouver. Finalement, leurs routes se croisent lorsque Ken parvient à découvrir le repère de son « créateur »… Il rencontrera alors également tous les monstres que Kano a conçu avant d’arriver à une forme semi goule semi humaine… L’affrontement contre Aoigir est inévitable, et à deux reprises, Ken se retrouve confronté à Shachi, une goule échappée de la prison dont la puissance et la vitesse surpassent celles de Ken ! En parallèle, les colombes remontent la piste de Lize et s’interroge bientôt sur Ken et sur son passage au sein du bar l’Antique…

Avis par Jake :

Parfait ! Difficile d’en dire plus… Tokyo ghoul est parvenu en dix tomes à s’imposer pour moi en tant que référence du shonen, avec un petit côté sombre qui le tire vers le seinen. Ce manga extrêmement dynamique me comble de volume en volume et doit se construire une « fan base » hallucinante grâce à un mélange parfaitement maîtrisé de combats, de mystères, de réflexion et de personnages charismatiques. Le tout est souligné par un dessin sans défaut qui met en avant les conflits à grand renfort de mouvements fluides. Seul et unique petit bémol : Toka n’est plus dans l’entourage immédiat de Ken, et j’adorais la relation de ces deux personnages. Impossible de faire plus clair : ce shonen est un coup de cœur immédiat qui se bonifie avec le temps ! On se dirige vers un final explosif !!!

Lien direct : Editions Glénat

Résumé :

Mahmud arrive bientôt à Vénédik, la cité des marchands et une des entités économiques et militaires les plus importantes du Centro… La ville avait un accord avec Phoenicia, cité assiégée précédemment, pourtant : aucune flotte n’est jamais parvenu jusque-là… Mahmud se rendra rapidement compte que tous les habitants de Vénédik, aussi différents soient-ils, partagent tous les mêmes convictions que leur leader : la cité doit passer avant tout. Ainsi, Vénédik n’a aucun scrupule à tourner le dos à Phoenicia pour se mettre à établir un commerce avec leurs agresseurs : l’empire… Mahmud portera secours à un valet, avant de décider de regagner la côte.

Avis par Jake :

J’ai beaucoup aimé ce tome, principalement parce qu’il est bien plus clair que le précédent. Tout se passe en plein jour, et la cité de Vénédik est un lieu magnifique, donc le mangaka en profite pour mettre en avant sa qualité principale : le dessin. Donc on est porté au gré des paysages de la ville. Mahmud évolue vraiment dans un milieu politique où chacun voit ses meilleurs intérêts : dur dur de trouver des types sympathiques dans ce manga ! ^^ En revanche, un nouveau personnage semble prêt à devenir récurrent puisque Mahmud gagne un valet… C’est bien ce que j’espérais lors des précédents opus et cela s’avèrera bon pour l’intrigue… En particulier parce que le personnage en question semble très complexe. Difficile de prévoir s’il va être loyal envers Mahmud. Ce volume comprend également une des premières histoires de Kotono Kato, qui pour le coup, s’avère assez triste…

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Résumé :

Nami tombe brusquement malade, et son pronostic vital est mis en jeu ! L’équipage de Luffy s’arrête donc sur une île hivernale à la recherche d’un médecin compétent… mais tous semblent avoir fui ! La seule restante est une doctoresse un peu folle vivant en haut de la montagne. La route est ardue mais Luffy et Sanji font leur possible pour conduire Nami auprès de la doctoresse, alors qu’au village, un roi tyrannique essai d’asseoir son pouvoir sur le peuple. En chemin, Luffy va rencontrer Chopper, un renne au nez rose ayant avalé le fruit de l’humain qui lui confère certains pouvoirs… Mis à l’écart par les autres rennes et traité en monstre par les humains, Chopper a du mal à faire confiance, mais trouvera peut-être en Luffy un allié de taille !

Avis par Jake :

L’histoire de Chopper est probablement l’une des plus touchantes de tout One piece, et ce en grande partie car le petit renne est le plus mignon des membres de l’équipage du Sunny ! Il est trognon avec se petite bouille, et son mélange de gentillesse et de maladresse en fait un personnage en or ! De plus, le cadre hivernal rend super bien en couleur, de sorte que l’anime est superbe ! En revanche, après avoir juste terminé de lire le film Z de One piece, je dois dire qu’il y a quelques différences encore au niveau des visages des personnages (bizarrement je l’ai davantage noté pour Robin et Zoro). La trame est très jolie et les personnages secondaires comme la doctoresse sont hauts en couleurs ! En revanche, dès le départ, une grosse incohérence m’a perturbé : Franky n’a absolument pas sa place dans cette histoire étant donné qu’il rejoint le Sunny que plus tard au niveau de la trame… Bref, un épisode drôle, mais également très émouvant !

Lien direct : Editions Glénat

Résumé :

Ilie fait son maximum pour atteindre la salle du trône : quel que soit son choix, elle sait qu’elle va devoir en parler avec le reine, sa mère, avant de trancher ! Elle en profite également pour adresser ses reproches à son père biologique, mais a du mal à couper tous les liens… Kidow fait son possible pour permettre à la jeune fille d’atteindre son but, mais il doit bientôt affronter à Acht, un combat qui n’augure rien de bon… En parallèle, la bataille fait rage dans le secteur E-05 et la défense peine à repousser l’assaut de l’armée coalisée. En fin de tome, L’aventure de la princesse Butterfly, une petite histoire courte…

Avis par Jake :

Les graphismes sont à tomber, et je n’ai qu’un espoir : que Kachou Hashimoto s’attelle à une future œuvre plus prenante et surtout plus longue que Cagaster ! C’est une véritable révélation et peu de mangakas parviennent à égaler cette qualité à mon sens… En revanche, le découpage français de l’œuvre entière fait que ce tome est particulièrement court et donc dénué de révélations : on se rapproche simplement de l’échéance… Le combat d’Acht et Kidow commencent et on se doute de la fin (même si c’est triste…), quant à Ilie, elle se rapproche de sa mère. J’attends impatiemment le dernier tome, qui s’avère explosif et je m’interroge évidemment sur le dénouement choisi par l’auteur… Ca pourrait aller dans un sens comme dans l’autre… La petite histoire ne vient (presque) que pour compléter un volume trop court, et bien que la mangaka dévoile encore ses compétences en matière de dessins, c’est bien léger à côté de la tension montée par Cagaster… Vite : la fin !

Lien direct : Editions Glénat

Résumé :

Les combats de l’invasion du Vandereich se poursuivent et les capitaines shinagamis commencent à ployer sous la menace Quincy lorsque leurs propres Bankai se retournent contre eux ! Heureusement, Kisuke Urahara semble avoir trouvé un moyen de permettre aux shinigamis de retrouver leurs armes… Mais le répit n’est que de courte durée, car les Quincy semblaient avoir anticipé le revirement de situation, et utilisent une nouvelle technique dévastatrice ! De son côté, Ichigo a finalement terminé son entraînement au palais royal et s’apprête à retrouver ses amis pour leur prêter assistance… Sajin fait un choix crucial pour la suite des événements.

Avis par Jake :

La première partie de ce tome est géniale ! Le retour des bankai permet de signer de magnifiques combats, et notamment celui du capitaine Hitsugaya, soit un de mes personnages préférés ! C’est un peu lassant cependant que l’ennemi ait déjà anticipé cela et réponde donc immédiatement… Enfin j’imagine que c’est nécessaire sans quoi Ichigo ne serait pas capable d’arriver pour sauver tout le monde ! ^^ L’interruption de Kisuke est simplement hilarante, et le personnage ajoute une touche de légèreté à cet opus… Car en revanche, le passage traitant de Sajin est assez lourd, et au final, il est encore trop tôt pour comprendre les enjeux sur sa vie et sa transformation… L’arrivée d’Ichigo est imminente, et cela devrait redonner du punch aux combats, mais on est effectivement dans le passage baston de l’intrigue ! Petit bémol : cet opus semble un peu court…

Lien direct : Editions Glénat

Résumé :

Kazuto Kirigaya, alias Kirito est revenu vainqueur de la forteresse d’Aincrad. Mais à quel prix ? Asuna, « L’éclair fulgurant » a disparu alors que son enveloppe corporelle est tombée dans le coma. Kazuto continue de lui rendre visite à l’hôpital, et apprend justement qu’un homme fait pression sur la famille d’Asuna pour épouser la jeune comateuse ! En parallèle, une photo d’un nouveau jeu VRMMO met en évidence le personnage d’Asuna sous la forme d’une fée ! Kirito est donc de retour dans le monde digital, et il y rencontre Leafa qui va l’aider dans sa quête…

Avis par Jake :

Après tout le bruit qu’a fait Sword art online, j’étais bien obligé de découvrir ce shonen au thème innovant ! Et effectivement, la trame vous emmène immédiatement dans cet univers fantastique où pratiquement tout devient possible… Les personnages principaux sont attachants, et on tient bien sûr à ce que Kirito retrouve Asuna (et finisse avec, of course ^^), même si le personnage de Leafa est très touchant (surtout lorsque l’on apprend qui elle est dans le vrai monde…). Côté graphisme, les personnages sont magnifiques et incroyablement charismatiques ! En revanche, c’est très pauvre côté décor, et c’est regrettable, d’autant plus que cette fois-ci, Kirito se retrouve dans un univers qui fait rêver : celui des fées. La trame avance vite, ce qui est génial car on ne s’ennuie pas une seconde à la lecture (en plus les tomes sont costauds, c’est un plaisir !). Mais là aussi, dommage que la saga ne compte que trois opus ! Enfin, si on nous offre un nouveau spin-off, on survivra ! ^^

Lien direct : Editions Ototo

Résumé :

Voilà près d’un demi-siècle que Jojo est parvenu à débarrasser le monde de Dio, qui utilisait le terrifiant masque Aztèque pour se transformer en une créature quasiment imbattable… En 1938, Joseph Joestar, petit fils de Jonathan (et lui aussi renommé Jojo !) maîtrise également l’onde et débarque à New York. Très susceptible, il n’a qu’une frayeur : faire de la peine à sa grand-mère, dernier membre de sa famille. Dans des vestiges Mexicains, Speed Wagon découvre une entité vivante enfermée dans la pierre, qui serait la créatrice du terrible masque de pierre portée cinquante ans plus tôt par Dio… Une révélation qui se transformera en cataclysme lorsque les Nazis vont tenter d’utiliser les pouvoirs de la créature…

Avis par Jake :

Même si l’action ne se passe qu’en 1938, on est tout de même bien plus proche de notre période contemporaine, et c’est également le cas du nouveau Jojo qui tranche particulièrement par rapport à son grand père… Cette nouvelle version est loin d’être un gentilhomme, et cela rend la trame bien plus comique ! Il est plutôt coureur de jupons, et ne manque pas de se prendre des vents… C’est un peu un Nicky Larson vintage ! A côté de cela, la baston est toujours au rendez-vous, et le côté mystique est conservé puisque l’auteur va même jusqu’à plonger dans les origines du masque Aztèque… J’ai trouvé l’idée de l’intervention des Nazis très bonne, et cela permet d’ancrer davantage les aventures dans l’Histoire. Les dessins sont toujours très bons, même s’ils font assez vieux (normal, rappelons que cette œuvre date de plus de 25 ans !). Il y a un souci du détail au niveau des visages, même si les personnages (autant sur leur physique que sur leur morale) sont souvent très tranchants… Le tome est généreux avec plus de 250 pages, et les aventures de Jojo sont bien agréables à suivre… Cette saga là, est en tous cas mieux que la précédente à mon goût !

Lien direct : Editions Tonkam

Résumé :

Le vice amiral Garp explique comment Z est passé d’un membre honorable de la marine, à un maître apprenant à ses disciples à devenir les héros de demain… puis finalement à la menace qui pèse aujourd’hui sur le Nouveau Monde. Z a déjà détruit deux des trois Endpoint, s’il parvient à faire exploser les dynarocks sur le dernier, l’océan du Nouveau Monde se transformera en une mer de flammes et tout le monde périra ! Luffy est parvenu à se remettre de la balle en granite marin qui avait permis à Z de vaincre lors de leur précédent combat. Il est plus que jamais décidé à vaincre son adversaire non pas pour sauver le monde… mais pour récupérer le chapeau de paille confié par Shanks le roux et volé par Z ! Le Sunny et des escadrons de la marine se dirigent vers le dernier Endpoint… Le dernier combat va commencer.

Avis par Jake :

Cette deuxième moitié de l’anime comics sur le film Z est beaucoup plus concentrée sur le combat final… Ce qui est un peu dommage car les dessins rendent moins bien la rapidité des coups et des attaques. De plus, le tout se situant au sommet d’un volcan, les couleurs sont bien plus ternes que dans le premier opus… En revanche, la première partie explicative est géniale : on y découvre l’évolution de Z, et on ne peut s’empêcher de compatir. Il y a d’ailleurs un travail génial qui est fait sur ce personnage ! Je ne pensais pas que One Piece pouvait s’avérer aussi touchant, mais la fin de l’histoire est une ode à Z avec un superbe flashback dans le passé qui explique son nom. L’arrivée des Pacifistas qui sont légèrement différents de ceux croisés dans la trame originale fait que l’on pourrait parfaitement intégrer cette histoire à la saga générale… L’humour est également au rendez-vous et ce film retranscrit très bien l’ambiance du manga One Piece !

Lien direct : Editions Glénat

Résumé :

Un ancien amiral qui se fait appelé « Z » dérobe plusieurs dynarocs dans un entrepôt de la marine, des armes qui rivaliseraient en puissance avec les anciennes armes antiques ! L’amiral Kizaru lui impose une farouche résistance mais ne parvient pas à s’en débarrasser… Justement, en route sur le Nouveau Monde, Luffy et son équipage portent assistance à Z, mais lorsque ce dernier se rend compte qu’il a affaire à des pirates, lui et ses équipiers attaquent le Sunny ! Luffy a beau être puissant, il ne peut rien contre le poing en granite marin de Z ! Nos amis parviennent à s’enfuir, et Luffy promet de retrouver Z… Car en plus, l’ennemi de tous les pirates à pour objectif de détruire tout le Nouveau Monde en faisant exploser les Endpoints…

Avis par Jake :

C’est la première fois que je découvre Luffy en couleur, et c’est également la toute première fois que je lis un long métrage de ses aventures… Et je dois dire que cela rend super bien ! Tout d’abord, c’est un équipage qui est très coloré, et pas seulement au sens figuré du terme ! Comme la couverture du manga l’illustre parfaitement, les couleurs sont très bien utilisées. Cela fait un peu bizarre car la forme des visages est légère différentes : un peu plus arrondie pour Sanji et Zoro, un peu moins angulaire pour Robin… En revanche, il y a bien moins de texte que dans les tomes originaux de la saga, et cela rend l’œuvre beaucoup plus fluide ! C’est un des rares reproches que je fais au célèbre One Piece d’Eiichiro Oda… Le scénario est très chouette : on a l’impression de vivre une des quêtes de Luffy en légèrement accéléré puisque l’on sait que l’histoire sera bouclée en deux tomes. Les « guest stars » sont nombreux puisqu’en plus de l’équipage principal, on note des apparitions des amiraux Aokiji et Kizaru… Bref, c’est une réussite !

Lien direct : Editions Glénat

Résumé :

Une des exaltées parvient à entrer dans la sainte ville de Ravona. Les Claymore ont beau se battre, la force de la créature semble les supplanter et les bâtisses ne tardent pas à être détruites lors du combat. Finalement, Miata tente une exaltation pour parvenir à un niveau comparable à celui de Cassandre… Heureusement, Galatée et la mère de Miata servent d’ancre afin que cette dernière ne perde pas la raison… Mais ce n’est pas une tâche aisée, et il semblerait bien que l’opération ait un coût. En parallèle, Priscilla se bat durement…

Avis par Jake :

Comme je l’avais mentionné précédemment, je n’ai eu l’occasion de découvrir ce manga qu’à partir du 24ème tome, donc c’est un euphémisme de dire que j’ai pris le train en route ! Pourtant, après deux opus consécutifs je n’ai plus vraiment le même avis… Finalement, j’ai un peu le ressenti que j’avais lorsque j’ai découvert Bleach (lui aussi pris en cours de route…) et pas seulement parce que les monstres ont également le côté horrifique des Hollows issus du monde de Bleach… On sent une certaine mythologie et un grand potentiel. Il y a tout de même une grande part de combats (là aussi, comme dans le manga sur les shinigamis). Et j’ai été surpris d’être touché, notamment par la scène finale entre Miata et sa mère qui est forte en émotions… Les dessins sont réussis, malgré des décors un peu léger et ce côté « horrible » très présent. On note qu’il y a beaucoup d’imaginations dans les Exaltés conçus par le mangaka. En fait, il faudrait tout simplement que je trouve le temps de démarrer ce shonen du début, et je pense franchement que je pourrais accrocher…

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Résumé :

Le Sceau royal, un précieux artefact de la Soul Society a été volé lors de son transport. Alors qu’il pourchasse les voleurs, le capitaine Tôshiro Hitsugaya est porté disparu… Jusqu’à ce qu’Ichigo le rencontre dans le vrai monde et se retrouve obligé de se battre avec lui… Hitsugaya  est très vite déclaré traître, et la Soul Society va envoyer ses hommes pour retrouver le sceau et capturer le 10ème capitaine… Mais ce dernier mène son propre combat alors qu’un ami du passé qu’il croyait mort ressurgit. A l’exception de sa division et d’Ichigo, personne ne fait plus confiance à Hitsugaya, mais peu lui importe, car pour l’instant il est question d’amitié et de Zanpakutô…

Avis par Jake :

Première fois pour moi que j’ai l’occasion de découvrir un film Bleach, et même une version colorée de ce manga, puisque je n’en ai jamais regardé l’anime. La couleur apporte vraiment un plus et rend les manifestations des Zanpakutô magnifiques ! En revanche, on déplore le côté très sombre des nuits et les scènes de combats qui sont trop rapides pour rendre vraiment bien en captures d’écran… Les attaques de glace d’Hitsugaya sont en revanche magnifiques ! Côté scénario, ça fait plaisir d’avoir un arc entier en un seul tome, qui fait tout de même plus de 350 pages et offre même une interview conséquente du mangaka : Tite Kubo. La trame focalise surtout sur le capitaine Hitsugaya, ce qui est absolument génial car il est un de mes personnages préféré, très charismatique et énigmatique, et justement car on en connaissait très peu sur son passé ! L’histoire est donc très chouette, et j’ai adoré l’idée du dédoublement de Zanpakutô… Un très bon moment !

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Résumé :

Quatre ans après le combat contre Majin Boo, une nouvelle menace se réveille dans l’univers : Beerus, le Dieu de la destruction, une créature qui effraie même les Kaioh, se réveille. Il est en quête d’un vrai combattant et recherche donc le super saïyen divin lorsqu’il apprend que l’un des leurs a battu Freezer… Evidemment, Son Goku ne peut résister à l’envie de se mesurer à la puissance du Dieu ! Mais même en super saïyen 3, il ne lui parvient pas à la cheville ! Beerus décide alors de se rendre sur Terre et menace de détruire la planète… Il tombe pile poil pendant la fête d’anniversaire d’une Bulma folle de rage ! Il faudra l’aide du dragon sacré pour trouver le super saïyen God… un adversaire à la hauteur du Dieu de la destruction…

Avis par Jake :

Plus de dix ans après la dernière sortie animation de Dragon Ball Z, on retrouve tous nos personnages préférés (et mêmes certains très vieux issus de Dragon Ball !) dans une toute nouvelle aventure qui parvient avec brio à conserver l’esprit Dragon Ball… En effet, l’humour est omniprésent, et cela se sent même avec le « méchant » de cette aventure, qu’on ne peut s’empêcher de trouver sympathique ! Akira Toriyama a fait un boulot génial et nous met en avant tous les personnages (Gohan, Vegeta, Gotenks, Son Goku SSJ3) et nous promet même une nouvelle évolution : le super saïyen God. Il y en a donc pour tout le monde, et les combats ne sont pas en reste ! (Heureusement, parce que cela fait aussi parti de l’essence de Dragon Ball Z !) Il y a des passages touchants, et une fin très surprenante… comme quoi même Toriyama parvient à se réinventer ! Le tome est plus que généreux avec ses 300 et quelques pages ! Les captures d’écran sont réussies, même si cela s’avère un peu dur à suivre pendant certains combats rapides. Une œuvre géniale qui nous donne très envie de nouvelles animations !

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Résumé :

Grâce aux Potalas donnés par Kaîo Shin, Vegeta et Son Goku ont pu fusionner pour former Vegetto, le guerrier le plus puissant qu’il soit… Il prend sans problème le dessus sur Majin Boo et parvient à le manipuler jusqu’à ce que ce dernier l’absorbe. Une fois à l’intérieur du corps du djinn, Vegeta et Goku arrivent à libérer leurs amis absorbés par le monstre… Mais tout ne se passe pas comme prévu et c’est bientôt un nouveau Majin Boo plus puissant que jamais qui se présente devant eux… Nos amis auront besoin d’unir leurs forces et d’utiliser l’énergie du monde entier pour vaincre Majin Boo…

Avis par Jake :

Voilà la fin de Dragon Ball, et cela fait quelque chose ! Akira Toriyama fait les choses bien en concluant sur un bouquet final : il nous présente le guerrier le plus puissant qui soit en la présence de Vegetto, un combattant issu de la fusion des deux personnages principaux (et antagonistes) que l’on attend depuis longtemps ! Le Genkidama est également un super clin d’œil à toute la saga. On retrouve tout le monde, y compris des personnages datant d’avant l’arrivée des Saiyens sur Terre… La fin rend le lecteur très nostalgique, notamment avec le tout dernier chapitre présenté par l’image de Bulma et Goku enfant qui se rencontrent… Cela nous ramène un paquet d’années en arrière… Le format perfect de ce manga est superbe, que ce soit dans ses pages en couleurs, dans ses polices ou dans sa taille agrandie… Dragon Ball est certainement le plus grand manga de tous les temps, et cette édition lui rend justice…

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Résumé :

Les combats ne cessent de s’envenimer dans le cirque maudit ! Si Shishido a réussi à battre le tigre du Bengale, il n’est pourtant pas ressorti sans de graves blessures, ce qui l’empêche de protéger Hana par la suite… Car la jeune femme va faire une découverte : ce n’est pas l’effrayant clown qui est aux commandes, mais bien un nouveau personnage qui a subi la même malédiction que Shîna, le directeur du zoo. Ce dernier ne tardera d’ailleurs pas à l’affronter, et il découvrira que son adversaire maîtrise une horrible technique : il peut récupérer la magie insufflée dans ses animaux, récupérant par la même leur force et les empêchant de ne jamais pouvoir se retransformer… Mais il est hors de question pour Shîna de faire de même avec ses amis ! Quelle va être la conclusion des aventures du zoo Oumagadoki ?

Avis par Jake :

C’est le cœur lourd que l’on dit adieu aux animaux du zoo Oumagadoki… J’ai découvert le premier tome de ce shonen passionnant il y a moins d’un an (Mai 2014, si mes souvenirs sont bons), mais j’ai pourtant l’impression que cela fait des années que l’on suit les péripéties de cette bande de frappés du bulbe ! ^^ Ce dernier opus est à l’image de tout le manga : plein d’humour, d’amitié et d’espoir. Il permet aux personnages de faire ressortir le meilleur d’eux même, et présente des dessins superbes où l’on croise sans cesse de nouvelles chimères mêlant l’humain à l’animal… J’ai trouvé, pour ma part, la conclusion très satisfaisante, mais je ne peux m’empêcher de regretter que l’histoire n’ait pas trouvé un autre rythme lui permettant de compter plus de tomes ! On aimerait vraiment qu’il arrive plus de (més)aventures à Shîna et ses amis. La dernière partie est un joli clin d’œil à la complicité entre le directeur et Hana… En prime, ce dernier volume propose une des créations fétiches du mangaka, qui aurait également pu être un bon sujet… Il semblerait que l’auteur ait un petit faible pour les « underdogs »… Quoi qu’il en soit, le nombre réduit de tome de cette saga lui permet de ne pas s’essouffler et de nous offrir une histoire de qualité, alors si vous ne connaissez pas encore Crazy zoo, il est temps de vous y mettre !

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