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Résumé :
Ces êtres se relèvent… Encore… Et encore…
Avis par Jake :
Et voilà le dernier volume de ce seinen ! J’ai adoré ! Du début à la fin. Ce qui m’avait en premier marqué, ce n’est pas le thème très original (et déjà captivant) de l’intrigue… Mais bel est bien ce coup de crayon particulièrement novateur ! C’est incroyable, parce que je suis en règle générale fan des graphiques très complets, avec des décors appuyés. Ici, c’est très minimaliste, et pourtant c’est superbe ! J’adore ce genre, et je pense ne l’avoir jamais rencontré ailleurs. Côté scénario, c’était également passionnant dès le départ ! Concernant cette conclusion plus particulièrement, on a des réponses à toutes nos questions, ce qui est déjà appréciable… En revanche, le final n’est pas explosif comme on aurait pu l’espérer. C’est finalement la chute du dernier volume qui voyait l’affrontement prendre un aspect plus global. Mais on n’a pas à proprement parler ce duel final entre Seto et Kai auquel, pour ma part, je croyais vraiment…
Lien direct : Editions Glénat
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Résumé :
Nous voici revenus au temps où régnait Alfonso XI, le père de l’actuel roi Pedro et d’Enrique. Elio et son frère cadet Pablo participent aux sélections des prochains “habits royaux”, les gardes du corps du roi. Ces rudes combats éliminatoires entre les différents candidats vont révéler un profond mal-être qui divise la famille d’Elio…
Avis par Jake :
Cela ne fait que deux volumes que je suis ce shonen, et j’avoue que je lui trouve beaucoup de qualités. Mais ce qui est frustrant dans le fait de n’avoir lu que les deux derniers tomes, c’est que finalement, ma trame principale n’est en réalité qu’un flashback ! Et je n’ai donc aucune envie de me retrouver dans le « futur » ! J’ai très envie de savoir ce qui s’est produit après les événements créant la discorde entre les deux frères… Ou même en connaître davantage sur leur éducation ! Le fait est, donc, que mon intérêt est piqué. Cela signifie que le scénario est très bien mené. Quant aux dessins, ils sont magnifiques. Il y a un style très médiévale avec un coup de crayon très appuyé, mais beaucoup de détails… C’est vraiment très beau !
Lien direct : Editions Glénat
https://www.glenat.com/shonen/elio-le-fugitif-tome-04-9782344046593
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Résumé :
Ju-Kyeong souffre du regard des autres à cause de son visage disgracieux. Victime de harcèlement au collège, elle va profiter de son passage au lycée pour changer son apparence à l'aide de tutos en ligne. Devenue une experte en maquillage, elle rentre au lycée en étant considérée comme la plus jolie fille de l'école. Mais combien de temps pourra-t-elle garder le secret sur sa véritable apparence ?
Avis par Jake :
De prime abord, j’aurais jugé l’histoire sans intérêt. Une fille qui souffre du regard des autres et se transforme grâce au maquillage en quelqu’un d’autre, tout en tachant de ne pas mélanger ses deux vies pour préserver son identité… C’est du déjà vu, et surtout c’est très superficiel. Et effectivement, il n’y a pas grand-chose à creuser… Néanmoins, l’ouvrage n’est pas dénué de qualité. La façon dont l’histoire est contée est plutôt simple et plaisante. On se surprend à tourner les pages sans mal et avec facilité… presque en voulant savoir ce qui va se produire par la suite. Pas de grosses révélations ou de gros chocs, mais on suit la vie de cette jeune femme en se demandant comment elle compte la vivre…
Lien direct : Editions Delcourt
https://www.editions-delcourt.fr/kbooks/series/serie-true-beauty/album-true-beauty-t01
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Résumé :
Lee Young Joon est l'héritier d'une entreprise prestigieuse qu'il tient d'une main de fer. Il considère qu'il est l'incarnation de la perfection. Alors quand sa secrétaire, Kim Miso, lui annonce qu'elle veut démissionner pour trouver un petit ami, c'est la douche froide ! Qu'est-ce qui lui prend ? Pour la garder auprès de lui il est prêt à tout...
Avis par Jake :
Ce n’était pas vraiment mon genre au départ, mais je dois admettre que cette comédie romantique a su me conquérir bien facilement. On s’attache finalement très vite aux protagonistes, même au patron qui fait son possible pour devenir « sympathique » alors qu’il est normalement si dur et exigent. Davantage encore que Kim, c’est celui dont on se rapproche le plus ! Ce de le voir tenter de se dépasser, de renier sa nature de tête de nœud qui est plutôt marrant ! ^^ La trame est assez transparente évidemment, et à la manière d’un shojo, il n’y a pas beaucoup de suspense car on sait exactement comment vont se dérouler les choses. Néanmoins, c’est quelque chose de très réconfortant à lire, d’autant que les graphismes sont beaux, clairs et avec des couleurs plus sympa et apaisantes…
Lien direct : Editions
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Résumé :
Lorsque d'étranges portails sont apparus aux quatre coins du monde, l'humanité a dû trouver une parade pour ne pas finir massacrée par les griffes des monstres des monstres qui en sortent. Dans le même temps, certaines personnes ont développé des capacités permettant de les chasser. Ces combattants intrépides n'hésitent pas à foncer au coeur des donjons pour combattre les créatures qu'ils abritent.
Avis par Jake :
Cette saga est franchement passionnante ! On adore le personnage principal et c’est un plaisir de le voir gravir les échelons en termes de magie. On a envie de le voir dépasser tous les niveaux afin d’être capable de se débarrasser de toutes les créatures et de tous ses ennemis. Evidemment, c’est le chemin qui est enivrant, et il faut faire durer le plaisir. Aussi, c’est plutôt pas mal d’incorporer des protagonistes secondaires et de voir de petites trames se construire autour. Mais c’est quand il utilise ses pouvoirs et se dépasse que c’est le plus plaisant. Le format est franchement généreux, davantage encore qu’un manga. Et les dessins en couleurs rendent le support vraiment plaisant ! Bref, on est très vite accro et on veut rapidement la suite !
Lien direct : Editions Delcourt
https://www.editions-delcourt.fr/kbooks/series/serie-solo-leveling/album-solo-leveling-t03
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Résumé :
Cette préquelle de la série Arifureta - de zero à héros se passe des années avant l'arrivée dans ce monde de Hajime. Elle nous plonge dans l'histoire des premiers libérateurs qui ont voulu combattre les dieux. Oscar Orks est un synergiste au talent incommensurable qui dissimule ce talent afin de couler des jours tranquilles. Milady Raisen est la détentrice d'une ancienne magie divine et descendante d'une famille nommée « les bourreaux ». Ils décident de s'unir pour s'opposer aux divinités. Sans le savoir ils vont lier leur destin à celui d'Hajime et le feront devenir l'homme le plus fort du monde.
Avis par Jake :
J’avais trouvé beaucoup d’éléments extrêmement positifs au manga d’origine, en particulier à son premier volume qui, en plus de mettre les bases en place, avait un contenu plutôt explosif, avec un personnage principal qui marquait les esprits en devenant très rapidement très puissant. Je trouve qu’ici, la sauce ne prend pas ! Le manga en lui-même n’a aucun intérêt si on n’a pas lu la saga initiale, et même en partant de ce postulat, je trouve que cette histoire n’a pas grand-chose à apporter en plus. Les protagonistes ne sont pas foncièrement attachants. La trame en elle-même est loin d’être innovante ou passionnante. Les dessins sont bons et modernes, mais ils n’amènent rien de nouveau. Bref, ça se lit mais ça s’oublie tout aussi vite…
Lien direct : Editions Delcourt / Tonkam
https://www.editions-delcourt.fr/mangas/series/serie-arifureta/album-arifureta-origins-t01
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Résumé :
Nombreux sont ceux qui aspirent aujourd'hui à devenir mangaka ou éditeur manga. Mais saviez-vous que ce n'était pas la seule manière de travailler dans le manga ? C'est ce que va découvrir Kokoro, embauchée dans une maison d'édition pour avoir fait une prise de judo à son président. Affectée à l'éditorial manga, elle va peu à peu faire connaissance avec l'univers qui l'entoure… À la différence de Bakuman qui présente un huis-clos entre un auteur et un éditeur souhaitant créer le prochain hit shonen, Réimp' ! offre une description plus réaliste et seinen, avec une multitude de personnes : commerciaux, libraires, graphistes, assistants… tous là pour porter l'œuvre jusqu'à son lecteur. Les mangaka ne sont évidemment pas en reste, avec une galerie de personnages qui nous semblent étrangement familiers : le grand auteur légendaire passé de mode, l'ex-hitmaker qui n'arrive plus à vivre de son art, la jeune autrice hésitante, le jeune prodige torturé… Avec un style brut mais sensible, l'autrice décrit avec fougue la passion qui habite tous ses personnages.
Avis par Jake :
Le thème est super intéressant. Tous les gens qui aiment de près ou de loin le manga seront ravis de découvrir une œuvre qui l’utilise comme sujet principal. En revanche, je ne suis pas certain d’être complètement fan de la façon dont c’est fait. Le style est nettement différent de Hitman, qui traite également des éditeurs de manga. Ici, clairement le protagoniste principal est bourré d’enthousiasme et c’est assez agréable. On va jusqu’au libraire, ce qui est vachement chouette. Là où j’ai un peu plus de mal, c’est que l’histoire semble beaucoup plus brouillon. On ne sait pas franchement à quoi on s’intéresse exactement. Est-ce au personnage ? Ou au processus d’édition ? Cela part un peu dans tous les sens. Et c’est la même chose pour le graphisme. Il y a beaucoup (trop ?) d’informations. Ce n’est pas très précis. On sent beaucoup de potentiel dans cette œuvre, mais à l’état brut…
Lien direct : Editions Glénat
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Résumé :
40 ans ! C'est l'âge canonique du groupe rock français le plus apprécié des fans, de toutes générations. Du premier tube du groupe des frères Sirkis, "L'Aventurier", en 1981, en passant par l'album ultra récompensé "3", et la suite plus rock'n'roll du groupe culte, Frédérick Rapilly observe à la loupe un groupe incontournable du paysage rock français… Groupe qu'il connaît bien en tant que fan et pour les avoir interviewés pour Télé 7 jours à de nombreuses reprises durant leur longue carrière. Le groupe, mené aujourd'hui par Nicola Sirkis connaît encore et toujours un succès foudroyant, avec entre autres la reprise de 3eme sexe avec Christine And The Queen, et une tournée des stades en France où les billets se sont arrachés en un temps record. Indochine est sans conteste le dernier groupe "monstre" français. Un groupe qui a su, à merveille, traverser les décades, toujours se réinventer, innover, prendre des risques. Le public (son public) lui en a toujours été reconnaissant, de génération en génération. Frédérick Rapilly, journaliste rock dans l'âme, raconte 40 années de dissidence, d'indépendance, à travers une discographie riche, parcourue par des influences éclectiques, des prises de positions radicales, mais sans jamais s'éloigner d'une poétique rock.
Avis par Jake :
J’écoute Indochine depuis mon plus jeune âge. Je dansais déjà dessus quand ma maman les mettait en fond pour faire le ménage. J’étais mort de rire au collège que mes amies les découvre pour la première fois avec J’ai demandé à la lune. J’ai suivi Alice et June pendant la fac… Bref, autant dire que c’est un groupe que j’aime énormément pour son style relativement éclectique et pour sa façon de ne jamais oublier sa fan base à travers les années. Cet ouvrage est magistral. Il est superbe, autant par sa conception que par son contenu. Je le trouve extrêmement complet. Il est riche en photos. Il reprend tout depuis les débuts. Il suit l’évolution du groupe. Ca donne un sacré coup de vieux (heureusement, plus pour eux que pour moi ^^), et me plonge dans une nostalgie bien plaisante… Riche, cet album devient culte pour un groupe qui l’est tout autant…
Lien direct : Editions Rock & folk editions
https://www.gillesparis.com/indochine_dizzidence_rock_n_roll
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Résumé :
Chico l’humaine et son petit frère Pino le robot sont parvenus a une colonie encore habitée, mais celle-ci, baptisée “Rainforest”, est sujette a des pluies constantes qui menacent d’engloutir toute habitation humaine. Si face a cette fin annoncée, les adultes se laissent aller à la résignation, une jeune fille malade tente de vivre de toutes ses forces.
Un récit d’aventure SF crépusculaire.Avis par Jake :
C’est un manga un peu déroutant. Déjà dans son genre… On se dit qu’il a du mal à trouver sa place… Le rythme extrêmement lent, qui s’intéresse principalement au lien entre le frère et sa sœur, a tendance à pousser vers le seinen. En effet, c’est plutôt un public averti qui pourrait s’intéresser à quelque chose plutôt dénué de combats, de dynamisme immédiat. Et pourtant, paradoxalement, les trames « passagères » sont très simplistes. On les dirait conçues pour des enfants ! Dès lors, c’est très difficile d’être captivé ou complètement pris par l’histoire. C’est l’intrigue principale qui intéresse l’adulte, et la découverte de ce monde de dystopie… Les dessins donnent la même impression : quand les décors sont exploités, c’est absolument superbe… Alors qu’en se concentrant sur les visages, ce n’est pas folichon…
Lien direct : Editions Glénat
https://www.glenat.com/seinen/terrarium-tome-02-9782344046203
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Résumé :
Martin, Edwige, Erwan et Fred savaient que ça finirait par arriver un jour… et c’est le plus gentil d’entre eux qui s’est fait tabasser, sans que l’on sache par qui ni pourquoi. Cette injustice les a tous blessés et leur colère débordante les a poussés à agir, à leur manière… forcément particulière. Cati Baur scrute le petit monde de Martin Page avec son œil de lynx, son humour et la tendresse de son dessin. Un album à conseiller à ceux qui trouvent que la vie est nulle, que grandir ça craint, mais qui croient aux super pouvoirs de la solidarité et de l'amitié !
Avis par Jake :
J’ai adoré cette BD ! Elle m’a replongé en enfance. Ce groupe d’amis soudés, malgré les difficultés de la vie du quotidien. Malgré ce qu’ils vivent à l’école… Ils s’épanouissent ensemble, en ayant créé un microcosme dans lequel ils peuvent être qui ils sont réellement. Je trouve que c’est fait avec beaucoup d’émotion et de sensibilité. C’est très touchant. C’est une histoire un peu intemporelle, je crois que c’est pour cela que cet album peut s’adresser à tout le monde. Ils retrouveront forcément un peu d’eux-mêmes en chacun des protagonistes principaux. Les dessins sont simples et fonctionnent très bien. La couverture annonce d’emblée la couleur : il y a une certaine chaleur dans cette histoire et chez ces personnages. Les couleurs sont bonnes, et il y a un équilibre entre la quantité de texte et les graphismes.
Lien direct : Editions Rue de Sèvres
http://www.editions-ruedesevres.fr/le-club-des-inadapt%C3%A9es
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