marseille
Leo Loden - Tome 28 Carmina burrata - Carrere & Nicoloff
Résumé :
Diane est remplaçante à l'opéra de Marseille. À l'occasion d'une adaptation controversée de Carmen, elle endosse le premier rôle pour le meilleur et surtout pour le pire. Qui dans l'entourage de la production a intérêt à voir la pièce sabotée? Leo et Tonton doivent faire toute la clarté sur ces accidents à répétition qui font de plus en plus figure d'attentats.
Avis par Jake :
Je suis Léo Loden depuis 20 ans je crois. Et je ne m’en lasse pas. Je ne pense pas que cela tienne à Marseille (dont neuf années en son sein m’ont largement vacciné de la ville ^^)… Mais plutôt à l’ambiance et aux protagonistes. Ceux qui ont été créés à la base par Arleston, et repris avec beaucoup de réussite par Nicoloff sont rentrés dans nos cœurs depuis longtemps. On les a vu grandir et vieillir (sauf Ulysse qui a priori garde son côté vintage sans pour autant vieillir ! ^^) et même fonder une famille pour Marlène et Léo. Tout est traité avec énormément d’humour, avec toujours en fond une trame sympathique et des courses poursuites dans une Marseille dont le trait est un peu grossi (mais malheureusement souvent exact ^^). Les dessins sont superbes, ils ont évolué en se modernisant. Bref, c’est une saga géniale que vous devriez déjà connaître !
Lien direct : Editions Soleil
https://www.editions-soleil.fr/bd/series/serie-leo-loden/album-leo-loden-t28
Nuit étoilée - Les thés bourgeon
Nuit étoilée - Les thés bourgeons by Audrey
Lors du marché de Noël à Marseille, en Décembre dernier, mon chemin a croisé un petit chalet de la boutique des Thés bourgeon, qui proposait une sélection de leurs thés. Parmi ceux-là, un rooïbos intitulé « Nuit étoilée », un nom qui m’a fait rêver ! C’est un mélange à base de nougat, d’amande, de toffee et d’étoiles de chocolat blanc. Par sa composition, vous devinez qu’il s’agit d’un produit très gourmand qui dégage un parfum de gâteau ! On a envie de garder le nez dans la boîte ! (Dommage qu’il y ait des corvées dans la journée !) Même mon bébé de trois mois ne se détache pas de ce parfum, quand je lui mets sous le nez !!!
A la dégustation, on n’est pas du tout déçu ! Le thé est gourmand et sucré à souhait ! Les notes de nougat (miel, amandes) sont clairement présentes. C’est un plaisir, en particulier le soir lorsque l’on se refuse à craquer sur du sucré ! C’est l’alternative parfaite, sans calorie et sans théine ! Idéal avant de vous coucher !
Je l’associerais au livre « Pourvu qu’elle soit rousse », tout simplement car l’aspect de ce mélange me fait penser à une jolie femme rousse par la couleur du rooïbos qui retranscrit la chevelure, et les étoiles de chocolat blanc qui font penser aux peaux diaphanes de ces femmes…
Terminus Elicius - Karine Giebel
Caractéristiques :
Genre : Policier
Format poche : 254 pages / 6,70 €
Résumé :
Pour Jeanne, la vie se résume à ses allers/retours en train sur la ligne Istres/Marseille. Elle partage son quotidien entre son travail de « secrétaire » au commissariat de Marseille et sa vie très prenante avec sa mère chez qui elle vit toujours. Cependant on sent qu’elle attend quelque chose qui romprait ce quotidien. Peut-être un regard du capitaine Esposito ? Peut-être une piste concernant cette affaire de serial killer, du jamais vu dans la cité phocéenne ? Finalement son vœu est exaucé car coincé entre les sièges de la banquette (toujours la même) où elle s’assoit est glissé un petit mot qui à n’en pas douté lui est destiné : « Vous êtes si belle Jeanne…. » Qui est donc ce mystérieux soupirant qui semble si bien la connaître ? Commence alors une correspondance amoureuse qui n’aura de terminus qu’au bout de l’enfer…
Avis par Lolo :
Il faut signaler que ce roman à reçu à sa sortie le prix marseillais du polar ce qui est cent fois mérité ! Quelle originalité que ce livre ! L’histoire en elle-même : un serial killer qui laisse des petits mots d’amour à une voyageuse dans un train : Cette dernière est en fait une sorte de « flic » car travaillant à leurs côtés dans un commissariat à Marseille. On est captivé du début à la fin et on ne peut pas lâcher le livre. L’héroïne Jeanne est confrontée à un choix Cornélien. Faut-il qu’elle dénonce l’assassin, qui n’a pourtant pas l’air si méchant que cela ? Elle ne sait que faire. Et que dire de son rapprochement avec Esposito, le flic qui est un personnage très attachant lui aussi. Jeanne est partagée entre ses sentiments pour le tueur et pour le flic, mais il faut choisir. Cela va nous entraîner dans une sombre histoire, terrible en fait dans laquelle Jeanne se torture les méninges en essayant de sortir de cette manipulation diabolique. Le terminus nous réserve lui aussi bien des surprises.