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Le goût des souvenirs - Erica Bauermeister

20 Décembre 2013 , Rédigé par Jake Vecchiet Publié dans #avis, #charleston, #critique, #Erica Bauermeister, #Le goût des souvenirs, #nouveauté, #résumé, #roman

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Caractéristiques :

Genre : Roman

Format poche : 270 pages / 17,00 €

 

Résumé :

Al est comptable et ne voit la vie que par les chiffres, ce qui a le don d’énerver sa femme Louise, et leur mariage n’est qu’une mascarade… Mais il trouve une confidente en la personne de Chloé, une jeune femme qui travaille pour devenir chef dans le restaurant de Lilian, une femme très positive qui a commencé une relation avec Tom, un veuf qui essaie de surmonter la mort de son épouse… Finnegan est un jeune homme dont la taille géante est proportionnelle à sa discrétion. Malgré sa maladresse, il fera tout pour conquérir Chloé. Cette dernière vit avec Isabelle, une vieille dame atteinte d’Alzheimer dont la fille aînée Abby se fait un sang d’encre, alors qu’elle est habituée à tout contrôler dans sa vie…

 

Avis par Jake :

Ce roman nous entraîne avec chaque chapitre dans les histoires personnelles de chacun des personnages, ce qui constitue au final une grande fresque relationnelle autour du petit restaurant délicieux de Lilian. Certaines histoires sont véritablement touchantes, comme celle de Finnegan, ce garçon fragile malgré sa constitution de géant ; ou celle de Tom qui essaie de refaire sa vie après la perte tragique de l’amour de sa vie. Abby également m’a touché, probablement parce que l’on se ressemble un peu : elle paraît dure, mais le fait d’essayer de tout contrôler n’est en fait qu’un moyen de se protéger… L’écriture et le style sont pour moi irréprochables. Malgré ces qualités indubitables, ce roman ne m’a pas plu. Ce n’est qu’une question de goût, mais plutôt que porteur d’espoir, je l’ai trouvé extrêmement démoralisant. Déconseillé par temps de pluie ou lors de déprimes ! La plupart des trames sont assez tragiques ou pathétiques (notamment le couple d’Al). Je regrette également que le restaurant et les plats de Lilian ne soient pas davantage mis en avant, car la gourmandise aurait pu relever un peu le moral de tout le monde !

Lien direct : Editions Charleston

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Sixtine - Caroline Vermalle

19 Décembre 2013 , Rédigé par Jake Vecchiet Publié dans #avis, #black moon, #Caroline Vermalle, #critique, #hachette, #nouveauté, #résumé, #roman, #Sixtine

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Caractéristiques :

Genre : Policier

Grand format : 350 pages / 18,00 €

 

Résumé :

Jessica Desroches s’apprête à épouser Seth Pryce. Elle est amoureuse, et lui est complètement tombé sous son charme. Il est riche, célèbre et beau. Jessica a tout pour être heureuse… Sauf que dès que le mariage est prononcé, les choses se gâtent… Bientôt, on retrouve le jeune couple dans une pièce secrète d’une pyramide en Egypte. Lui est mort, avec une étrange croix tatouée sur le ventre. Elle, a passé des jours sans nourriture, sans eau et sans lumière. Elle est détruite et n’est plus Jessica. Elle est devenue Sixtine, une femme forte prête à tout pour connaître les responsables de sa tragédie. Mais ce ne sera pas chose aisée, car un complot semble bien être à l’origine de cette horreur, et certains Egyptiens sont bien déterminés à protéger leurs secrets…

 

Avis par Jake :

Tout d’abord, je dois avouer que je ne m’attendais pas à un roman d’aventures / policier, mais plutôt à un livre fantastique, étant donnés la couverture et le résumé… Heureusement, je n’ai pas été déçu pour autant. L’écriture est excellente, et lorsque le lecteur est lancé, il se prend au jeu et continue à lire jusqu’à la fin. Le personnage de Jessica / Sixtine est assez attachant (puis mystérieux) et c’est également le cas des personnages secondaires… On regrette simplement qu’il soit un peu nombreux, ce qui par moment peut perdre légèrement le lecteur. La trame est complexe, mais attrayante : le mystère est établi dès le début et pousse le lecteur à tenter de deviner avec les personnages qui est responsable de l’affaire. Ce roman s’inscrit dans une saga, et c’est un peu dommage, car arrivé à la fin, on est loin d’avoir toutes les réponses qui nous intéressent. C’est un point mitigé : oui, on veut ouvrir la suite rapidement, mais on aurait aimé également que le livre puisse se suffire à lui-même un minimum. Enfin, j’avais lu il y a peu de temps un roman de Christian Jacq, et le « retour en Egypte » était excellent et comblera tous les fans du genre !

Lien direct : Editions Hachette

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Tokyo ghoul - Tome 01 - Sui Ishida

17 Décembre 2013 , Rédigé par Jake Vecchiet Publié dans #avis, #critique, #goule, #manga, #nouveauté, #résumé, #shonen, #Sui Ishida, #Tokyo ghoul, #Tome 1

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Résumé :

Ken Kaneki est un étudiant réservé qui n’aime pas le sport, et passe son temps à dévorer des livres et à plaisanter avec son bon ami Hide... Mais alors qu’un soir, il sort avec la fille de ses rêves, cette dernière s’en prend à lui et révèle sa véritable identité. Elle est une goule ! Une créature à la force démesurée qui prend l’apparence d’un humain pour mieux les piéger et les dévorer... Par un concours de circonstances, la goule meurt et Ken se retrouve aux Urgences... Mais pour le maintenir en vie, les chirurgiens n’ont d’autre choix que d’utiliser certains organes de la créature pour remplacer ceux défaillants du garçon. Malgré lui, Ken devient alors un monstre entre l’humain et la goule. Il découvre la faim dévorante qui le pousse progressivement à désirer de la viande humaine, et la révulsion qui découle de l’absorption d’un quelconque autre aliment. Ken n’appartient plus à aucun monde, il appartient aux deux... Et il doit y trouver sa place.

 

Avis par Jake :

Un super manga, qui a été classé dans les shonens (j’aurais plutôt dit seinen, étant données les scènes parfois gores où les goules se nourrissent d’humains). Le postulat de départ est très bon, il fait penser à une version originale de Resident evil, où les zombies seraient cachés dans la population plutôt qu’en évidence... La dualité nouvelle du personnage principal est une mine d’or pour la trame. Il a un pied dans chaque monde, et fait de son mieux pour rester le plus possible humain, bien qu’il réalise progressivement qu’il ne pourra plus renier sa part goule. Les autres personnages sont bons, il me tarde d’en apprendre plus notamment sur Toka, la goule qui a sauvé Ken par deux fois... Hide est le bon vieux « best friend » marrant qui en a plus qu’il n’y parait dans la caboche. Côté dessin, c’est assez sombre mais j’aime beaucoup. Les décors sont délaissés au profit des expressions faciales. Les combats (rapides) sont un peu flous et pourraient gagner en netteté, mais le tout fonctionne plutôt bien. Dès le premier tome, manga adopté !

Lien direct : Editions Glénat

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Psycho killer - Anonyme

17 Décembre 2013 , Rédigé par Jake Vecchiet Publié dans #Anonyme, #avis, #critique, #humour, #nouveauté, #policier, #Psycho killer, #résumé, #thriller

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Caractéristiques :

Genre : Policier

Grand format : 358 pages / 20,00 €

 

Résumé :

L’histoire se déroule à Bay movie hell, petite ville perdue des Etats-Unis rebatisée ainsi par un ex producteur de porno hollywoodien : Silvio Mellencamp. C’est d’ailleurs une sorte de « parrain » de la ville, car il contrôle tout et n’hésite pas à faire éliminer ceux qui le dérangent. Quand un serial killer débarque, déguisé comme dans le film « Halloween » en jouant du couperet comme dans « Massacre à la tronçonneuse », toute la ville fait corps pour essayer de l’attraper. Parallèlement, le FBI envoie l’agent Jack Munson, spécialiste des opérations « fantômes » aux trousses du tueur. Il semblerait que celui-ci fasse partie d’une opération top secrète qui aurait dégénérée.

 

Avis par Lolo :

On est tout de suite dans le vif du sujet avec des têtes qui valsent (au sens propre) dès les premières pages. Un roman noir qui débute donc sur les chapeaux de roues. L’ambiance est très « rock’n’roll » et entre les références musicales et cinématographiques, on ne s’ennuie pas. Le lieu est horrible, ce n’est pas une ville où on a envie de s’arrêter ! Les gens sont corrompus, et on se demande parfois qui fait le plus peur du serial killer ou de ces habitants… Bien sûr, il faut prendre le roman au second degré ! Et là, c’est vraiment bourré d’humour… noir de préférence ! Pas mal de jeux de mots, comme le nom du bordel « le minou joyeux » où se déroule une bonne partie de l’action. La plupart des personnages principaux sont déjantés à souhait ! On passe allègrement de l’univers de Dirty Dancing à celui de Terminator, c’est génial ! On croit deviner l’intrigue, mais pas du tout, c’est bluffant et truffé de rebondissements. J’ajouterais même une mention spéciale pour le passage à l’asile psychiatrique qui, à lui seul, vaut la lecture ! Jubilatoire…

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Vertical - Tome 02 - Shinichi Ishizuka

16 Décembre 2013 , Rédigé par Jake Vecchiet Publié dans #avis, #glénat, #manga, #nouveauté, #résumé, #seinen, #Shinichi Ishizuka, #Tome 2, #Vertical

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Résumé :

Sanpo Shimazaki continue de porter secours aux gens qui se perdent dans la montagne… Le plus souvent, il est trop tard, mais Sanpo parvient à retrouver – avec un sourire énigmatique – les dépouilles des disparus, permettant aux familles de faire leur deuil. Que ce soit le retraité qui veut gravir la montagne, ou les deux étudiants membres du club d’alpinisme, ou encore du professeur dont les deux élèves se sont égarés… Sanpo traque avec la même hargne tous ceux que la montagne semble vouloir prendre, sans jamais lui en tenir rigueur pour autant. Kumi commence à s’intéresser d’elle-même à cette activité. C’est lorsque deux étudiants sont portés disparus et que leurs familles appellent tous les jours le commissariat qu’elle se lance. Les recherches officielles ont pris fin, pourtant, elle doit ramener la paix à ces familles… Même si la nouvelle se doit d’être mauvaise…

 

Avis par Jake :

Deuxième tome de cet étrange « Vertical », plus sombre que le premier, d’ailleurs. L’issue des aventures des malheureux est souvent désastreuse… Pourtant, le manga n’est pas vraiment triste, au même titre que son personnage principal. C’est assez touchant. Les rares retrouvailles sont vraiment belles, car la plupart des gens perdent espoir devant une telle immensité. J’ai apprécié voir davantage Kumi dans les petites trames, et j’ai simplement adoré l’histoire de Sanpo en flash-back lorsqu’il s’est attaqué au Half Dome. Je me dis qu’à force de flash-back, on parviendra à se faire une image plus claire de Sanpo et de sa bizarre positive-attitude qui dépasse la mort… Les dessins sont toujours très bons, tellement que j’ai parfois l’impression d’avoir froid ! L’immersion est totale et la lecture est rapide, à la fois parce que le texte n’écrase pas les dessins, mais également parce que l’on souhaite toujours connaître la fin de la petite histoire… J’espère simplement qu’un plus grand arc narratif s’apprête à démarrer !

Lien direct : Editions Glénat

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L'analphabète qui savait compter - Jonas Jonasson

15 Décembre 2013 , Rédigé par Jake Vecchiet Publié dans #avis, #critique, #Jonas Jonasson, #L?analphabète qui savait compter, #livre, #nouveauté, #résumé

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Caractéristiques :

Genre : Roman

Grand format : 475 pages / 22,00 €

 

Résumé :

Née à Soweto pendant l’apartheid, Nombeko Mayeki commence à travailler à 5 ans, est orpheline à 10 ans et se fait finalement renversée par une voiture à 15 ans. Tout semble vraiment mal parti pour elle. Cependant, le fait qu’elle soit une analphabète qui sait compter va être un atout décisif dans sa vie. Un incroyable périple va alors la propulser d’Afrique du Sud en Suède où elle va rencontrer plusieurs personnes pas banales. Elle va aussi côtoyer des personnages politiques très influents mais aussi 2 agents du Mossad qui n’auront de cesse de la retrouver.


Avis par Lolo :

Jonas Jonasson signe ici son deuxième roman. Il faut dire qu’avec « Le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire » il avait je trouve mis la barre très haut. Bien sûr il s’agit d’une histoire loufoque et rocambolesque aussi mais qui fait un bien fou quand on la lit ! Cette Nombeko est extraordinaire. Elle comprend immédiatement la psychologie de ceux qui l’entourent et est assez « fine » pour leur laisser croire qu’ils ont les commandes alors qu’il n’en est rien. Elle sait aussi saisir les opportunités quand elles se présentent, et n’a pas la langue dans sa poche ! Je l’ai trouvée géniale ! Au début du livre il y a alternance de deux histoires et on se doute bien qu’elles vont se recouper. Le personnage de Célestine m’a vraiment horripilée et j’aurais bien vu une fin différente pour elle. J’ai également apprécié le côté historique du roman. Toutefois environ aux 2/3 du livre j’ai trouvé que l’auteur nous noyait un peu trop avec la politique. A travers cette histoire complètement déjantée avec des personnages qui le sont tout autant, Jonas Jonasson nous fait passer des messages fondamentaux sur le racisme, l’apartheid et tous ces « grands » qui nous gouvernent. Un régal !

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Woodstock - Tome 01 - Yukai Asada

10 Décembre 2013 , Rédigé par Jake Vecchiet Publié dans #avis, #critique, #glénat, #manga, #nouveauté, #résumé, #rock, #seinen, #Tome 1, #Woodstock, #Yukai Asada

Woodstock - Tome 01 - Yukai Asada

Résumé :

Gaku est un jeune livreur, c’est ainsi qu’il a rencontré Shiina, qui est patronne de bar et voit les groupes de rock défiler sur son lieu de travail… Mais Gaku est aussi secrètement derrière le groupe de rock « Charlie », qui fait un tabac sur internet en proposant gratuitement aux gens une musique alliant le rock traditionnel, àt une nouvelle vibe qui plait beaucoup… Le rêve de Gaku est de former un vrai groupe, et de recréer l’ambiance majestueuse de Woodstock, où les gens s’étaient retrouvés, tous guidés par la même passion, lors d’un concert qui défraya l’Histoire jusqu’à nos jours… Mais Gaku est extrêmement intimidé par Shiina et ses propres espoirs… Alors arrivera-t-il à dépasser cela pour réaliser ses rêves ?

 

Avis par Jake :

Encore un manga très original. C’est pour ma part la première fois que je lis un seinen consacré à la musique. Etant habitué à mes valeurs sûres, j’avais même peur que cela se révèle sans surprise et ne me plaise pas… Et pourtant, cela n’a pas du tout été le cas ! La première chose qui a titillé ma curiosité, a été les dessins. Ils me rappellent sans conteste les traits de « Psychometrer Eiji », un manga que j’affectionne tout particulièrement ! Même si le personnage principal m’énerve par moment par sa timidité maladive, il est rehaussé par sa gentillesse et des personnages secondaires très intéressants ! J’aime beaucoup Shiina, qui elle a au contraire un caractère très appuyée, et également Machida, dont j’espère en savoir plus dans les prochains tomes ! Le manga est riche en références sur les différents grands groupes de rock qui ont marqué l’histoire. Le plus incroyable est que l’auteur parvient à créer des surprises et du suspense ! Certaines fins de chapitre m’ont très agréablement surpris… Bref, encore une nouveauté dont je veux connaître la suite !

Lien direct : Editions Glénat

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Vertical - Tome 01 - Shinichi Ishizuka

9 Décembre 2013 , Rédigé par Jake Vecchiet Publié dans #avis, #critique, #glénat, #manga, #nouveauté, #résumé, #seinen, #Shinichi Ishizuka, #Tome 1, #Vertical

Vertical - Tome 01 - Shinichi Ishizuka

Résumé :

Sanpo n’est pas seulement un escaladeur chevronné, c’est également un fantastique secouriste bénévole qui aide la police locale lorsque personne d’autre que lui n’est capable de venir en aide aux alpinistes en danger… La montagne a beau être magnifique, cela n’en reste pas moins une force de la nature sans pareil… C’est ce qu’apprend Kumi, une jeune policière qui découvre ce milieu et le maître de celle-ci : Sanpo. Quelle que soit la raison qui a poussé les égarés dans la montagne, Sanpo les aborde avec la même bravoure et le même sourire sur son visage… Qu’a donc vécu Sanpo pour en arriver là, alors qu’il sait très bien qu’il ne peut pas sauver tout le monde ?

 

Avis par Jake :

En voilà un sujet original pour un manga ! J’avoue avoir hésité un moment avant de me lancer dans la lecture, car je suis plus un maritime qu’un montagnard, mais je suis bien content d’avoir finalement franchi le pas ! Commençons par le dessin qui est d’une grande qualité, le mangaka parvient très honorablement à retranscrire l’ambiance, l’énergie de la montagne et du grand air, une tâche pas si simple quand on pense aux étendues de blanc… Pour ce qui est des personnages, ce n’est pas mon style de visages préféré, mais il faut reconnaître qu’ils parviennent très bien à traduire des émotions. La structure de ce tome est certainement conçu pour la découverte, en effet, ce sont plusieurs histoires du même type qui se suivent : une ou des personnes se retrouvent perdues en montagne et revivent les raisons pour lesquelles elles se sont plongées dans l’aventure avant d’être sauvés (ou non) par le héros. Ce dernier reste tout de même assez énigmatique, et nous n’en savons pas beaucoup sur lui, à l’exception du fait qu’il soit très volontaire et souriant. Nous n’expérimentons pas encore le revers de la médaille… Kumi est un personnage intéressant, car c’est celui auquel le lecteur risque le plus de s’identifier… Reste à voir dans quelle direction va partir le manga, mais je dois avouer que mon intérêt à été piqué par cet ovni Japonais !

Lien direct : Editions Glénat

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Nobles paysans - Tome 01 - Hiromu Arakawa

6 Décembre 2013 , Rédigé par Jake Vecchiet Publié dans #autobiographie, #avis, #Hiromu Arakawa, #kurokawa, #Nobles paysans, #nouveauté, #résumé, #Tome 1

Nobles paysans - Tome 01 - Hiromu Arakawa

Résumé :

Hiromu Arakawa n’est plus à présenter… Elle est l’incroyable mangaka Japonaise issu de l’île d’Hokkaïdo à qui nous devons les phénomènes « Fullmetal alchimist », « Hero tales » et plus récemment « Silver spoon » (qui d’ailleurs présente les aventures d’un étudiant en lycée agricole). Ici, nous suivons l’auteure qui présente à son éditrice sa vie à la campagne, lorsqu’elle aidait ses parents agriculteurs, avant de devenir mangaka… Des aventures cocasses et des faits intéressants sur le monde de l’agriculture au Japon.

 

Avis par Jake :

Etant donnée que je suis avec entrain chacun des mangas de cette auteure de grand talent, il était obligatoire que je me procure son autobiographie adaptée en manga ! Malheureusement, sans être dénuée de qualités, cette œuvre n’est pas ce à quoi je m’attendais… En effet, si vous connaissez les autres mangas de l’auteure, vous connaissez également ses « apartés » qui ont généralement lieu en fin de tomes et qui se composent de plusieurs cases sans véritables décors extérieurs. Ici, c’est la même chose, les anecdotes sont contées, souvent avec un peu d’humour (au moins de quoi sourire), mais sans non plus vous faire vous tordre de rire. Il n’y a pas vraiment de fil rouge ou de suspense… On en apprend beaucoup plus sur la situation agricole du Japon et plus précisément d’Hokkaïdo, ce point est très intéressant… sauf si vous dévorez avidement Silver spoon, dans ce cas les infos sont un peu redondantes… Un avis donc mitigé, le seul véritable intérêt de cette saga est d’en savoir plus sur la mangaka, qui semble être une personne bourrée d’imagination, aux dessins très interactifs habituellement… Dans cette optique là, c’est un super moyen d’apprendre à la connaître…

Lien direct : Editions Kurokawa

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Soul eater - Tome 24 - Atsushi Ohkubo

5 Décembre 2013 , Rédigé par Jake Vecchiet Publié dans #Atsushi Ohkubo, #avis, #kurokawa, #manga, #nouveauté, #résumé, #shonen, #Soul eater, #Tome 24

Soul eater - Tome 24 - Atsushi Ohkubo

Résumé :

Asura sort enfin de sa cachette, et les âmes les plus faibles sont immédiatement dépassées par cet accès de folie qui émane de la personne du Grand dévoreur ! Il faut donc à nos amis mettre leurs alliés en sûreté sur Terre, même si cela a pour conséquence d’éloigner provisoirement Kid… Mais l’arrivée d’Asura est très vite éclipsée par un événement encore plus improbable : Crona absorbe la folie du dévoreur en elle ! Le père de Kid commence à s’inquiéter et à culpabiliser pour sa responsabilité dans cette affaire… Sur la lune, Maka doit utiliser son père comme Death Scythe et leur alliance est curieusement symbiotique ! Black Star fait tout pour aider, mais il va falloir du renfort pour arriver à bout de Crona / Asura, d’autant que leur « fusion » est pour le moins instable…

 

Avis par Jake :

Qu’est-ce que c’est horrible d’apprendre qu’il s’agit là de l’avant dernier tome de toute la saga ! Pourquoi un manga aussi génial doit-il prendre fin alors qu’il reste tant de possibilités pour le faire continuer ? Certes, au moins la qualité sera restée excellente jusqu’à la fin, mais je reste très frustré de savoir le bout du chemin aussi près… Même si cela est une excuse pour le mangaka de nous donner encore plus de plaisir ! En effet, même si la trame n’est pas complètement au ralenti, on sent que Ohkubo prend son temps : cela donne lieu à des pages de dessins superbes (notamment la pose du trio Maka / Death Star / Kid). D’un point de vue du scénario, j’ai adoré l’idée de faire s’allier Maka et son père en tant que Death Scythe, cela rapproche les personnages, et leur relation arrive à un instant précieux, qui était jusqu’alors majoritairement traitée avec humour. Si la couverture donnait l’idée qu’un combat entre Asura et le père de Kid aurait lieu, ce n’est (malheureusement) pas le cas. Espérons que l’on ait droit à la place à un magnifique affrontement Kid / Asura. D’un autre côté, j’adorerais connaître la fin (sûrement tragique ?) de l’histoire compliquée entre Maka et Crona… Quant aux pages présentant le tout dernier opus, elle mette l’eau à la bouche ! Je suis très pressé de découvrir le dénouement final du manga, même si je le regrette aussi…

Lien direct : Editions Kurokawa

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