Résumé :

Il y a du mouvement chez les goules et chez les colombes... Chez ces dernières, on se réorganise et un nouveau venu au caractère très excentrique fait son entrée. Il demande d'ailleurs un nouveau quinque, et c'est l'occasion pour ses collègues d'expliquer les différents types de goules existantes, ainsi que leurs forces et faiblesses... Les goules de l'ancien district de Liz se mettent à la recherche des êtres ayant hérités des organes de la défunte goules, et c'est le frère de Toka qui se rend à l'Antique pour venir y capturer Ken ! Cela donne lieu à une rencontre musclée entre le frère et sa soeur... Une fois dans le 11ème district, Ken devient rapidement proche des anciennes goules en charge... écrasées depuis que Liz est morte et qu'un nouveau groupe de dirigeants a fait son apparition...

Avis par Jake :

Sans conteste le meilleur volume de Tokyo ghoul jusque là ! Il est également idéal pour tous ceux qui voudraient (et franchement devraient !) prendre le train en marche. Il a simplement tout : une explication poussées sur les différentes natures de goules, quelque chose que l'on attend depuis le début de la saga ! Il n'est pas non plus avare en combats, puisque les nouvelles goules du 11ème district engagent rapidement des altercations contre Ken et ses compagnons. Les colombes s'activent et cela promet des conflits triangulaires entre les différentes castes de goules et les hommes du CCG... C'est également une des premières fois que Toka témoigne d'un certain intérêt et même presque de l'affection pour Ken : elle n'hésite pas à se dresser face à son frère pour tenter de protéger son ami. Le mystère de Liz et de ses organes grossit... Vite, la suite, ce manga est trop génial !!!

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Résumé :

Alors que l’équipage du Thousand Sunny s’en va livrer l’infâme Cesar Clown à Doflamingo, l’un des quatre empereurs, Luffy tombe sur une annonce qui va le toucher… En effet, un combat géant dans une arène est organisé, et le vainqueur remportera un fruit du démon très spécial… Le pyrofruit, soit celui que possédait Ace, le frère défunt de Luffy. Les concurrents sont nombreux, et l’équipage de Luffy se doit de se déguiser pour évoluer sur l’île où se jouent les combats en mêlées : Dressrosa. Le capitaine ne peut s’empêcher de s’inscrire… De leurs côtés, les amis s’apprêtent à livrer Cesar, mais la route est difficile, et entre temps, Zoro s’est fait voler un de ses précieux sabres !

Avis par Jake :

Evidemment que ce numéro va plaire aux fans ! Notamment à ceux qui sont adeptes de baston, et c’est une idée géniale de faire se dérouler les combats en groupes dans l’arène. Chacun pour sa peau, à plusieurs dizaines, les combattants s’affrontent en faisant étalage de leurs nombreuses capacités et coups spéciaux. Cela donne lieu à de magnifiques bagarres et cela nous invite à rencontrer de nouveaux personnages, même si la plupart sont éphémères dans ces affrontements sans merci ! L’apparition du pyrofruit fait son petit effet, et le souvenir d’Ace vient immédiatement gagner Luffy et le lecteur… Reste à savoir qui va hériter de ce très prisé pouvoir du fruit du démon… Côté équipage, petit regret car forcément, si les combats sont nombreux d’un côté, les autres personnages se font plus discret. Certes, on voit quand même des petites histoires indépendantes, mais c’est surtout l’ébauche d’une nouvelle aventure qui prend le jour à la fin de cet opus, avec des nouveaux personnages… Les célèbres et mystérieuses « fées » de Dressrosa… A suivre rapidement !

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Résumé :

L’entraînement d’Ichigo continue avec la division zéro et devient enfin plus physique… Après avoir reposé et nourri les corps, le détachement royal met au défit Ichigo et ses amis afin de tester leur force… C’est ainsi que leurs zanpakutô leur sont retirés… Ichigo ne parviendra pas à faire ses preuves et sera renvoyé chez lui afin d’en apprendre plus sur ses origines… Il retrouvera ainsi son père, qui a quelques confessions à lui faire sur son ascendance… De son côté, Kenpachi Zaraki se rend au niveau le plus bas de la grande prison de la Soul Society afin d’y rencontrer un très ancien adversaire qui a une méthode assez étrange qui poussera Zaraki à retrouver sa pleine puissance… Une histoire qui nous plongera dans l’enfance du shinigami…

Avis par Jake :

Un très bon tome qui oscille entre esprit et corps. En effet, le combat de Zaraki est pour le moins musclé, et il est très agréablement parsemé de flashbacks qui nous ramènent à son enfance. Certes, il est parfois un peu complexe de s’y retrouver au niveau des personnages, mais pour le coup c’est assez bien mené ! L’explication est pas mal, et cela implique que Zaraki risque de revenir sur le devant de la scène dans les prochains combats… Côté Ichigo, on est limite un peu frustrés, car si son entraînement prend (déjà) fin avec le détachement royal, l’histoire de sa mère intrigue énormément ! On souhaite ardemment savoir ce qu’il en est, et surtout pourquoi son père le lui a caché jusque là… Le retour dans le monde humain pourrait conduire à de bonnes histoires et mettre un peu le hola sur ses combats… vivement le prochain opus donc ! Côté dessin, on a encore des passages comiques très bons lorsque Ichigo évolue avec la division royale : on a l’impression de le retrouver au milieu d’un spa, et c’est très drôle ! Bref : un numéro 59 plein de contrastes très équilibrés !

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Résumé :

Kenshin est désormais un vagabond, possesseur d’un sabre à lame inversé. Il a juré de ne jamais plus prendre une vie… Mais ce n’est pas l’être qui l’a toujours été… Car durant la précédente ère, il était considéré comme Battosaï l’assassin, un des mercenaires les plus sanglant et puissant qui soit ! Mais la paix nouvellement installée est fragile… Kenshin va bientôt rencontrer Kaoru, une jeune femme héritière d’un dojo en danger. Il croisera également la route de Yahiko, un garçon courageux qui a besoin d’aide mais est trop fier pour la réclamer… Et il changera également le style de vie de Sanosuke. Trois personnes, qui ne tarderont pas à s’immiscer dans la vie de Kenshin, pour la changer à jamais…

Avis par Jake :

Quel délice de retrouver Kenshin, plus de dix ans après l’arrêt de la série initiale ! Même si c’est une histoire parallèle (en fait, une version condensée et légèrement modifiée des premiers tomes), on adore retrouver cette ambiance si singulière, qui a fait le succès de ce shonen prenant ! C’est à la sortie du film (inédit en France) que l’on doit la mise en œuvre de cette mini saga en deux tomes, qui nous offrent en plus, un chapitre zéro ! Avec autant d’années, le dessin du mangaka a évidemment changé, il s’est affiné, et l’on trouve aux personnages un air plus sérieux, moins « bon enfant »… Néanmoins, certaines expressions continuent de transparaître, et les célèbres « Oyo », ne manquent pas ! C’est un Kenshin plus adulte et moins axé sur les sentiments (forcément, en deux opus on n’a pas le temps de développer autant qu’en 28, que compte la série originelle). C’est toujours aussi dynamique et agréable, on a hâte de découvrir la suite et fin !

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Résumé :

A la fin du XXIème siècle, une grave maladie nommée Cagaster fait son apparition. Elle transforme les gens contaminés en insectes géants mangeurs d'hommes, qui propagent eux-même la maladie en laissant derrière eux des survivants. Drastique réduite, l'Humanité s'est divisé en deux secteurs : l'un étant peuplé par les survivants, l'autre destiné aux insectes. Pour survivre, il existe même des exterminateurs employés pour détruire les créatures, et les humains en phase de transition... Kidow en est un, et alors qu'il est en mission, il tombe sur un père mourant qui lui confie sa fille. Laissé face à sa morale, Kidow prend donc la décision de trouver un travail et un gîte pour Ilie, la jeune fille.
 

Avis par Jake :

La nouveauté tant attendue chez Glénat débarque enfin. Petite saga prévue, elle se campe dans un monde post apocalyptique assez attrayant (pour le lecteur, beaucoup moins pour l'Humanité...). Les dessins sont assez réussis, même si les lieux sont parfois angoissants ou désert. Les coups de crayon sont un savant mélange entre Gangsta et Fullmetal Alchemist... Côté histoire, on est assez emballé. Dommage que la trame se mette que très lentement en route. Pareil : les deux personnages ont beau être réunis très tôt, ils ne sont pour autant presque jamais ensemble, ce qui est regrettable. Ilie est très attachante, pour l'instant Kidow est très froid... Quelques personnages secondaires sont présentés et sont très attrayants. Il y a beaucoup de potentiel de ce côté là. On se demande tout de même comment on parviendra à construire une telle mythologie avec moins de dix tomes (on voyait bien une longue saga type Resident Evil avec en tête Kidow et Ilie). Vivement le tome deux pour voir le chemin que choisit l'auteur...

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Résumé :

Kanda et Johnny s’occupent toujours d’un Allen délirant, qui oscille entre la réalité et les rêves de Néah, le 14ème. Alors qu’il vérifie le périmètre, Kanda tombe sur Link, prétendument mort, et le prévient qu’Allen est sous sa protection, et qu’il sera le seul à le tuer si le 14ème prend possession de son corps. Pendant ce temps, Johnny est aux petits soins pour Allen, mais il se fait gravement blessé lorsque c’est Néah qui sort de ses souvenirs ! Ce dernier utilise Timcampy pour voir le passé d’Allen… Mais Tim est bientôt pris en chasse et attaqué lui-même par Apocryphos ! Tout à coup, le conte millénaire apparaît, plus névrosé que jamais, et s’en prend à Allen…

Avis par Jake :

On est bien obligés de les attendre un moment, ces tomes de D. Gray-man, vue la vitesse à laquelle ils sont publiés dans leur version originale, mais quel plaisir lorsque l’on peut enfin les dévorer ! L’histoire avance bien, on n’est pas en manque de rebondissements, et les événements marquants se multiplient (on dirait presque une fin de saga !). Les souvenirs de Néah sont sur le point de nous faire de grandes révélations sur le conte, et son état en fin de tome ne peut qu’interpeller le lecteur (et fan). L’inquiétude et l’implication de Johnny durant tout le volume, ne peuvent que toucher ! Il prend soin d’Allen, alors que pratiquement tout le monde semble lui tourner le dos… C’est Kanda, qui est le plus en avant ici, et cela devient très prenant. Sa détermination est palpable. Côté dessin, c’est du très beau travail : c’est précis, très clair et les côtés comiques sont bien mis en avant. C’est juste parfait ! Dommage qu’il faille attendre près d’un an pour un nouveau tome…

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Résumé :

Depuis toujours, les démons peuplent la Terre et s’en prennent aux humains, les utilisant parfois les uns contre les autres. Pour les combattre, les Claymore ont été créées… Il s’agit en réalité de femmes à qui l’on a ajouté du sang de démons, transformant ainsi toutes leurs capacités, et ancrant dans leurs gènes une haine féroce envers ces créatures… Une nouvelle abyssale s’approche de la ville sainte de Ravona. Et Priscilla, libérée elle aussi, représente également une menace… En parallèle, deux exaltés mâles se présentent devant Raki…

Avis par Jake :

Parfois, il est possible de prendre le train en route, et certaines fois, ce n’est pas possible ! J’ai voulu découvrir le manga Claymore avec ce tome 24, mais j’avoue avoir été complètement perdu ! L’histoire est trop complexe, malheureusement, pour s’investir pleinement dedans avec un seul tome pris au hasard… Côté dessin, c’est assez minimaliste, mais très précis. L’auteur n’a pas peur d’aller dans certains détails (notamment les armures) au détriment des paysages. C’est aussi assez gore ! Etrange que Claymore ait été classé dans les shonen et non dans les seinen, car côté coup de crayon comme côté scénario, c’est un peu hard ! Les dialogues sont relativement rares, et cela appauvri un peu l’histoire : ainsi, elle avance assez lentement. En revanche, cela confère un aspect très dynamique au tome qui se lit, par contre, relativement vite ! Les combats, qui foisonnent, sont assez répétitifs… Et je dois avouer que je n’ai pas été convaincu par l’œuvre en général… Peut-être trouverais-je un jour la motivation de lire le premier tome, mais je ne suis pas pressé…

Lien direct : Editions Glénat

Résumé :

Bastien est orphelin, mais comme la majorité des ados de son âge, il est fou du concept Urban rivals. Mais ce jeu de cartes coûte relativement cher, et il est obligé de collectionner les fausses cartes, jouant simplement avec ses amis. Mais il reçoit un cadeau anonyme pour l’anniversaire de ses quinze ans : une vraie carte inconnue au bataillon, celle de Dregn, ainsi qu’un gantelet Urban rivals… Potentiellement, cela peut lui ouvrir les portes du jeu officiel ! Il ne manque plus qu’un coup de pouce de la part de son meilleur ami, et de la très sexy conseillère de son école, qui ne manque pas de trouver un tournoi auquel il peut participer. Malheureusement, tout n’est pas aussi facile : le tyran du lycée se retrouve être un de ses adversaires, et une étrange fille au franc-parler s’intéresse à son jeu…

Avis par Jake :

Un shonen dans la lignée des Yu-Gi-Oh !, basé sur des jeux de cartes. Le concept est intéressant, mais paraîtra certainement étranger à ceux qui ne connaissaient pas antérieurement le jeu Urban rivals, qui semble connaître un joli succès sur internet. Dommage que le thème ne soit pas mieux expliqué en amont. Par la suite, l’histoire est bien construite : Bastien est un garçon plutôt défavorisé qui vit pour sa passion. En cela, le personnage est assez « commun ». La trame se complexifie vers la fin du tome, et pose quelques questions qui interpelleront le lecteur et le pousseront à se plonger dans la suite. Côté dessin, si les fonds sont souvent ignorés, le travail est très précis et classe. A l’image de ce shonen en général, le design comblera les gamers et les fans de BD, car on reconnaît immédiatement son côté jeune, tendance et classe : on a pratiquement l’impression de se retrouver devant l’adaptation d’un anime ! Pour ma part, il me faudra poursuivre encore un peu la lecture avant d’être complètement addicted…

Lien direct : Editions Delcourt

Résumé :

Hana s’est habitué aux étrangetés qui foisonnent dans le zoo Oumagadoki pour lequel elle travaille. Car en effet, Shina, son propriétaire est un garçon maudit, condamné à se retrouver sous la peau d’un lapin foldingue, jusqu’à ce qu’il ait rendu son zoo le plus populaire du monde ! En contrepartie, il a le pouvoir de transformer chaque animal du zoo en un hybride animal / humain, comme il est devenu lui-même… Mais récemment, Shina a retrouvé sa véritable main ! Bientôt, une orque à allure semi-humaine vient à Oumagadoki en tant que représentant du grand aquarium Ushimitsudoki, qui à priori a à sa tête un être aussi maudit que Shina. L’orque commence rapidement à agresser les membres du zoo, et va même jusqu’à kidnapper un de ses participants, forçant ainsi Shina, Hana et leurs amis à les poursuivre jusqu’à l’aquarium Ushimitsudoki. Nos amis découvriront rapidement que ce n’est pas la même ambiance, qui règne dans ce lieu…

Avis par Jake :

Ce tome est encore meilleur que le précédent ! Si le premier opus nous campait les personnages, la malédiction et la dynamique du zoo Oumagadoki, celui-ci rentre plus franchement dans la trame et dans les aventures de nos (anti)héros. Shina y est moins énervant, il a trouvé un certain équilibre, imputable sans doute à l’arrivée d’Hana. Le tout, en conservant la dose d’humour insufflée dans le premier volume (pour en être convaincu, il n’y a qu’à regarder la couverture, avec et sans son rabat !). Les dessins sont magnifiques et très précis, d’autant plus que le mangaka nous présente de nouveaux personnages : les « méchants » de cette trame-ci. La malédiction n’est plus la seule, et d’un point de vue scénaristique, les choses se complexifient, ce qui happe davantage le lecteur. On se retrouve avec un adversaire limite antipathique qui ne fait preuve d’aucune pitié, qui présente ce qu’aurait pu devenir le zoo Oumagadoki si Shina avait instauré une dictature. De nouveaux ennemis impliquent de nouveaux combats, et ils sont très réussi : on a l’impression de se retrouver au sein d’une véritable baston qui n’a rien à envier à celles de One piece ! Cray zoo signe véritablement une réussite avec son second tome, et prend son envol !

Lien direct : Editions Delcourt (OUMAGADOKI DOBUTSUEN © 2010 Kohei Horikoshi / Shueisha)

Résumé :

En montagne, il semblerait que l’hiver ne finisse pas ! Mais si certains pensent à un dérèglement climatique, alors que d’autres s’imaginent qu’il s’agit du fait d’une Déesse, 006 et le professeur Gilmore découvrent la vérité ! Ivan est kidnappé par une femme qui a perdu son enfant et vit depuis dans un état dépressif… Mais c’est sans compter les pouvoirs méconnus de l’enfant. Dans la cité du futur, une personnalité prise dans une machine hautement perfectionnée fait des siennes en s’en prenant aux cyborgs… Quelle est la raison de ces attaques ? Françoise paraît anormalement dure avec une de ses amies humaines, mais n’y a-t-il pas une explication derrière cette attitude si atypique de la gentille cyborg ?

Avis par Jake :

Ce manga qui m’était tout à fait inconnu paraît dans la collection « vintage » de Glénat, et pour cause : il date des années 1960 ! Il n’est donc plus tout jeune, et cela se ressent immédiatement autant dans son style que dans ses dessins. Les traits sont assez minimalistes, tranchés en noir et blanc, sans véritable souci du détail. Si les trames paraissent simples (elles sont effectivement très segmentées en chapitres, sans véritable liants), j’étais très surpris de voir que les histoires étaient loin d’être noires ou blanches : des thèmes très complexes sont abordés, et ce n’est pas toujours un happy end qui conclut le chapitre… Ce manga, un shonen tout de même, n’est donc pas à conseiller à tout le monde. Il ravira les nostalgiques pour ceux qui se remémorent avec affection les Capitaine Flame, et même certains mangas des années 70 80 qui ressemblent par leur coup de crayon et leurs chapitres isolés (je pense à Kimagure orange road alias Max et compagnie). Chapeau à l’éditeur qui a fait un merveilleux travail de mise en page : l’ouvrage étant plus épais (près de 300 pages) que les mangas traditionnels, il bénéficie d’une superbe jaquette et d’un dos dur qui le rendent collector.

Lien direct : Editions Glénat

Résumé :

Paragus est un saiyan qui débarque un jour sur Terre pour demander à Vegeta de venir gouverner la nouvelle planète Vegeta, et s’opposer au guerrier qui semble imbattable. Incapable de refuser un challenge, le prince des saiyans se précipite, avec pour l’épauler Trunks et Gohan. Mais en parallèle, maître Kaio requiert l’aide de Son Goku, car une terrible menace pèse sur l’univers : un fantastique guerrier a déjà détruit une partie de la galaxie et projette de s’en prendre à la Terre. Broly est le fils de Paragus, et depuis sa naissance, qui eut lieu à quelques heures d’intervalle de celle de Goku, il vous à ce dernier une haine sans pareille ! Sauvé bébé par son incommensurable puissance, Broly est un être dont la rage et le pouvoir font perdre la tête… Il est le guerrier millénaire ! Nos amis seront-ils capables d’en venir à bout ?

Avis par Jake :

Bien que d’une extrême noirceur (la planète sur le point de se faire détruire par une comète, le sort funeste de Paragus et celui des habitants de la nouvelle planète Vegeta), cet OAV est certainement celui qui aura obtenu avec les années le plus de gloire. Et ce pour une raison très précise : il met en avant l’un des combattant et méchant les plus populaires de Dragon Ball Z : Broly. Un guerrier qui individuellement parvient à terrasser chacun des combattants super saiyans, même lorsqu’ils s’unissent. « Le guerrier millénaire » parvient à un stade intermédiaire avec le SSJ 2 qui aura conduit à de nombreux débats. Reste que son imposante masse et sa rage en font un adversaire incroyable. Sans cela, la trame est assez noire, comme l’ambiance d’ailleurs. On trouve un Vegeta inédit qui baisse les bras, ce qui parait assez inconcevable (voire même peu crédible) ! L’histoire se place normalement en plein milieu de la saga Cell (bien que cela soit impossible, comme c’est souvent le cas avec les OAV). Malgré ces travers, l’épisode Broly reste incontestablement culte…

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Résumé :

Gohan, Goku et Vegeta continue leur descente dans le vaisseau de Babidi en compagnie de Kaio Shin, afin d’éliminer la menace Majin Boo avant que ce dernier ne soit ressuscité. Mais les choses se corsent lorsque Dabra sent le vice en Vegeta, et que le sorcier Babidi l’utilise pour faire passer le prince des saiyan de son côté. Dès lors, Vegeta n’a de cesse de provoquer Son Goku en duel… Gohan et Kaio Shin décident alors de poursuivre la route pour tenter de stopper à temps la naissance de Boo, mais n’est-il pas déjà trop tard ? En parallèle, le tournoi de Budokai se poursuit avec une finale pour le moins étrange : Satan est opposé à C18 et Trunks / Goten…

Avis par Jake :

Evidemment que je connaissais Dragon Ball, et on apprécie énormément la saga Boo, qui donne lieu à de fantastiques transformations, autant du côté des gentils (Goku en SSJ 3, la fusion de Trunks et Goten, Mystic Gohan) que du côté des méchants (les nombreuses absorption de Boo, qui en font un adversaire redoutable)… Mais c’était la toute première fois que j’avais l’occasion de découvrir la « perfect édition » de Glénat, un format qui devient de plus en plus courant pour les mangas célèbres (On pense notamment à City hunter). Et je dois avouer que je suis resté scotché ! Les pages sont plus clairs, les dessins plus grands, sans pour autant perdre de leur qualité ou de leur détail. Les textes et polices ont été affinés… C’est vraiment du très bon boulot ! La couverture donne de suite envie ! Côté scénario, ce sont les prémices de l’affaire Boo, dont on n’imagine jamais (à la première lecture) l’étendue des pouvoirs. L’utilisation de Vegeta est très intelligente, c’est le retour du prince guerrier sans peur et sans pitié. Le tournoi fait un joli contraste quant au sérieux des combats contre Babidi. Les dessins sont parfaits, mais c’est toujours le cas avec le grand Akira Toriyama ! On trépigne de lire la suite, même lorsqu’on la connaît déjà ! C’est génial, c’est Dragon Ball en modèle de luxe ! ^^

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Résumé :

Hana est une lycéenne connue spécialement pour ses gaffes ! Elle ne peut s’empêcher de renverser, trébucher, casser… et faire toutes les bourdes possibles. Son grand rêve est de se faire embaucher dans un zoo, dans lequel elle pourra s’occuper des animaux qu’elle aime tant ! Quelle est sa surprise lorsqu’elle est immédiatement embauchée au zoo Oumagadoki ! Mais elle n’est pas au bout de ses surprises : très rapidement, elle se rend compte que les animaux du zoo sont capables de se métamorphoser en humanoïdes parlants, alors que le directeur du zoo n’est autre qu’un lapin géant psychopathe égoïste qui ne pense qu’à s’amuser ! Pourtant, afin que la malédiction soit levée, il faut que le zoo Oumagadoki deviennent le plus connu du monde entier… Quand on sait que le total de visites par jour s’élève à zéro, on comprend vite la tache énorme qui incombe à Hana !

Avis par Jake :

Crazy zoo est un nouveau shonen complètement barré qui présente en 5 volumes son histoire complète. Aucun risque de s’ennuyer avec une trame comme celle-ci ! J’apprécie pour ma part le personnage d’Hana qui n’est pas la caricaturale fille chochotte qui refuse de se salir les mains. Au contraire, elle ne recule devant rien pour atteindre ses objectifs. La majorité des animaux est drôle et sympathique, et c’est d’ailleurs l’ambiance générale qui émane de ce manga. Le directeur en revanche est assez effrayant, cela est en partie du à la façon dont il est dessiné (on dirait un lapin psychopathe), mais l’on sent qu’il a bon fond malgré son mauvais caractère. Personnellement j’accroche moins avec ce personnage… Côté dessin, c’est très réussi : les humanoïdes permettent au mangaka de créer des « monstres » assez bien conçus et des histoires à profusion. Ce qui fait la différence est sans aucun doute les visages hilarants des personnages lorsqu’il arrive une catastrophe ou que le directeur se met à attaquer la pauvre Hana à coups de carottes-fusées ! Un plus pour l’aspect humoristique de ce shonen !

Lien direct : Editions Delcourt (OUMAGADOKI DOBUTSUEN © 2010 Kohei Horikoshi / Shueisha)

Résumé :

Les capitaines de la Soul Society se font écraser par le Vandenreich. Le capitaine général se retrouve bientôt confronté au leader ennemi : Yhwach qui fait preuve d’une force jusqu’alors inégalée. Le combat fait rage et Genryûsai ne tarde pas à tomber… Tous les membres de la Soul Society sont troublés et Ichigo prend place de son ancien chef face à l’ennemi. Son adversaire ne peut rester plus longtemps sur place, mais l’un de ses hommes parvient avec une facilité affligeante à briser l’arme d’Ichigo avant de disparaître ! La division zéro qui protège habituellement le palais royal est appelée en urgence. Ses cinq membres, dont la puissance combinée dépasse celle de tout le reste de la Soul Society emportent avec eux tous les blessés graves, ainsi qu’Ichigo, afin que celui-ci découvre de nouvelles techniques qui lui permettraient de tenir tête au Vandenreich…

Avis par Jake :

Un tome qui redore le blason de Bleach ! Si les derniers opus ont été un peu répétitifs à force de combats successifs, le rythme de ce numéro est bien différent ! Evidemment, (et heureusement !) nous assistons à de beaux duels, mais de nombreux sentiments côtoient ces scènes. Tout d’abord, la peine qu’implique la mort de Genryûsai au sein de la Soul Society, ainsi que l’étendue des blessures de Rukia. Mais l’humour est également très présent à travers les différents états interloqués, d’Ichigo notamment. Ces véritables « tronches » dessinées sont un coup de maître du mangaka qui nous fait mourir de rire ! D’un point de vue scénaristique, on accède à un nouveau mystère énorme avec la pique lancée sur la mère d’Ichigo… De quoi intéresser les lecteurs ! Pareil pour la division zéro et ses membres qui semblent très puissants et à même de hisser Ichigo à un nouveau niveau. Le palais royal est un nouvel « univers » qui en jette… Bref : un nouveau niveau pour Bleach…

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Résumé :

Ken a réussi à échapper aux griffes de Shu Tsukiyama, dit Le gourmet. Mais la goule gastronome n'a pas pour autant tiré un trait sur cet être unique qu'est Ken... Shu tient toujours à mettre le jeune homme dans son assiette, et c'est ainsi qu'il lui tend un nouveau piège ! Le gourmet capture Kimi, une humaine qui connait la vraie nature de goule de son ami Nishiki. Alors que les deux garçons se battent en vain contre Shu, dont la force est bien plus élevée que les leurs, Toka arrive et utilise son "aile" magnifique pour combattre Le gourmet. Mais son régime alimentaire fait qu'elle est moins puissante... C'est ainsi que Ken lui propose de se nourrir de lui pour recouvrer sa force ! Le passé de Lize est révélé dans le district 2 qu'elle occupait avant... Les colombes, elles, se rassemblent pour contrer la vague de goules qui semble se déverser sur certains districts...

Avis par Jake :

Un tome génial et très mouvementé qui voit s'effectuer le retour (en force !) de Toka. C'est d'ailleurs le point fort de cet opus, d'après moi. La goule déchaîne pour la première fois son véritable pouvoir. Son "aile" est superbe, et l'effet rendu aussi (on peut voir dans le rabat de la couverture, la version couleur !). La partie sur Le gourmet était sympathique : un bon chapitre de transition. On attaque de nouveau un arc plus importe, je pense, avec le retour des colombes. La densité de personnages augmente au fur et à mesure que l'univers de Tokyo ghoul se construit. J'aimerais beaucoup un rapprochement de Toka et Ken, et on peut voir à l'attitude de la jeune femme qu'elle tient tout de même à lui. Le passage sur le passé de Lize était très intéressant, et le mangaka semble développer un mystère autour de ce personnage ! Avec ses excellents dessins sombres, ce shonen assez hard devient simplement de mieux en mieux à chaque tome !

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Résumé :

L’équipe de Nankatsu est dans sa finale du tournoi des collèges. Le jeu est très serré contre le Centre Toho, mais Tsubasa, alors même qu’il est très blessé, parvient à égaliser. Malheureusement, aucun autre but n’est marqué avant la fin de la deuxième mi-temps, et les prolongations sont sur le point de commencer… Etant donné l’état de Tsubasa, le médecin sur le terrain déconseille son retour au jeu. Mais Tsubasa refuse de laisser ses coéquipiers, même s’il doit partir pour le Brésil, il estime que cette défaite lui coûterait très cher d’un point de vue personnel. Avec l’accord de ses amis, et leur soutien, Tsubasa se jette à corps perdu dans les prolongations, quitte à jouer en défense pour palier sa fatigue. Bien sûr, l’équipe adverse fait son possible pour gagner…

Avis par Jake :

Etant né dans les années 80 (suspense sur l’année précise ! ^^), j’ai évidemment vu plusieurs épisodes d’Olive et Tom, l’anime adapté du grand Captain Tsubasa, renommé à cette époque. Glénat ressort ce shonen en ayant beaucoup retravaillé les dessins (nettement plus clairs) ainsi que les traductions. Ne serait-ce que pour l’aspect nostalgique, il me fallait plonger la tête dans un des tomes de ce manga ! Les dessins reflètent clairement l’âge (avancé) de ce shonen, on y retrouve un coup de crayon similaire à celui des Chevaliers du zodiaque, donc assez imprécis. Côté scénario, c’est un peu dur à dire avec un seul tome, mais l’on ne peut qu’admirer la ténacité du personnage principal (et la longueur du match de foot qui n’est toujours pas terminé en deux tomes ^^). Captain Tsubasa prône la passion pour le football, et l’unité que cela doit avoir comme conséquence sur une équipe. Comme la grande majorité des œuvres sportives, cela reste à conseiller aux fans du genre ! Et pour le football, Captain Tsubasa est sans conteste LA référence…

Lien direct : Editions Glénat

Résumé :

Yôichi est un lycéen plutôt doux qui ne cesse de se faire harceler par des camarades de classe. Sa seule réponse est le silence : il n’ose pas se défendre, ni même prévenir qui que ce soit. Il fait pourtant de très étranges cauchemars qui le plongent dans un univers où les loups sont des démons destructeurs… Un jour, Ayame, une jeune fille très mystérieuse au franc-parler débarque dans sa classe et annonce en le regardant qu’elle se méfie des gens qui cachent leur réelle nature… Alors qu’une créature - « un loup » - attaque un jour Yôichi dans la rue, Ayame débarque et utilise un poing américain pour révéler la vraie nature du jeune homme. Elle est le petit chaperon rouge qui utilise l’âme de Yôichi - son agneau - pour combattre les loups… Mais elle n’est pas la seule, et si Ayame tente de détruire simplement la part du démon en chacun de nous, certains sont prêts à tuer toute forme de mal, quelques soient les conséquences pour leur hôte…

Avis par Jake :

Une nouvelle saga du célèbre mangaka, frère jumeau du créateur de Naruto : Seishi Kishimoto ! On doit principalement à cet auteur les excellents shonens : Satan 666 (une véritable perle !) et Blazer drive… Kishimoto confirme une fois de plus son affection pour les genres étranges qui plongent le lecteur dans un monde bizarre où mal et bien sont difficilement cernables et délimitables. On est à la frontière de la réalité, les monstres pullulent, et ce n’est qu’en s’accrochant bien que l’on peut comprendre les tenants et aboutissants de l’œuvre. Le scénario est hallucinant, incroyablement original et en même temps très « dans l’air du temps » puisqu’il reprend les origines d’un conte de Grimm très connu : le petit chaperon rouge. Il est difficile pour l’instant de s’attacher aux personnages, car il semblerait qu’ils cachent tous bien leur jeu ! (à l’exception de la meilleure amie de Yôichi qui apparaît immédiatement comme quelqu’un de très bien). Côté dessin, que dire à part que le mangaka, grâce à son monde excentrique, montre tout ce qu’il sait faire à travers un coup de crayon monstrueux (c’est le cas de le dire !) et très précis. Un seul regret, mais il est de taille : il semblerait que ses mangas soient de plus en plus court, puisque après Blazer drive en 9 volumes (Satan 666 en comptait 19), Crimson wolf n’en aura que 4 !

Lien direct : Editions Kurokawa

Résumé :

Il y a des années, une guerre a éclaté à Elvenland. Le conflit opposait les monstres aux humains. Ce sont ces derniers qui ont vaincu… Mais cela ne signifie pas pour autant que tous les monstres ont disparu. Par exemple, les Black Airs sont un groupe de monstres dont le but est de passer du bon temps, et d’aider les gens quels qu’ils soient ! Tooran est une jeune fille du groupe des golems qui peut contrôler le sable, James est un Frankestein qui a la fâcheuse habitude de perdre son visage… Il est également très émotif ! Et il y a Mamie la momie, qui est un peu la grande sœur du groupe et prend soin de tout le monde ! Bien sûr, son membre le plus important est Aki : il ne paie pas de mine, mais son âme a la forme d’un des plus grands monstres de la création… Le démongarou !

Avis par Jake :

Monster soul est clairement un incontournable pour tous les fans de Fairy Tail ou de Rave… enfin, pour tous les inconditionnels de Hiro Mashima ! Triste sort qu’a connu ce scénario : l’histoire méritait bien de se voir transformer en un plus long manga ! Tous les ingrédients pour le succès y sont réunis : énormément d’humour, de grosses bastons, des transformations super chouettes, des personnages très tranchés, des valeurs importantes comme l’amitié et la solidarité… Du pur Mashima, en fait… J’ai particulièrement apprécié le personnage de Mamie, qui prend soin de ce petit groupe hétéroclite qui forme une famille ! Les nombreux flashbacks qui renvoient au passé des personnages sont également autant d’ajouts intelligents qui nous permettent d’accrocher encore un peu plus avec Aki, James, Mamie et James. Monster soul a peut-être le seul défaut de se révéler un peu trop vite, mais cela est certainement dû à son format relativement court, imputable au mode d’édition originel. Aucun mot sur les dessins, car ils sont simplement parfaits : clairs, aérés et précis ! Sortir cette courte saga en intégrale était une super idée, et elle est assez riche en bonus également. Comme j’ai dit, quoi : un must pour les fans !

Lien direct : Editions Pika

Résumé :

César tente une toute dernière attaque en répandant sur l’île un gaz mortel, mais Luffy se dresse face à lui et le frappe pour tout ce qu’il a infligé à Barbe brune et aux enfants. Deux hommes de Doflamingo, alias Joker, débarque alors pour récupérer le créateur de gaz, mais ils doivent faire face à Franky, pas décidé à lâcher son prisonnier ! Law donne alors un ultimatum à Doflamingo… Ce dernier acceptera-t-il de démissionner de son poste dans les sept corsaires ? Ni une, ni deux, il se précipite sur l’île et attaque Smoker, dont le sort risque d’être très triste s’il n’obtient pas de l’aide rapidement… Les enfants sont confiés à la marine alors que Luffy et son équipage suivent Law : leur nouvel objectif est la destruction d’une des usines de Doflamingo qui sert à créer artificiellement des fruits du démon… Soit le potentiel de créer un équipage aux pouvoirs destructeurs !

Avis par Jake :

Un tome bien rythmé qui voit la fin de la saga de César, puisque ce dernier se prend la raclée de sa vie. Seul petit regret : il n’y a que Luffy et Franky qui puissent véritablement montrer de quoi ils sont capables en terme de combat… (même si Nami et Usopp ont un petit rôle ^^) Les retrouvailles sont joyeuses, et ce volume est l’occasion de faire la fête… et la paix avec la marine ! J’ai adoré l’affrontement entre Smocker et Joker, je n’aurais jamais cru que le niveau du second soit tellement au-dessus de celui de Smoky… Heureusement, c’est l’occasion pour un ancien personnage de faire son retour ! L’usine de création des démons est l’opportunité pour le mangaka d’inventer de nouveaux personnages avec de nouveaux pouvoirs… Cela ne devrait cependant pas faciliter la tâche de nos compagnons ! C’est aussi la montée en puissance de Doflamingo (d’où le titre du tome : « Doflamingo sort de l’ombre »), gageons qu’il s’agit du prochain adversaire de Luffy… L’alliance avec Law semble tenir, et c’est très bien d’un point de vue scénario, car il s’agit d’un personnage assez mystérieux et complexe ! J’aime beaucoup le fait qu’il ait plus ou moins intégré l’équipage de Luffy… Une nouvelle île en vue, bientôt de nouvelles aventures pour Chapeau de paille !

Lien direct : Editions Glénat

Résumé :

Avec C-16, C-17 et C-18, Goku pensait en avoir terminé avec les cyborgs créés par le Docteur Gero, tous lancés à sa poursuite avec le même objectif : le tuer… Malheureusement, si le savant fou à la solde du Ruban Rouge a bien été tué par C-17, il n’en est pas autant de son super ordinateur, caché au fin fond des montagnes. La machine a gardé l’objectif de Gero jusqu’à créer trois nouveaux cyborgs… C’est ainsi que la ville est attaquée alors que Goku s’était fait traîné par Chichi pour une journée shopping ! Trunks, Gohan, Piccolo, Vegeta et même Krillin suivront leur ami dans les montagnes afin d’affronter les créatures cyborgs. Mais comme Cell nous l’a prouvé, c’est uni que les cyborgs sont les plus forts… Et Goku va bientôt le réaliser.

Avis par Jake :

Selon moi, une des raisons pour lesquelles la saga Cell a tellement plu (outre la transformation exceptionnelle de Gohan en SSJ2 !), c’était les cyborgs, et leur absorption par Cell qui le transformait progressivement en guerrier invincible. Ici, c’est la même chose : de nouveaux robots très forts dont les pièces détachées sont capable de former un ultime opposant à Goku. C’est aussi un des rares OAV où nous avons l’occasion de voir Trunks du futur, un personnage clé de cette saga qui aura vraiment marqué les fans de l’anime. Gohan prend progressivement de l’importance (ça évidemment, ça ne rend le manga qu’encore plus attrayant pour ses méga fans… genre : moi.). On sort véritablement de Freezer et toute sa bande pour de nouveaux méchants, sur cette bonne vieille planète Terre. Les techniques des cyborgs n’ont rien d’exceptionnel, sauf le dernier qui sort du lot. Quant à leur fusion… Géniale, tout simplement !

Lien direct : Editions Glénat