• Les vacances de Jésus & Bouddha - Tome 01 - Hiraku Nakamura

    Résumé :

    Après deux millénaires à travailler, Jésus, fils de Dieu et instigateur du christianisme ainsi que Bouddha décident de prendre des vacances bien méritées. Ensemble, ils vont louer un appartement au Japon et apprendre à connaître le nouveau monde. Après avoir découvert les joies du métro, ils vont profiter d’une journée au parc d’attraction. Bouddha devra s’assurer que Jésus ne dilapide pas leur argent de poche ! Quant au Christ, il lui faudra cacher les miracles de son confrère ! Mais alors que l’initiateur du Bouddhisme cherche à apprendre à son ami à nager, Jésus va être pris pour un fils de parrain mafieux par des Yakuzas au sauna… Les deux amis ne sont pas aux bouts de leurs surprises et enchaîneront les quiproquos et les mésaventures !  

     

    Avis :

    « Les vacances de Jésus & Bouddha » m’avait beaucoup intrigué : outre son titre accrocheur, le synopsis était des plus original et donnait envie. Malheureusement, je n’ai pas été séduit. Difficile à classer, pourtant autant dans son rythme que dans son humour, ce manga appartiendrait plutôt au shojo. Les aventures de nos deux héros sont loin d’être extraordinaires et paraissent un peu sans « contenances », de même ce premier tome ne nous donne pas d’information sur la relation qui les lie, ou même sur la raison exacte qui les a poussés à arrêter leur activité divine pour intégrer le royaume des humains et vivrent comme eux. L’humour est souvent un comique de situation, la plupart du temps lié à leur état (la couronne de ronces de Jésus qui prend fleur, les oreilles pendantes de Bouddha et halo brillant…). Côté dessin, rien à signaler : rien d’extraordinaire, mais aucune faute non plus… Ce manga aurait pu beaucoup me plaire, il manquait peut-être de peu : un peu plus de complicité ou d’amitié entre les deux héros, ou au moins un peu de mystère qui aurait pu me pousser à vouloir tourner la page…

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  • Soul eater - Tome 23 - Atsushi Ohkubo

    Résumé :

    Kid est obligé de quitter la lune en laissant les Death Scythes continuer le combat sans lui. Il rentre immédiatement à Shibusen pour traverser un portail le menant à la citadelle des sorcières avec les sorcières alliées du maître Shinigami. Mais lorsqu’il arrive sur place, l’accueil n’est pas aussi chaleureux qu’il avait pensé : la rancune des sorcière est grande, et les meisters sont leurs ennemis de toujours. Seule la doyenne semble de leur côté… Mais Kid ne perd pas la foi et embarque de nouveau à bord du vaisseau qui les conduira de nouveau sur la lune. Maka, Soul, Black Star et Tsubaki rejoignent également Stein dans son combat. Les sorcières débarquent finalement et tout le monde se prépare au combat ultime alors que Crona n’attend personne pour trouver le grand dévoreur…

     

    Avis:

    Ca y est ! Plus de retour en arrière possible : toutes les forces sont réunies sur la lune. Si certains sont pressés de voir le combat entre les forces de Shibusen et Asura, ce qui m’intrigue le plus est la rencontre de Crona avec le grand dévoreur. L’ancienne amie de Maka semble avoir coiffé tout le monde au poteau… Ce tome est très bon même s’il présente moins d’action que les précédents tomes. Il est surtout question de la foi de Kid et de son rôle d’intermédiaire avec les sorcières. Un nouveau mystère se profile à l’horizon avec l’arrivée d’Excalibur à Shibusen (quelque chose qui n’augure jamais rien de bon !!!). La descente de M. Sid dans les narines de la lune paraît sans fin, pourtant, on sent Asura tout près avec la démence qui grandit. Bref : tout est préparé pour une explosion d’action que l’on attend tous avec beaucoup (trop ?) d’impatience ! Aucune date encore pour le tome 24 qui n’est même pas encore sorti au Japon (et oui, Kurokawa a rattrapé l’édition originale ! ^^). Patience, donc !

    Lien direct : Editions Kurokawa


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  • Dragon Ball Z - Film 01 A la poursuite de Garlic - Akira Toriyama

    Résumé :

    Le père de Garlic a jadis été en compétition avec le Très Haut pour obtenir le titre de Dieu. Rongé par la colère et la haine, il a édifié une armée démoniaque pour renverser Dieu, forçant ce dernier à détruire la menace imminente… Des années plus tard, Garlic Junior recherche les sept boules de cristal afin d’obtenir du dragon sacré son vœu le plus cher : l’immortalité. Après avoir essayé de tuer Piccolo, et par la même le Très Haut, Garlic envoie ses hommes de mains pour capturer Son Gohan dont le chapeau est orné du Dragon Ball à 4 étoiles. Lorsqu’il sait son fils capturé, Son Goku se précipitera à leur recherche. Mais lorsqu’il arrive au château du démon, il sera trop tard : Garlic Jr. Est déjà devenu immortel. Heureusement, Son Goku pourra compter sur l’aide de son meilleur ami Krilin et sur Piccolo et le Très Haut pour l’aider dans son combat. Mais comment peut-on se débarrasser d’un être immortel ?

     

    Avis :

    Quelle idée géniale d’avoir adapté les OAV en mangas ? En effet, les films de Dragon Ball n’avaient jusqu’alors jamais été porté ssur modèle papier. Voilà qui est chose faîte ! Bien sûr, ce n’est pas le coup de crayon du mangaka Akira Toriyama que l’on peut retrouver ici, mais des captures d’écran retraçant le film entier. Malgré tout, ce format semi manga, semi comic  (tout en couleur !) est un plaisir et une très bonne idée pour les non-inités au monde de Dragon Ball Z ! D’ailleurs, quelques pages d’introduction campent les personnages et leur histoire en début de tome. La trame quant à elle est classique des OAV : un grand méchant arrive, ici Garlic Jr. L’histoire est pleine d’humour (du vrai Toriyama) surtout grâce à la présence de Gohan petit, innocent et mystérieux avec ses grands pouvoirs cachés. L’idée de l’immortalité est quelque chose qui reviendra beaucoup dans la saga qui est là à ses débuts (cet épisode se classerait juste avant que Dragon Ball Z commence réellement, juste après la fin de Dragon Ball). C’est la première réelle entraide de Piccolo et Son Goku, même si l’entente n’est pas des plus cordiales… On est avant la période super saiyen, mais les puritains des transformations ne seront pas en reste grâce aux méchants qui changent de forme. Et les fans de DB retrouveront ici l’humour qui en a fait son succès. Un must pour ceux qui peuvent enfin troquer leurs vieilles VHS des OAV contre des mangas !

    Lien direct : Editions Glénat


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  • Silver spoon - Tome 03 - Hiromu Arakawa

    Résumé :

    Les vacances d’été se finissent pour Yago, qui les a passées dans la ferme de son amie Aki. Elles ont été riches en rebondissements, et vient l’heure de la remise du salaire du jeune homme. Mais celui-ci remet en question son mérite : après tout, il a fait plusieurs erreurs, qui ont évidemment coûté de l’argent à l’entreprise familiale agricole… A la rentrée, Yago remarquera que chacun est revenu transformé de l’été. Perte de poids, bronzage… Mais la grande majorité n’a pas été payée pour son travail, normal lorsque l’objectif est de reprendre la ferme familiale… Sauf que ce n’est pas vraiment le rêve d’Aki, qui n’ose pourtant pas le dire à ses parents. Shingo, le frère aîné en profite pour rendre visite à son petit frère lors d’une kermesse qui verra les élèves d’Ohezo se transformer en véritables morfales ! Quant à Côtelette, le petit porcelet nommé par Yugo, il s’est transformé en un porc digne de ce nom, dont le destin est malheureusement de finir dans une assiette… A moins que le salaire de Yugo soit utilisé à bon escient ?

     

    Avis :

    La nouvelle saga « Silver spoon » surf sur le succès, et l’on comprend pourquoi ! Ce troisième tome ne fait que confirmer une réussite évidente : le manga est un subtil mélange d’humour omniprésent, d’aventures, de relations et de rêves avoués ou non. Une découverte du soi que l’on suit grâce à Yugo, un garçon qui a la base n’a rien à faire dans un lycée agricole. La fin de l’été est teinté de tristesse car Yugo a vécu de grandes péripéties, pourtant, il en sort évidemment grandi, comme le fait remarquer avec beaucoup de sagesse l’aïeule d’Aki (qui est hilarante, surtout lorsqu’elle effraie les vaches !). L’entrée en scène de Shingo, le grand frère de Yugo est une idée géniale qui nous permet d’en apprendre davantage sur sa famille. On assiste également à une conversation téléphonique qui nous confirme que le père des deux garçons ne supporte pas les choix professionnels de ses enfants (ce qui les a probablement poussés dans cette voie). Contrairement à son frère, Shingo est sûr de ses choix et persiste à aller vers son rêve. J’étais très heureux de retrouver l’ambiance bon enfant d’Ohezo et tous les amis de Yugo. Le quiproquo de sa relation avec Mayumi donne lieu à des moments très drôles ! Enfin, le futur de Côtelette m’a beaucoup surpris (et je dois le dire, m’a fait de la peine), mais j’imagine que c’est en prenant par surprise que la mangaka réussit continuellement à plaire et à produire des succès… L’idée tellement originale d’un manga dans le domaine agricole ne finit pas de plaire : vivement le tome 4 !

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  • Saint Seiya the lost canvas chronicles - Tome 02 - Masami Kurumada & Shiori Teshirogi

    Résumé :

    La jeune Sasha a été ramenée au sanctuaire, mais il est dur pour une jeune femme de savoir qu’elle est en réalité la réincarnation d’une déesse ! Elle n’hésitera pas à interpeller Kardia, chevalier d’or du Scorpion pour se changer les idées… Ignorant qui est réellement Sasha, le chevalier fougueux va l’amener en voyage, la traitant affectueusement comme une enfant embêtante, ce qui sera une bouffée d’air frais pour la déesse. Mais alors qu’ils atterrissent dans une auberge, les deux amis vont être confronté à un clan qui idolâtre une divinité dangereuse qui pourrait bien signifier la destruction de l’Humanité et l’instauration d’un nouvel ordre. Le pouvoir du soleil développé par le leader du clan des Jaguars devra s’opposer à Antares, l’étoile rouge symbolisant le cœur de l’armure du Scorpion, et de son chevalier : le courageux Kardia.

     

    Avis :

    Comme promis par la mangaka dans son petit mot aux lecteurs, Teshirogi a tenté avec ce tome 2 de la nouvelle saga Chronicles du Lost Canvas de « retranscrire l’atmosphère des mangas des années 80 »… Et c’est le cas ! Si la trame de ce tome est un peu simple : Kardia est confronté à ce qui serait de nos jours une secte, l’ambiance est tout à fait agréable, et cela ressort même dans les dessins, qui sont moins « lourds » que parfois dans Lost Canvas. Les dialogues sont également allégés, et les combats laissent davantage la place à des moments de complicité entre Kardia et Sasha. C’est d’ailleurs là, tout l’intérêt de ce tome, d’après moi. La relation entre la jeune Athéna qui a du mal à accepter son nouveau statut, et Kardia, un chevalier d’or qui pense avoir affaire à une simple fillette. L’amitié qui va les lier et très touchante, et le personnage de la belle aubergiste est très réussi ! En effet, elle apporte du sarcasme et de la répartie à la grande bouche qu’est le chevalier d’or du Scorpion. Les dessins sont magnifiques, et si cela paraît ridicule, j’étais ravi de voir enfin un chevalier d’or avec son casque ! Surtout que celui de Kardia a un visuel génial ! Contrairement au précédent tome, cet opus nous permet de croiser également deux autres chevaliers d’or : celui du Sagitaire et mon préféré : Dégel du Verseau, espérons que dans les prochains tomes, les autres chevaliers se mêleront également ! D’ailleurs, le numéro 3 qui sort en Octobre risque de beaucoup me plaire !!!

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  • Silver spoon - Tome 02 - Hiromu Arakawa

    Résumé :

    L’objet insolite découvert par Yûgo n’est autre qu’un four à pizza en pierre. Lorsqu’il parle de sa découverte à ses nouveaux amis, il réalise bien vite que ces gens de la campagne profonde n’ont jamais vraiment eu l’occasion de déguster des pizzas livrées à domicile comme c’est le cas pour n’importe quel citadin… Yûgo est donc chargé de faire découvrir ce plaisir ! Tout le monde mettra la main à la patte, de l’élaboration de la pâte, jusqu’à chacun des constituants de la pizza : tout provient de la ferme Ohezo ! Puis l’heure vient pour chacun de retourner à son domicile pour les vacances d’été… Yûgo est loin d’être impatient et décroche son premier boulot rémunéré : il ira travailler dans la ferme familiale de la belle Aki, qui ne le laisse pas indifférent ! C’est l’occasion pour lui de découvrir les endroits où vivent ses amis, et toutes les formes différentes d’élevage qui existent. La vie à la ferme est bien difficile, surtout pour trouver une place au milieu des élevages intensifs et internationaux… Yûgo quant à lui, se retrouve face à un choix difficile lorsqu’il s’agit de prouver qu’il peut se comporter en vrai fermier…

     

    Avis :

    Avec ce second tome, Arakawa prouve qu’elle tient la route avec un manga très original qui sort de tout ce que l’on peut lire habituellement ! Les aventures de Yûgo nous tiennent en haleine avec un parfait mélange d’humour (certains passages sont simplement hilarants, je pense notamment à la toute dernière page… « C’est dégueu ! ») et de réalisme. En effet, Yûgo est confronté comme n’importe quel citadin à la dureté de la vie agricole : ce tome rapproche notre héros de la réalité. Il doit dépecer un faon, une créature par définition paisible. La mangaka transmet vraiment bien toutes les émotions que ressentent Yûgo : son cœur lui dit de ne pas le faire, mais la logique veut que l’homme se nourrisse de l’animal. Le manga est également très honnête car il présente les différentes versions de l’agriculture, allant de la plus humaine à la plus industrielle. Certains personnages principaux sont moins présents, puisque la plupart des aventures de ce tome ne se passe pas au lycée, mais c’est également l’occasion de diversifier la trame. On apprend ainsi à connaître bien mieux Ichiro, le voisin d’Aki, qui jusque là était assez réservé… Les dessins sont toujours superbes et plein d’humour, et c’est un moment de détente assuré à la lecture de ce tome… Je n’ai qu’une seule crainte : que le pauvre petit cochon « Côtelette » ne passe à la casserole au prochain tome ! ^^

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  • Soul eater - Tome 22 - Atsushi Ohkubo

    Résumé :

    A peine posés sur la lune, les troupes de Shibusen se font attaquer par les forces du grand dévoreur. Justin ne fait preuve d’aucune pitié et se retrouve vite confronté à un Stein au bord de la démence, qui éventre ses ennemis comme du papier cadeau… Tous comptent sur Kid pour devenir un vrai Dieu de la mort : il est leur seule chance de détruire Asura, il faut pour cela que les trois ramifications du Styx se rejoignent. Mais les combats sont arrêtés lorsque des négociations sont ouvertes entre Shibusen et les sorcières pour empêcher la démence du grand dévoreur de gagner la Terre. De leurs côtés, Maka, Black Star et leurs amis ont finalement retrouvé Crona, qui attendait patiemment son ancienne amie. L’objectif de Crona est de gagner à son tour la lune, afin d’absorber le grand dévoreur et de mettre fin à toutes les règles qui régissent le monde. Maka et ses amis n’ont plus le choix : ils doivent également se joindre au combat qui se joue sur la lune…

     

    Avis :

    Le rythme de ce tome est un peu moins soutenu que celui du précédent. Une fois arrivés sur la lune, seul le combat entre Stein et Justin est le véritable enjeu. Cette altercation explosive est très bien menée et voit Stein se rapprocher dangereusement de la démence en déployant toute l’étendue de ses pouvoirs. De son côté, Kid tente de détruire les hommes de main du dévoreur, mais ne parvient pas à obtenir son niveau optimal, ce qui m’a frustré ! En revanche, les retrouvailles entre Maka et Crona tiennent en alerte ! Le fait que la fille de Medusa évite la discussion est rageant, mais on sent que quelque chose la lie toujours à son (ancienne ?) amie. Le regroupement de toutes les forces vers la lune rend le conflit à venir encore plus intéressant : il est quasiment impossible de deviner comment les choses vont se jouer ! De même : le rythme précédemment soutenu est tempéré par les négociations avec les sorcières, et j’aimerais bien savoir ce qui va se produire de ce côté-là… J’espère que le combat final ne tardera pas trop, car la pression est montée à son paroxysme et tout va se jouer… bientôt.

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  • Silver spoon - Tome 01 - Hiromu Arakawa

    Résumé :

    Yûgo Hachiken a toujours été un élève exemplaire faisant preuve de résultats irréprochables… Mais la pression qui l’accablait pour être le meilleur était trop lourde. En tous cas, c’est la raison qu’il invoque pour intégrer le lycée agricole Ohezo, où il pense pouvoir supplanter ses camarades sans difficultés. Car c’est vrai que le niveau n’est pas très haut… Jusqu’à ce que l’on rentre dans les spécificités de l’élevage ! Là, Yûgo est faible comparé à ses amis qui ont tous vécu dans des fermes familiales… Alors que chacun est motivé par un rêve propre, Yûgo est arrivé par défaut, sans véritable but. Au fil des jours, il se rend compte que la vie est très différente dans le lycée agricole : il est levé aux aurores, a une activité physique intense et doit développer de nouvelles relations avec les animaux… Du côté de ses amis, le coup de foudre est quasiment immédiat avec la jolie Aki, qui lui apprendra à monter à cheval…

     

    Avis :

    « Silver spoon » (à traduire : la cuiller en argent) est la nouvelle saga de la géniallissime Hiromu Arakawa à qui l’on doit le célèbre « Fullmetal Alchimist » et le plus récent « Hero tales ». En effet, le coup de crayon précis et plein d’humour de la mangaka est de retour dans une histoire qui se différencie complètement de ce qu’elle a pu écrire jusque là ! « Silver spoon » est un de ces rares mangas à la limite entre le shojo et le shonen et qui peut correspondre à tout le monde. Le sujet paraît banal, pourtant, en nous plongeant dans une campagne extrêmement rurale, il parvient à nous sortir complètement de notre quotidien et à nous faire oublier nos soucis (ce qui, si vous voulez mon avis, est le rôle d’un bon manga !). Le personnage principal est attachant, car bien qu’il soit bourré de préjugés et de nature plutôt citadine, il a clairement un bon fond et on le voit dès le début. Sa relation avec Aki débute doucement, ce qui est parfait pour un premier tome, mais les lignes du scénario sont déjà bien posées. Le lien avec les animaux est très bien décrit : comme n’importe quelle personne non issue du milieu agricole, Yûgo est confronté au fait de retrouver dans son assiette les mêmes créatures dont il prend soin toute la journée… Ce premier tome était donc une vraie réussite, en particulier grâce à son ambiance légère et pleine d’humour, il me tarde de découvrir la suite et de voir sir Arakawa arrive à nous passionner avec le reste de son histoire !

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  • soul-eater-21-kurokawa

    Résumé :

    Alors que les élèves de Shibusen chassent le grande Célestacé, ils se rendent compte que la densité de démence est bien plus importante en altitude… En parallèle, Maka continue ses recherches pour retrouver Crona (qu’elle a pour ordre de tuer, malgré ses réticences…) et c’est là qu’elle fait une grande découverte… Au lieu de Crona, c’est le grand dévoreur dont elle ressent la présence, sur la lune ! L’école de Shibusen et le Dieu de la mort envoient leurs meilleurs Death Scythe et Meisters pour le trouver et le détruire… Franken Stein et le père de Maka font partie de l’armée, mais également Kid qui se chargera de combattre les hommes de main du grand dévoreur pour s’assurer un chemin vers la lune. De son côté, Maka trouve finalement où Crona se cache… 

     

    Avis :

    Ce numéro de Soul eater a un rôle pivotant dans la trame de l’histoire. La scène d’introduction qui voit les élèves voler au milieu des nuages est magnifique, et l’arrivée de l’énorme Célestacé est superbe (la bête ressemble d’ailleurs beaucoup à un des monstres de « Satan 666 » pour les fans du genre !). La tentative de Maka de retrouver Crona qu’elle considère comme un être cher est très touchante, Maka se retrouve ensuite dans un dilemme horrible : peut-elle sauver son amie ou doit elle obéir aux ordres de Shibusen et la tuer ? La course de l’astro zeppelin vers la lune donne lieu à des combats magistraux dans les cieux et donne un avant goût à nos amis de ce qui les attend sur le Lune… Le grand dévoreur (dont l’illustration est géniale : on dirait qu’une partie de son corps est en flammes !) envoie ses hommes de main pour combattre. Franken semble se diriger vers son ennemi comme s’il savait qu’il allait mener son dernier combat, ce qui n’augure rien de bon pour ce personnage (déjà au bord de la folie). Enfin, j’ai surtout adoré ce tome car c’est Kid (sûrement mon perso préféré !) qui mène la barque dans les conflits aériens en cherchant à dépasser le niveau de Black Star. Vite, la suite !

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  • Saint Seiya The lost canvas chronicles - Tome 1 - Masami Kurumada & Shiori Teshirogi

    Résumé :

    Albafica, le chevalier d’or des Poissons est un des plus mystérieux chevaliers des douze maisons du sanctuaire. Condamné à la solitude à cause de son sang empoisonné, Albafica vit dans un jardin de roses toxiques… Envoyé par le grand Pop pour une mission contre les spectres, le chevalier des poissons va sauver la vie du jeune Pefko, habitant d’une île où un médecin serait capable de soigner de tous les maux. Mais une étoile démoniaque brille au-dessus de l’île, conduisant le grand Pop à y envoyer Albafica pour y mener l’enquête. Le chevalier d’Or rencontrera le médecin, véritable sosie de son défunt maître. Ce sera l’occasion pour lui de se remémorer le passé qui l’a conduit à son sort funeste. Il découvrira également la vérité qui se cache derrière les « miracles de la médecine ».

     

    Avis :

    Quelle idée géniale de créer une nouvelle saga sur les Chevaliers d’or du mythe d’Hadès ! Rien de mieux pour nous consoler de la fin de l’histoire originelle du « Lost canvas »… Dans ce premier tome, nous suivons les aventures d’un chevalier souvent dépeint comme froid et sans cœur : celui des poissons. A travers des flashbacks très bien menés, la mangaka le rend extrêmement humain et touchant. La relation qui l’unissait avec son maître est très belle, et cette amitié est contée à la perfection. Comme toujours, les dessins sont superbes, et Teshirogi n’a rien perdu depuis sa saga maîtresse ! L’initiation d’Albafica donne une nouvelle image du chevalier des poissons : on n’avait jusque là pas vu où il vivait réellement, et dans quel contexte il était devenu chevalier. Enfin, c’est également l’occasion de nous faire découvrir un nouveau spectre, plus proche de la nature d’ailleurs… dont l’armure est magnifique ! Bien sûr, on ne peut s’empêcher de conclure sur une notre douce-amer, puisque l’on connaît le destin final des chevaliers d’or durant la guerre sainte contre Hadès… Mais ce manga nous aura offert une profondeur à un personnage dont le sort est finalement bien triste…

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  • D. Gray-man

    Résumé :

    Le comte Millénaire est une créature maléfique dont le but est de créer des Akumas. Ces monstres, ou armes vivantes, sont issues de l'âme d'un humain et du corps d'un de ses proches. Pour les combattre, les exorcistes font appel à l'Innocence : une puissance supérieure qui leur confert des pouvoirs hors du commun. Dans ce conflit qui met en jeu le sort de l'Humanité, les Noés se dressent également contre les exorcistes. Ces semi-humains dôtés également de grands pouvoirs ne feront que rendre la tâche des exorcistes plus ardues. Allen Walker est un de ces exorcistes. Il possède une Innocence qui fait partie intégrante de son corps et qui lui permet entre autres de repérer les Akumas. Il se battra avec courage pour ses amis et pour l'espoir...

     

    Avis : 

    D. Gray-man est un shonen extrêmement original à l'ambiance macabre. Les premiers tomes sont conçus pour nous présenter les différents exorcistes. Allen est un garçon particulièrement attentionné qui vit plutôt bien sa condition d'exorciste. Certains comparent ce manga à Fullmetal alchemist, mais seul le statut des héros est similaire. Les pertes sont nombreuses et donnent à l'histoire un côté parfois glauque, comme le dessin d'ailleurs. Les batailles et les "effets spéciaux" sont très bien réussis, autant que les gros plans et passages plus calmes. Tout dans ce shonen diffère des autres, et cela offre un renouveau plaisant. Parfois, certains combats trainent en longueur, mais cela est compensé par une mythologie riche et bien trouvée. On a affaire à un très bon manga qui sort véritablement du lot par son originalité. A découvrir...


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  • Rinne

    Résumé :

    Rinne est un jeune homme aux cheveux rouge particulièrement pingre. Mais il n’est pas complètement humain : il est également à moitié shinigami. Il a donc pour rôle de conduire les fantômes et autres apparitions à la roue de la réincarnation. Il doit mettre fin aux malédictions et gérer la majorité des phénomènes paranormaux. Rokumon est son chat noir, il est lié à lui par un contrat et à de nombreux pouvoirs tel que celui de se métamorphoser. Sakura est quant à elle une jeune lycéenne qui depuis toujours à la capacité de voir les fantômes. Elle s’en accommode tant bien que mal jusqu’au jour où elle rencontre Rinne. Dès lors, elle l’aidera dans sa tâche. Malgré de nombreux différents, les deux amis partageront bientôt beaucoup et leur route sera pavée de jeunes démons et de créatures étranges…

     

    Avis:

    Nous devons à cette mangaka très célèbre les succès que sont « Ranma ½ », « Juliette je t’aime », ou plus récemment : « Inu-Yasha ». En inconditionnel de Ranma ½, je ne pouvais pas passer à côté de Rinne ! Et même s’il n’égale pas mon préféré, ce shonen reste un manga très agréable. On y retrouve les ingrédients qui ont fait le succès d’Inu-Yasha : deux personnages principaux aux sentiments ambiguës et une intrigue très inhabituelle. Ici, Rinne s’occupe des nombreux fantômes qui pullulent dans le monde. Il rencontre des êtres très différents et toujours selon des histoires cocasses. Même si l’humour est léger, le texte est agréable et la trame très accrocheuse. Les dessins sont parfaits, même si l’on regrette parfois l’absence de d’avantages de décors. Les expressions des personnages sont bien maîtrisées. Le nombre réduit de protagonistes récurrents est regrettable (peut-être était-ce les personnages secondaires foisonnants de Ranma ½ qui en faisait un manga si exquis ?), mais avec les tomes, cela changera peut-être ! En attendant, on passe un très bon moment avec ce manga dont l’originalité fait la force.


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  • Saint Seiya Next dimension - Le mythe d'Hadès - Masami Kurumada

    Résumé :

    L’histoire reprend où elle s’est arrêtée à la fin de la trame originelle : Seiya et Athéna sont parvenus à détruire Hadès. Mais à un prix élevé : l’épée d’Hadès s’est enfoncée dans le torse de Seiya, le plongeant dans un coma profond, qui pourrait se révéler mortel. Pour le sauver, Athéna va devoir détruire l’épée d’Hadès : elle traversera les années pour se retrouver près de deux siècles plus tôt, alors que la précédente guerre sainte fait rage. A cette époque, deux chevaliers d’or Doko et Shion, font la rencontre de Tenma, le chevalier contemporain de Pégase, et de son meilleur ami Alone, condamné à devenir l’hôte d’Hadès. Alors qu’Athéna est redevenue un nourrisson dans son voyage temporel, les chevaliers du zodiaque se lancent à sa recherche…

     

    Avis :

    Vingt ans après, la suite des chevaliers du zodiaque connaît toujours un succès retentissant. Alors que pouvons nous dire de cette nouvelle saga ? Alors que Saint Seiya G a fait un flop magnifique, The lost canvas s’est distingué par son dessin parfait et son scénario bien travaillé. On soupçonne Kurumada de surfer sur ce succès pour sortir sa propre suite. C’est d’ailleurs un problème en terme de logique puisqu’il revisite la même guerre sous une vue parfaitement différente : les personnages ne sont pas tous les mêmes (bien qu’il en ait conservé certains) et la trame assez incongrue (Athéna de la guerre sainte précédente est en fait celle de notre époque revenue en arrière ?). Alors qu’il aurait pu poursuivre sur sa lancée, il réécrit un manga déjà conté, ce qui n’est pas très glorieux… Son dessin, quant à lui, n’a malheureusement pas évolué en 20 ans : Kurumada est incapable de dessiner qui que ce soit de profil et conserve ses mêmes faciès figés (des personnages toujours la bouche ouverte et les yeux fermés). Les mangas sont un peu plus courts que la normale (mais là encore, c’était déjà le cas dans sa version originale). Seuls points positifs et non des moindres : l’intégralité du manga est en couleur. Les armures ont donc un rendu magnifique, et même si parfois l’auteur abuse de l’usage des couleurs, c’est véritablement un plus qui rapproche le manga d’une magnifique bande dessinée (la question de savoir si ça échappe à la nature du manga n’est pas débattue ici). Cela explique également le prix plus élevé de chaque tome. Enfin, la raison qui pousse malgré tout le lecteur a suivre les aventures des chevaliers du zodiaque est que nous sommes tous nostalgiques du bon vieux temps !


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  • Beet the Vandel buster

    Résumé :

    Beet est un jeune garçon rêvant de devenir un Buster : ces mercenaires entraînés pour tuer les monstres et les Vandels. Ces dernières créatures se sont soulevées pour faire naître la crainte et la terreur chez les humains : c'est le siècle des temps obscurs. Les Zenon warriors sont des Vandel busters, et le groupe de mercenaires va sauver la vie au garçonnet en sacrifiant la leur. Plusieurs années plus tard, Beet a franchi les niveaux pour devenir un grand Buster, se servant des saïgas de ses amis disparus - leurs armes invoqués - et  avec l'aide de Poala, la fille des parents adoptifs de Beet, le jeune homme va devenir un Vandels buster de renom.

     

    Avis :

    Nous devons Beet the Vandel buster aux créateurs de Fly (Dragon quest - La quête de Dai) et effectivement ce shonen est dans le même esprit. On a affaire à un jeu de plate-forme traduit en manga : les chasseurs gagnent des niveaux (levels) et des primes à chaque monstre ou Vandel abattu. La camaraderie est bien sûr en premier plan, ainsi que le respect, l'amitié, le courage etc... Alors qu'est-ce qui fait de cette série un si bon manga alors que le genre est pour le moins connu ? Le dessin, en tout premier, est irréprochable : clair et précis. L'humour est souvent au rendez-vous et l'humeur est toujours bon enfant ! Le tout donne un manga très réussi dont nous ne verrons malheureusement probablement jamais la fin à cause de la grave maladie qui touche le mangaka... Il y a donc douze tomes à découvrir sans tarder !


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  • Darren Shan

    Résumé :

    Darren Shan est un garçon normal : il a des parents et une petites soeur, des copains avec lesquels il joue au foot. A part sa fascination pour les araignées, rien ne le distinguerait particulièrement d'un autreadolescent. Jusqu'au jour où le Cirque de l'étrange arrive dans sa ville. Lui et son ami Steve, qui lui est obsédé par les vampires, décident d'y aller. Alors que Darren est fasciné par Mlle Octa, une énormé araignée domptée, Steve est certain que le dresseur de l'animal, M. Creepsley, est en réalité un vampire. Les circonstances font que pour sauver son ami, Darren est transformé en semi-vampire et devient l'assistant de M. Creepsley. Le cirque de l'étrange va le conduire parmi les créatures les plus bizarres de la création pour suivre le destin qui est le sien...

     

    Avis :

    Tiré des romans du même nom, ce shonen de 12 tomes est passionnant et ne laisse jamais le temps au lecteur de s'ennuyer (ou à son personnage principal, d'ailleurs) ! Avec au dessin un mangaka de talent, les personnages, les décors donnent un aspect superbe au manga. L'histoire est géniale et se renouvelle en permanence : Darren suit le cirque, puis les vampires avant d'être propulsé dans des aventures toujours nouvelles et originales. Les personnages sont attachants et leurs tribulations se lisent avec plaisir ! L'éditeur a fait un bel effort avec des couvertures qui donnent envie. Darren Shan est un shonen à lire et relire !


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  • livre-la-quete-de-dai-tome-6-1262-6

    Résumé :

    Daï vit sur un île peuplée de gentils monstres. Les créatures y sont libres et non agressives depuis que le roi du mal est tombé sous l'épée d'un grand héro. Mais l'empereur du mal fait bientôt ressuciter le roi du mal dont le retour fait naître l'agressivité chez les monstres qui se rebellent contre les humains. Daï s'entraîne alors avec Avan, un grand maître qui révèle un fort potentiel chez le jeune garçon, malgré des lacunes évidentes en magie. Bientôt, le symbole du dragon se révèle sur le front de Daï, et Avan se sacrifie pour sauver le garçon d'une attaque. Daï se trouvera alors des alliés dans son combat contre l'empereur du mal et tous ses suppos.

     

    Avis :

    Publié à l'origine chez "J'ai lu" sous le nom de Fly, le shonen de 37 volumes a été revu dans les détails. Le graphique est bien plus clair et méticuleux. L'histoire est la même bien entendu, même si certains noms ont été changés et les traductions améliorées. Inspiré des jeux vidéos, le manga suit une succession d'étape avec à chaque fois un nouveau méchant, mais arrive parfois à étonner et toujours à divertir avec des personnages attachants et humains !
     


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  • 5
     
    Résumé :

    Judaï, Sho et Asuka sont de jeunes duellistes. Ils ont, comme beaucoup, rejoint une école de duellistes qui visent à les entraîner afin d'engager des tournois internationnaux. Dans l'école, les adolescents sont divisés en trois groupes : Osiris rouges, Obélisque bleu et Ra jaune. De nouvelles cartes ont émergées depuis les grands Yugi et Kaïba, les e-heros. Certaines des cartes des jeunes renferment même une âme, aidant leur maître dans leurs combats... Mais dans le même temps en Egypte, un archéologue libère un démon prisonnier depuis 3000 ans qui va gagner à son tour l'école de duellistes...
     

    Avis :

    Yu-Gi-Oh! GX est un shonen en 9 tomes. Probablement le meilleur spin-off du manga initial, il poursuit dans les mêmes tons que l'original, en axant d'avantage l'histoire vers les relations amicales et les combats au sein de l'école. Les dessins sont très bons et les monstres particulièrement réussis, surtout ceux de la série des Planètes. La légèreté de ce manga le rend très agréable à la lecture et on déplore que l'histoire prenne fin aussi tôt...


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  • hikaru-no-go-tome-17

     

    Résumé :

    Le jeune Hikaru découvre un jour dans le grenier de son grand-père un ancien goban (jeu de go). L'objet semble taché de sang et se révèle hanté par Saï, un ancien professeur de go de l'ère Heian, qui va se révéler à Hikaru et ne plus le quitter. Guidé par sa passion, le vieux professeur va pousser le jeune garçon à découvrir les plaisirs du jeu de go. En suivant les directives du fantôme, Hikaru gagne bientôt contre un jeune champion : Akira, qui verra dès lors un parfait opposant en Hikaru. Mais très bientôt, la passion de Saï devient celle d'Hikaru, et le jeune garçon ne pourra plus se passer du jeu...

     

    Avis :

    Hikaru no go pourrait être l'ancêtre de "Yu-gi-oh!", non pas parce que ça rime, mais bien parce que les sujets se ressemlent beaucoup. Tou d'abord, nous avons affaire à la seconde personnalité dans le même corps : ici, Saï. Et évidemment, la présence du jeu qui revet une importance maîtresse dans le manga. Ce shonen de 23 tomes peut paraître ennuyeux de prime à bord, c'était en tout cas ce que je craignais lorsque ma femme me l'a ramené de la bibliothèque... Mais il n'en est rien ! Ce manga est riche, l'amitié entre Hikaru et Saï est merveilleuse, et parfois très triste... La compétition entre les jeunes nous prend au corps et leur quête du coup divin devient presque la nôtre ! Hikaru no go devrait être un classique tant il peut apporter au lecteur... 


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  • soul-eater_3

     

    Résumé :

    Maka, Soul, Kid, Black Star et leurs amis sont des élèves de shibusen, une école de jeunes meisters. Ils forment des duos où l'un guide le second qui a le pouvoir de se changer en arme démoniaque. Pour devenir une death scythe, l'arme du meister doit absorber 99 âmes corrompues et une âme de sorcière - la plus difficile à obtenir... Sous le regard du maître Shinigami - le Dieu de la mort - les jeunes meisters devront faire leur possible pour empêcher les forces démoniaques de conquérir le monde à travers des combats de grandes envergures.

     

    Avis :

    Soul eater est un shonen innovant qui voit des jeunes combattrent et se transformer en grandissant. Les conflits intérieurs sont nombreux conférant parfois au manga une atmosphère assez lugubre. L'amitié est au premier plan avec des relations parfois compliquées et très souvent plausibles. L'acceptation du soi y est également abordé avec passion. Les combats y sont magnifiques et les dessins très rafraichissants. Un très bon manga qui ne tourne pas en rond et nous offre une nouvelle vision originale. 


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  • 9782811603953_cg

     

     

    Résumé :

    Shiki est un jeune homme qui vit dans un monde où monstres et aventuriers se côtoient. Il va se lancer dans une quête pour devenir le plus grand "monster hunter" - chasseur de monstres - de tous les temps. Pour cela, il va se composer une équipe et trouver les meilleurs armes. Il remplira des quêtes afin de trouver les monstres légendaires qui peuplent la planète.

     

    Avis :

    On ne présente plus les jeux vidéos dérivés de "Monster hunter" qui pullulent et existent désormais sur toutes les consoles. Hiro Mashima jouit également d'une grande renommée avec des sagas telles que "Rave" ou "Fairy Tail". Monster hunter orage est un shonen qui ne compte cependant que 4 tomes. Les dessins sont superbes, mais le mangaka souffre clairement d'un manque d'idées. Il a beaucoup de mal à se réinventer et à changer de styles. On a donc affaire à du refait. Les combats, les amis, le courage etc... Et trop peu de temps pour que l'on apprécie véritablement les protagonistes. Un flop donc, malgré un fort potentiel. A lire pour passer un moment agréable sans prise de tête... 


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